L’année 2024 va bientôt disparaître dans la nuit des temps, avec son corollaire de faits heureux ou malheureux qui ont influé d’une manière ou d’une autre, sur le cours de l’histoire du monde.
En République démocratique du Congo, 2024 aura été dominée par un certain nombre d’événements politiques et économiques, notamment la mise en place du gouvernement dirigé pour la première fois de notre histoire par une femme, et au sein duquel des regroupements politiques les plus importants ont réussi à obtenir des postes ministériels, l’organisation de quelques rencontres dans le secteur social et économique, particulièrement les états généraux de la justice et des entreprises du Portefeuille, la redynamisation par le ministère des Finances des régies financières afin qu’elles apportent au Trésor public les moyens de sa politique, les performances de l’Inspection générale des Finances, etc. Bien entendu, l’on ne peut oublier la guerre qui se poursuit dans la partie Est du pays, opposant les FARDC et les rebelles du M23 soutenus par le Rwanda.
Ainsi, pour se conformer à la tradition qui veut qu’au terme de chaque exercice social, les organisations non gouvernementales nationales ou internationales qui suivent au quotidien le comportement de ceux qui gèrent le secteur public ou privé rendent compte, notre institut d’analyses socioéconomiques Le Peuple d’abord, a passé en revue l’ensemble de secteurs de la nation. Les résultats qu’il livre ci-dessous sont le reflet de l’opinion que les Congolais, toutes tendances confondues, sans distinction de sexe, de niveau d’études ou social, se sont fait de tous ceux qui ont géré les affaires publiques ou privées au cours de l’année 2024.
Acteurs politiques
Tony Kanku Shiku: 82%
Peu connu au départ, cet acteur politique s’est révélé un grand organisateur politique avant et après les élections présidentielles et législatives de décembre 2023. Grâce à son sens élevé de responsabilité, conciliant et sérieux, peu bavard, il est parvenu à obtenir plus de 4 ministères dont le vice-Premier ministre en charge de l’économie nationale (Daniel Mukoko Samba), Louis Watum de l’industrie et développement des PEM, et le ministre du Tourisme, Didier M’pambia. A cela s’ajoutent plus de 50 députés nationaux, 3 sénateurs, et plusieurs députés provinciaux, ainsi que des hommes et des femmes nommés dans quelques entreprises du Portefeuille.
Il est suivi de Sama Lukonde, Vital Kamerhe, Modeste Bahati Lukwebo, Jean-Pierre Bemba, 70%.
Les Ministres
Louis Watum, Ministre de l’Industrie et PME (79%)
Louis Watum Kabamba a insufflé un vent nouveau dans le secteur industriel qui est porteur de croissance. Il a débloqué les arriérés des quotités dues aux structures allocataires de la redevance sur le marché de la sous-traitance dans le secteur privé (FOGEC, ANADEC et APROCM) en insistant sur le strict respect de la réglementation.
Il a procédé à l’accélération du déploiement de l’ANADEC dans le Congo profond en vue d’assurer un accompagnement technique rapproché aux entrepreneurs locaux à travers l’acquisition progressive, au profit de 10 Directions provinciales, des bâtiments administratifs; il a inauguré la maison de l’entrepreneuriat et innovation à Kinshasa comme incubateur pilote dans le cadre du programme d’implantation des incubateurs en vue de l’accompagnement technique des PME-PMI et startup; il a attribué plus de 40 contrats de marchés de sous-traitance aux PME congolaises, générant de milliers d’emplois directs et indirects; il a accéléré la finalisation de l’installation de l’usine PEPSI–RDC dans la ZES pilote de Maluku ayant abouti au lancement de la production et de la commercialisation des boissons de la marque et amenant à la création de 350 emplois directs et 1700 emplois indirects dans sa 1ère phase, il a rétabli la coopération avec l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI) en vue d’assurer la protection des brevets, marques et licences congolais sur le plan international, etc. Il s’emploie actuellement, à la relance du processus d’accompagnement de l’extension du Guichet Unique à Bunia en Ituri après six autres provinces, afin de faciliter l’enregistrement de nouvelles PME en synergie avec le Ministère de la Justice avec l’appui du projet Transforme de la Banque Mondiale.
