Il nous revient que l’armée rwandaise conduite par Paul Kagame mène une offensive hasardeuse en cette journée dominicale depuis les bornes frontières 12 et 13 séparant la RDC et le Rwanda. Cette armée terroriste a rencontré une résistance farouche des FARDC, défenseurs de la patrie, déterminées à la contenir. Les FARDC restent en alerte pour faire face à toute autre attaque du genre, rassure une source militaire.
Il est essentiel de signaler que lors de cette offensive rwandaise, les forces de Kagame ont lancé des tirs aveugles vers la RDC. Une bombe larguée par leur drone kamikaze est tombée dans le camp de déplacés de Rusayo 1, causant mort d’hommes et des dégâts matériels importants. Les réactions de déplacés, capturées sur vidéo, témoignent de cette réalité tragique.
« Nous déplorons et condamnons fermement ce nouveau crime de guerre que Paul Kagame commet à travers son armée en République démocratique du Congo », déplorent-ils.
Toutes ces manœuvres hasardeuses de Kagame visent à terroriser la population de Goma, qui a été prise de panique. Cependant, les FARDC rassurent le peuple congolais, particulièrement les compatriotes du Nord-Kivu, qu’elles sont déterminées à défendre la patrie au prix du sacrifice patriotique.
Pas un seul centimètre ne sera cédé au Rwanda, qui, en complicité avec certains traîtres congolais dont leur sort est connu, cherche à perdurer dans son processus de pillage de nos ressources et la balkanisation de notre pays. L’heure est à l’unité congolaise. Nous devons faire preuve de vigilance face à l’intoxication médiatique et à la désinformation rwandaise sur les réseaux sociaux.
La mobilisation générale est essentielle contre l’empire du mensonge. Il y a lieu de continuer à déployer l’effort de déconstruction systématique du poison rwandais et d’apporter réconfort aux blessés et aux déplacés, car nous avons de l’espoir pour notre peuple.
Quoi qu’il advienne, l’armée criminelle de Paul Kagame sera vaincue au prix du sang, et ses rescapés seront pourchassés jusqu’au Rwanda pour y être capturés, car la guerre va retourner d’où elle est venue.