Le présent rapport annuel couvre la période allant du 1er juillet 2023 au 30 juin 2024. Il a été établi par les Administrateurs de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD) et de l’Association internationale de développement (IDA) — qui, réunies, prennent le nom de Banque mondiale — conformément aux règlements respectifs de ces deux institutions. M. Ajay Banga, Président du Groupe de la Banque mondiale et Président du Conseil des Administrateurs, a soumis ce rapport ainsi que les budgets administratifs et les états financiers vérifiés au Conseil des Gouverneurs.
Les rapports annuels des autres institutions du Groupe de la Banque mondiale — Société financière internationale (IFC), Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA) et Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI) — sont publiés séparément. Les principaux points saillants du rapport annuel de chaque institution sont disponibles dans le Rapport de synthèse annuel du Groupe de la Banque mondiale.
Tout au long de ce rapport, le terme Banque mondiale et sa forme abrégée Banque désignent exclusivement la BIRD et l’IDA. Le terme Groupe de la Banque mondiale et sa forme abrégée Groupe de la Banque font référence aux cinq institutions. Sauf indication contraire, tous les montants en dollars figurant dans le présent rapport sont en dollars courants des États‑Unis. Les fonds affectés aux projets multirégionaux sont comptabilisés, lorsque possible, par pays bénéficiaire dans les tableaux et dans le texte lorsqu’il est fait référence aux répartitions régionales.
Pour les répartitions par secteur et par thème, les fonds sont comptabilisés par opération. Les données relatives aux engagements et aux décaissements de l’exercice cadrent avec les chiffres vérifiés rapportés dans les États financiers de la BIRD et de l’IDA et dans le Rapport de gestion de l’exercice 24. Les chiffres des tableaux ayant été arrondis, leur somme peut différer du total indiqué, et la somme des pourcentages en chiffres n’est pas toujours égale à 100 %.