Constant Mutamba (78%)
Issu de l’opposition républicaine, sa nomination comme ministre a été une surprise, de même que les actions qu’il a menées pendant ses cent premiers jours. Présenté dans l’opinion comme le chirurgien de la justice congolaise malade, Constant Mutamba a touché du doigt le mal judiciaire, appelant les chats par leurs noms et envisageant des réformes courageuses, qui lui attirent d’une part la sympathie de la population congolaise qui voit en ces mesures la volonté de redresser la situation en vue de guérir la justice congolaise de sa maladie; et d’autre part le courroux des maniaques de la mafia judiciaire qui ne jurent que par sa disparition physique, son féroce empoisonnement le témoignant. Constant Mutamba, est parmi les membres du gouvernement les plus en vue depuis plus de 3 mois que le gouvernement Suminwa est mis en place. Dans son élan, Constant Mutamba a initié des projets de loi, libéré des prisonniers dans le cadre du désengorgement des prisons et est dans la réforme de l’appareil judiciaire.
Quelques-unes de ses réalisations sont notamment la batterie de mesures qui vient s’ajouter aux résolutions des travaux de la commission multisectorielle cultes et associations chargées de l’assainissement, la régulation et la structuration du cadre de fonctionnement des ASBL. Constant Mutamba a également annoncé la bancarisation des frais de justice pour lutter contre l’évasion des recettes liées aux affaires judiciaires. Il a indiqué qu’une commission travaillant sur les réformes est déjà mise en place pour, dit-il, «moderniser les services de l’administration d’abord en bancarisant tous les frais de justice». Il dénonce les pratiques malsaines, les magouilles et les compromissions qui minent la confiance des citoyens en leur justice. Sa croisade, empreinte d’une détermination sans faille, a pour objectif de rendre à la justice sa noblesse d’antan.
Doudou Fwamba, 70 %
Face à l’inflation monétaire, Doudou Fwamba s’est engagé à stabiliser le cadre macroéconomique et à renforcer la monnaie nationale. Il a également mis l’accent sur la maîtrise des prix des produits pétroliers, un secteur crucial pour l’économie du pays.
Dans un communiqué officiel, le ministre des Finances a rappelé aux opérateurs de jeux d’argent (paris sportifs, casinos, loteries) que les taxes sur l’autorisation d’exploitation et les gains doivent être réglées à la Direction de la Réglementation Financière. La taxe d’exploitation est annuelle, tandis que la taxe sur les gains est mensuelle, avec un délai de paiement avant le 15 de chaque mois. Les sociétés non agréées doivent également se régulariser.
Durant ses 100 premiers jours, Doudou Fwamba a instauré des mesures visant à assurer la transparence dans la gestion des finances publiques, notamment en renforçant le recouvrement des recettes via les régies financières nationales. Ses efforts pour obtenir le soutien budgétaire de la Banque Mondiale témoignent de sa détermination à garantir la stabilité économique de la RDC.
Doudou Fwamba est reconnu pour sa capacité à dialoguer avec la population, adoptant une approche inclusive dans l’élaboration des réformes. Son leadership permet de mobiliser un soutien considérable au sein du gouvernement, mais aussi dans le secteur privé et auprès des partenaires internationaux.
Malgré un contexte économique difficile, le ministre des Finances se distingue comme une figure clé de l’exécutif national. Sa performance durant cette période critique laisse entrevoir des réformes prometteuses pour renforcer les finances publiques et stimuler la croissance économique.
Marie- Thérèse Sombo, ESU (68%)
La patronne de l’ESU a dressé un bilan positif de l’implémentation du système LMD en RDC. Selon elle, l’évaluation à mi-parcours est à sa deuxième phase. La première phase a déjà pris fin et ses résultats vont dans le sens de la consolidation des acquis pour les améliorer, a-t-elle rassuré.
Parlant de l’application des résolutions issues de la dernière commission paritaire de l’ESU tenue à Bibwa, du 2 au
14 septembre 2024, la ministre Marie- Thérèse Sombo a souligné que tous les problèmes soulevés ont été pris en charge d’urgence. Il s’agit notamment du paiement des arriérés des mois de mars, avril, mai et juin 2023 (paie complémentaire), de la distribution des véhicules aux professeurs due au remboursement du manque à gagner; des primes de recherche du personnel scientifique et académique; de la mécanisation de nouveaux Docteurs à thèse; du manque à gagner lié à la perte du pouvoir d’achat et de la mise en place du Comité de suivi des accords de Bibwa 2.
Des missions de contrôle ont été lancées tant sur l’évolution de l’année académique lancée que pour la vérification de la viabilité des établissements d’enseignement qui pullulent ici et là à travers le territoire national. A l’en croire, désormais ce contrôle sera périodique avec des sanctions positives et négatives afin de pérenniser la bonne gouvernance dans les établissements de l’ESU.
Elle a affirmé que le moment est venu pour que tous les Établissements de l’ESU puissent s’aligner sur un seul et unique calendrier académique.
Aimé Boji, Budget (65%)
Le ministre d’Etat, ministre du Budget, Aimé Boji Sangara a renseigné que les prévisions budgétaires sont passés de 49.847,8 milliards de francs congolais à 51.133,6 milliards de francs congolais. Soit environ 16,8 milliards de dollars américains. Ce qui représente 21,6% de croissance par rapport au budget 2024. L’augmentation des dépenses d’investissement dans les secteurs clefs figure parmi les innovations dans ce projet de loi de finances 2025.
Ces fonds, explique le ministre d’Etat, ministre du Budget, visent à soutenir les projets stratégiques. Entre autres, la construction du pont en eau profonde de Banana et la modernisation des aéroports nationaux.
Par ailleurs, la sécurité reste et demeure une priorité pour le gouvernement. En illustre la hausse de 25% des crédits alloués à ce secteur dans le budget 2025. A la sécurité, s’ajoutent l’agriculture, la pêche et l’élevage qui bénéficient également d’un taux d’accroissement de 16,4% par rapport à l’exercice budgétaire précédent.
S’agissant des dépenses exceptionnelles, celles-ci s’élèvent à près de 490 millions de dollars américains pour financer certaines initiatives. En l’occurrence, le recensement de la population.
A tous égards, il s’agit d’un projet de loi à la fois ambitieux et volontariste, reflétant les principaux défis. Mieux, les priorités du pays, allant du renforcement des infrastructures au soutien à l’agriculture, en passant par l’amélioration de la sécurité et de l’éducation.
Jean- Lucien Bussa, ministre du Portefeuille (58%)
Le ministre du Portefeuille rassure que toutes les recommandations issues des états généraux des entreprises du portefeuille seront mises en œuvre. Assurance portant sur les recommandations de ces assises qui se sont déroulées à Kinshasa du 9 au 14 décembre 2024.
Jean-Lucien Bussa s’est dit très satisfait du bon déroulement de ces états généraux des entreprises du portefeuille de l’Etat. Une satisfaction partagée, précise le ministre du Portefeuille, aussi bien par tous les acteurs impliqués que l’ensemble de membres du gouvernement.
Le ministre du Portefeuille se veut très rassurant quant à la mise en œuvre de toutes les recommandations issues de ces assises. Et cela pour plusieurs raisons.
Jean-Pierre Bemba, VPM des Transports et communications (55%)
Jean-Pierre Bemba fait face à plusieurs défis dans ce secteur crucial.
De prime abord, le secteur des transports en RDC est lui-même confronté à de nombreux problèmes. Conditions précaires dans les transports en commun, tracasseries routières. Jean-Pierre Bemba est attendu pour améliorer ce secteur vital pour la vie des Congolais. Mettre les passagers dans de bonnes conditions, réduire la corruption et garantir des tarifs stables, sont des enjeux essentiels.
A Kinshasa par exemple, on retrouve encore des sièges en bois serrés les uns contre les autres. Un freinage brusque suffit pour que les passagers se télescopent et se blessent aux genoux. Depuis un temps, les conducteurs mettent trois passagers au siège de devant. Si bien que les clients gênent la marge de manœuvre du conducteur de bus, faute d’espace. Insouciants, les policiers de roulage laissent faire, malgré le risque que cela comporte.
A Kinshasa, le prix du transport en commun est fixé selon les humeurs des chauffeurs. En effet, chaque conducteur a son prix. Pour se déplacer dans la capitale, il faut avoir un porte-monnaie bien fourni. Du coup, il est pratiquement difficile pour le citoyen lambda de budgétiser ses dépenses pour le transport en commun. Même l’autorité urbaine qui est censée fixer et veiller au respect des prix, ne contrôle plus rien.
Les contrôles routiers excessifs, les pots-de- vin et les retards causés par les tracasseries routières entravent la fluidité du transport. Pour y échapper, les conducteurs ont trouvé ce qui semble une solution pour eux, mais un problème pour les passagers. En effet, ils divisent désormais le bus en deux compartiments. L’objectif est d’empêcher les services de contrôle routier d’accéder au siège du conducteur. Un autre défi souvent ignoré, c’est le secteur du transport aérien en RDC qui nécessite également une attention particulière. Les conditions de voyage ne sont pas descentes, en particulier sur les vols domestiques.
Concernant le transport aérien, JP Bemba a fait savoir que dans les deux ans à venir, Air Congo aura une flotte de 10 avions.
«L’arrivée de la flotte Air Congo, se déclinera en plusieurs étapes. À court terme, Air Congo a déjà reçu deux avions. Dans moins de six mois, la compagnie accueillera deux autres avions. Ce qui fera un total de 4 avions. En moins d’un an, la flotte aura 4 Boeing 800. En début de la deuxième année, Air Congo prévoit d’ajouter 2 Boeing 730/800, qui fera un total de dix avions», a déclaré Jean-Pierre Bemba.
Roger Kamba, Santé publique (52%)
Le ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévoyance Sociale, le Dr Roger Kamba, a éclairé les zones d’ombre sur la maladie inconnue qui a fait des morts dans la zone de santé de Panzi, dans la province du Kwango. A cet effet, Roger Kamba a déclaré avoir reçu une alerte de santé publique venant de la zone de santé de Panzi qui se trouve dans un milieu très reculé où les routes sont difficiles à pratiquer pour y arriver et surtout en période de pluie. C’est également une zone de santé où le taux d’enfants en malnutrition est le plus élevé du pays.
Dans cette zone de santé, l’épidémie de la fièvre typhoïde a été signalée il y a 2 ans. C’est dans ce contexte que des médecins ont été immédiatement dépêchés au Kwango avec 3 épidémiologistes, un laborantin et des experts du ministère de la Santé qui ont mis 2 jours pour arriver à la zone à cause du mauvais état de la route.
Selon le ministre de la Santé, le taux de mortalité qui est entre 7,5 et 8% fait penser peut-être que ce n’est pas le Covid, parce que le Covid n’a pas ce taux de mortalité. Au total, 382 cas de ce phénomène ont été signalés, caractérisés par la fièvre, la toux, le nez qui coule, des maux de tête et des courbatures.
27 personnes sont décédées dans les structures de soins. Ce sont des structures qui sont très difficiles pour prendre en charge des malades en détresse respiratoire. Parmi les 27 qui sont décédés, 10 c’était par manque de transfusion, étant donné le besoin de transfusion par ce qu’on a noté aussi une grosse anémie comme symptôme de cette maladie », a expliqué Roger Kamba, avant d’indiquer plus tard au briefing presse que le bilan faisait état de 30 morts.
Les équipes locales sont sur place, les équipes centrales iront à leur tour sur place puisque les premiers résultats de l’équipe sur place étaient attendus pour préparer correctement les équipes du niveau central.
Grégoire Musthail Mutomb, Agriculture, 48%
Selon le ministre, le gouvernement promet de mettre toutes les batteries en marche pour booster le secteur agricole, de manière à créer une autosuffisance alimentaire dans un avenir proche.
Pour ce faire, il compte doter les provinces de 1.062 tracteurs d’ici le mois de mars 2025 dont au moins 5 tracteurs par territoires. “Nous sommes en train de réfléchir sur comment nous pouvons mecaniser l’agriculture dans notre pays. C’est ainsi que nous avons disponibiilisé les tracteurs. Nous allons distribuer d’ici le 31 mars 2025, 1062 tracteurs. Et nous pensons disponibiliser, dans les jours à venir, en 2025, 5 tracteurs par territoire pour diminuer la pénibilité de la femme dans le système de production”, a-t-il déclaré.
Grégoire Mutshail Mutomb a assuré veiller à ce que ces tracteurs ne soient pas donnés aux hommes politiques et autres notabilités qui font de l’agriculture; mais qu’ils puissent servir véritablement à la population qui fait le métier de la terre.
Parlant des réalisations de son ministère, il a évoqué la campagne agricole lancée récemment qui concerne plus de 250.000 hectares. Il a aussi parlé des semences distribuées gratuitement aux agriculteurs dans toutes les provinces de la RDC.
Pour mettre fin à la dépendance alimentaire dont le pays souffre depuis des décennies, le ministre de l’agriculture compte travailler dans le sens de pousser la RDC à produire localement les semences. Il estime que cela constitue un préalable essentiel pour parvenir à l’autosuffisance alimentaire.
Gouverneurs de provinces
Jacques Kyabula, Haut-Katanga (78%)
Les efforts du gouverneur ont été axé sur les infrastructures-clés, comme les routes de la ville de Lubumbashi construites et rénovées, à savoir le boulevard Kamanyola, la chaussée Laurent Désiré Kabila, l’avenue Kasa-Vubu, le boulevard Felix Antoine Tshisekedi, les avenues Biayi Prolongée, Kasapa, Sendwe, Mocro, Likasi, Circulaire Kamalondo, plusieurs autres avenues au Golf à Lubumbashi, le boulevard Katuba encore en chantier en ce moment même. Et des routes des quartiers de la périphérie de Lubumbashi comme: Kilobelobe, Bongonga, Kalebuka, Plateau Karavia, Tshamalale, Kamatete, Kamasaka, Kamisepe, etc.
Les villes de Likasi et de Kasumbalesa ont connu le même élan. C’est ainsi que pour maintenir en bon état les routes du centre- ville, une route de contournement de 22 km est en construction a Likasi et une autre de 7 km a été construite à Kasumbalesa. Des avenues de Likasi au quartier Mission, à Shituru, au centre-ville ont été réhabilitées tandis qu’à Kasumbalesa, pour la première fois, l’avenue Le Mérite a été asphaltée et la route Sodimico réhabilitée après presqu’une dizaine d’années de délabrement.
Les autres agglomérations de la Province, à savoir Kipushi, Mitwaba, Kambove, Pweto, Sakania et Kasenga avaient connu quelques réalisations dans ce domaine. Pendant ce temps, avec une acquisition d’un atelier complet par le Gouvernement Provincial, atelier mis à la disposition de l’Office des routes, les tronçons Kasomeno- Kilwa-Pweto et Kasomeno Kasenga sont entretenus régulièrement. Par ailleurs, le Haut-Katangapossèdeuneimportanteroute transcontinentale de 250 km Kasumbalesa Mokambo-Sakania-Lukangaba Lukanguba où vient d’être érigé un port sec moderne avec le concours du gouvernement de la.
Fifi Masuka, Lualaba (74%)
En 100 jours de gestion, la gouverneure du Lualaba a placé sa province sur une trajectoire prometteuse de développement, grâce à une série d’initiatives ambitieuses touchant des secteurs clés. Dès sa prise de fonction, Fifi Masuka a entrepris des démarches pour attirer des investissements étrangers en participant à des missions économiques hors du pays. Sur le plan interne, plusieurs projets ont été lancés, notamment: réhabilitation d’écoles et d’hôpitaux, ainsi que la construction de bâtiments administratifs; création d’une coordination provinciale chargée de superviser les infrastructures financées par la province. Ces actions s’inscrivent dans un programme quinquennal articulé autour de cinq axes, à savoir le renforcement de la bonne gouvernance; la consolidation de la croissance économique; la diversification de l’économie; la lutte contre le réchauffement climatique; l’amélioration des conditions sociales.
Fifi Masuka a réaffirmé son engagement envers le bien-être de la population, tout en saluant la vision du président de la République pour un Congo développé et prospère. En 100 jours, la gouverneure a posé des bases solides pour le développement du Lualaba, avec des projets structurants et une gestion axée sur l’efficacité. Ses actions témoignent d’une volonté claire de faire du Lualaba un modèle de progrès en République Démocratique du Congo.
Paulin Lendongolia Lebabonga, Tshopo (64%)
Le chef-lieu de la province de la Tshopo se transforme de plus en plus en un vaste chantier suite aux projets ambitieux de réhabilitation et de construction de routes initiés par le gouverneur. C’est le cas de la route nationale numéro 4 (RN4) reliant Kisangani-Banalia à Télé. Les travaux qui avancent normalement, devraient permettre d’atteindre Banalia et detraverser facilement vers Télé. Parallèlement, la RN7, qui relie Kisangani à Opala, à la frontière avec la province de la Tshuapa, est aussi visé par d’importants travaux.
Ces projets de réhabilitation des routes à intérêt provincial, s’inscrivent pleinement dans la philosophie « Tshopo Mosala », portée par le gouverneur.
Grâce Bilolo, Kongo Central, 60%
Depuis son investiture, le Gouverneur Grâce Nnkuanga Masuangi Bilolo a insufflé une nouvelle dynamique dans la province du Kongo-Central. En seulement 100 jours, ses actions concrètes et sa vision ambitieuse ont commencé à transformer le paysage socio-économique de la région.
Partant de son programme quinquennal, le gouverneur Bilolo a présenté un programme d’action structuré autour de cinq piliers stratégiques, à savoir la valorisation du capital humain et développement social; le renforcement de la bonne gouvernance; la consolidation de la croissance économique; la modernisation des infrastructures; la protection de l’environnement et développement durable.
Concernant la réhabilitation des infrastructures routières, l’une des réalisations les plus visibles a été la réhabilitation des routes urbaines de Matadi, achevée en un temps record d’un mois. Dans le renforcement de la gouvernance, le gouverneur Bilolo a mis l’accent sur la transparence et la bonne gestion des affaires publiques. Il a notamment lancé des initiatives pour lutter contre le coulage des recettes et la fraude, afin de maximiser les ressources disponibles pour le développement de la province.
Quant aux projets de développement social, des investissements ont été réalisés dans les secteurs de l’éducation et de la santé, conformément au premier pilier de son programme. Ces actions visent à améliorer directement la qualité de vie des habitants du Kongo-Central.
Le gouverneur Grâce Bilolo a également posé les jalons de projets ambitieux pour l’avenir de la province. L’on dénombre entre autres: des études pour la construction d’un pont de 300 mètres sur le fleuve Congo, reliant les territoires de Songololo et Luozi, afin de désenclaver les régions agricoles et minières; des initiatives pour attirer les investissements et diversifier l’économie provinciale; les programmes de protection de l’environnement et de lutte contre le changement climatique.
Jean Bakomito, Haut-Uélé (66%)
Il a été fait un état de lieu d’avancement des travaux réalisés en synergie avec l’inspecteur provincial de l’agriculture, l’Office national des produits agricoles du Congo, et le chef de divisions de Pêche et Élevage. Ce travail s’inscrit dans le cadre des 100 jours de l’autorité provinciale, qui met un accent particulier sur l’agriculture, la pêche et l’élevage.
Dans ce projet, la priorité est donnée aux cultures vivrières telles que l’arachide, le soja, le riz et le maïs, en fonction des besoins locaux. Concernant l’élevage, des campagnes de vaccination seront organisées pour le bétail et les volailles afin de lutter contre les épidémies fréquentes qui ravagent souvent les espèces animales locales, causant des reculs significatifs.
Pour le gouverneur, Isiro et la province du Haut-Uélé sont reconnues comme la capitale de l’or vert, avec une identité culturelle forte autour du café, du cacao et des palmiers à huile, des cultures également ciblées dans le programme de 100 jours. Chaque chefferie bénéficiera de 230 bénéficiaires pour ce programme : 150 pour le café, 50 pour le cacao et 30 pour le palmier à huile.
Mike David Mukeni, Bas-Uélé (58%)
Dans un discours structuré et détaillé, le gouverneur a passé en revue les réalisations clés de cette période inaugurale. Les actions entreprises ont touché plusieurs secteurs prioritaires, notamment l’infrastructure, l’éducation, la santé et l’agriculture, témoignant d’une approche holistique pour relever les défis auxquels fait face la province.
Parmi les faits marquants, le gouverneur Mukeni a mis en avant: – La réhabilitation de plusieurs axes routiers essentiels pour désenclaver les territoires et faciliter les échanges économiques; – L’équipement de centres de santé en matériel médical et médicaments de base, améliorant l’accès aux soins pour les populations rurales; – La distribution de fournitures scolaires dans plusieurs écoles primaires et secondaires, marquant son engagement pour l’éducation des jeunes; – L’appui aux agriculteurs locaux par la fourniture de semences et d’outils agricoles dans le cadre de la relance du secteur agro- pastoral.
Régies financières
Bernard Kabese, DGDA, 73%
À la date du 30 juin 2024, la DGDA avait réalisé des recettes de l’ordre de 454.024.012.446,39 CDF, soit un taux de réalisation de 91,84% par rapport aux assignations budgétaires. Ce résultat témoigne du professionnalisme et de l’engagement du DG Bernard Kabese Musangu et de toute son équipe à répondre aux attentes du gouvernement congolais.
Certaines provinces douanières, telles que le Maniema et le Kongo Central, ont même dépassé les objectifs budgétaires fixés, ce qui démontre l’efficacité des stratégies mises en place sous la direction du DG Kabese. Dans un secteur clé pour les finances publiques, ces performances sont le fruit d’un leadership avisé, axé sur la rigueur et l’optimisation des ressources.
De même, le DG de la DGDA, avait tenu une réunion avec le banc syndical où il y a eu une signature du procès-verbal entre l’employeur et le banc syndical dans l’objectif de renforcer les conditions de travail des agents de la DGDA et poursuivre l’objectif de maximisation des recettes. Ce qui illustrant une fois de plus son engagement ferme en faveur du bien-être social de ses agents. Cette rencontre s’inscrivait dans la continuité de son approche de gestion axée sur l’humain, où l’écoute et la concertation jouent un rôle primordial.
Barnabé Muakadi, DGI, 70%
De l’évaluation des recettes annuelles à fin mai 2024, il ressort que la mobilisation est de 10.574,8 milliards CDF, soit 3,8 milliards de dollars américains, sur les prévisions de 9.675,6 milliards CDF, soit 3,5 milliards USD. Le ministre des Finances n’a pas caché sa joie : le taux d’exécution est de 109,3%.
Par rapport à la même période de l’année dernière, où les recettes s’élevaient à 7.233,7 milliards CDF, on enregistre une hausse nominale de 3.325,4 milliards de francs, soit une augmentation de 45,9%.
Cette performance est surtout due à la Direction générale des impôts (DGI), qui poursuit ses performances. Ainsi, sur les prévisions de 5.753,8 milliards de francs, la DGI en a mobilisé 6.520,9 milliards, soit un taux d’exécution de 113%.
Utshudi Lutula, DGRAD, 68%
La DGRAD a réalisé une performance record en novembre 2024. Grâce au leadership du nouveau Directeur général, Etienne Utshudi Lutula, cette régie financière a ainsi accompli à la clôture provisoire au 30 novembre 2024, un total impressionnant de 415,343 milliards CDF, équivalent à 113% de l’objectif initial alors que l’assignation mensuelle pour ce mois a été fixée à 367,568 milliards CDF, mais les recettes réalisées ont atteint 407,209 milliards CDF, soit un taux d’exécution de 110,78%.
Entreprises publiques
Charles Mudiayi, CNSS (78%)
Cette année 2024 a marqué le sixième anniversaire d’existence de la Caisse nationale de sécurité sociale. A cette occasion, le comité de gestion de cet établissement public a organisé du jeudi 25 au vendredi 26 juillet, deux journées portes ouvertes. Cet événement a offert l’occasion au public de s’imprégner des efforts constamment déployés pour l’amélioration continue du secteur de la sécurité sociale en RD. Congo. Plusieurs assurés et partenaires sociaux ont saisi eux aussi l’opportunité de plonger dans la découverte des services diversifiés que propose, en permanence, la CNSS.
Victor Tumba, OVD, 72%
Le DG Victor Tumba a rappelé et mis en lumière les différentes sources de financement qui aident à la réalisation des travaux de l’Office. Ces sources comprennent la loi des finances, qui demeure la principale et la plus importante source de financement, le Fonds National d’Entretien Routier ainsi que les partenaires techniques et financiers, parmi lesquels figurent des institutions prestigieuses telles que la Banque Mondiale et la Banque Africaine de Développement (BAD).
Il a indiqué qu’à Kinshasa, des travaux de curage ont été entrepris, tandis que la 14ème Rue Limete a fait l’objet d’améliorations notables. De plus, la construction de la route Zamba-Ngangi, reliant Nzolana à LBK, ainsi que les travaux en cours sur l’avenue Colonel Mpia dans la commune de Ngaliema, illustrent l’engagement continu de l’OVD dans l’amélioration des infrastructures routières de la capitale congolaise.
Dans les provinces, l’OVD s’est également attaqué aux défis majeurs, notamment à Kananga, dans la province du Kasaï Central, où plusieurs érosions menaçaient la population. Des travaux de stabilisation ont été entrepris, notamment sur les sites de l’érosion Mamu Carmel, SNCC, Ika, et Katshi, démontrant ainsi l’impact positif des actions de l’Office des Voiries et Drainage (OVD) sur les communautés locales.
À Mbuji-Mayi, plusieurs érosions telles que Bobo, Hollandais, Lubanjila, et Mbala Tshitolo, ont été maîtrisées, apportant un soulagement à la population après des décennies de menace. De même, à Lisala, dans la province de la Mongala, et dans d’autres régions telles que Tshuapa et le Nord-Ubangi, l’OVD a contribué à la résolution des défis liés aux infrastructures routières, témoignant ainsi de son engagement à travers le pays.
Enfin, dans la province de l’Équateur, des progrès significatifs ont été réalisés sur l’avenue de la Révolution, avec l’asphaltage de près de 50% d’une route de 7 kilomètres reliant l’aéroport, offrant ainsi des perspectives prometteuses pour le développement économique et social de la région.
Pierre Bundoki, FONER (68%)
Pierre Bundoki a exprimé son engagement à renforcer la collaboration avec la DGDA pour améliorer la collecte des recettes. Il a également souligné l’importance de travailler main dans la main avec l’Agence de prévention de lutte contre la corruption afin de lutter contre les fraudes qui affectent négativement les ressources financières du FONER. Ces initiatives visent à garantir une gestion plus efficace et transparente des fonds destinés à l’entretien routier.
Le FONER a obtenu la mise sur pied d’une commission interministérielle pour régler le problème des fraudes sur ses recettes et la baisse du tarif FONER dans la zone ouest du pays. Ce qui pourrait augmenter ses recettes.
Dans une démarche visant à moderniser la gestion administrative du Fonds National d’Entretien Routier, le DG Pierre Bundoki a mis en place un processus de recrutement transparent et compétitif, contrairement aux pratiques habituelles du passé. Ce changement stratégique a permis de combler des postes clés, notamment celui de directeur technique et d’ingénieurs, afin de renforcer le rôle du FONER dans le contrôle de l’utilisation des fonds au profit de l’Office des Routes, de l’OVD et de l’OVDA. De plus, la nomination d’un directeur d’audit interne et d’un responsable du budget vise à améliorer le contrôle interne des opérations financières du FONER. Ces mesures sont essentielles pour garantir une gestion rigoureuse et efficace des ressources, contribuant ainsi à l’optimisation des infrastructures routières du pays.
L’un des axes stratégiques proposés par le FONER est l’adoption d’un système de curage basé sur des caniveaux de service. Ce modèle vise à prévenir les scènes désolantes constatées dans plusieurs quartiers de Kinshasa, où les déchets et boues extraits des caniveaux et rivières restent souvent pendant des jours sans être évacués. En proposant cette approche, le FONER espère non seulement améliorer la propreté de la ville, mais aussi réduire les risques d’inondation qui menacent quotidiennement la vie des Kinois.
Godefroy Stanislas Tshimanga, INPP (65%)
Les travaux de la session budgétaire 2025 de l’Institut national de préparation professionnelle ont été lancés à Kinshasa. Le DG a fait savoir que les efforts consentis pour l’exercice 2024 sont à poursuivre et à intensifier pour l’exercice 2025, car, selon lui, ils ont permis d’organiser des formations renforcées pour les équipes de cette institution et le renouvellement d’une coopération avec les partenaires.
Le DG Tshimanga a encouragé les participants à ces assises venus de toutes les directions provinciales de l’INPP à aligner leurs actions sur les priorités stratégiques de cette école de formation professionnelle, à contribuer à un effort collectif de sa modernisation ainsi qu’à uniformiser les programmes de formation et la certification des formateurs.
Nico Nzau Nzau, ACGT (61%)
Une équipe de l’ACGT s’est rendue à Singini, au Kongo Central dans l’objectif de «collecter les données relatives à l’étude de lutte anti-érosive » sur ce site. Ces travaux de réhabilitation du mausolée de Joseph Kasa-Vubu permettront à l’Etat de rendre ce site de nouveau touristique et moderne. Par ailleurs, dans le cadre des infrastructures, l’ACGT va désengorger plusieurs territoires, collectivités et groupements du Bas-Fleuve au Kongo Central. A Kinshasa, les travaux des constructions des rocades ont été lancés le samedi 22 juin 2024 par le chef de l’État, Félix Tshisekedi.
Le tracé de ce projet traverse quatre communes dont Mont-ngafula, N’djili, Kimbaseke et Nsele, avec comme maître d’ouvrage des travaux, le ministère des Infrastructures et travaux publics (ITP) et le maître délégué, l’Agence congolaise de grands travaux (ACGT). Les travaux concernent les rocades Sud-Est et Sud- Ouest Nord-Ouest, et Nord-Est de la capitale congolaise avec neuf pénétrantes auxquelles se branchent 4 bretelles pour améliorer la connexion des différentes parties de Kinshasa.
Ces travaux constituent selon la source, un premier pas du programme quinquennal du second mandat du chef de l’État, dont le volet infrastructure routière va rallonger de 220 km linéaire des voiries structurantes revêtu de Kinshasa.
Junior Mata, CNSSAP (58%)
Qualité de la gestion, accroissement de l’activité, performance financière, indicateurs au vert, rapport annuel sous forme de bilan positif très attendu… Voilà en gros, l’image que donne la Caisse Nationale de Sécurité Sociale des Agents de l’Administration Publique présentement. Ce qui fait de cet établissement public l’un des mieux gérés de la République. D’un pas ferme, la CNSSAP continue de braver et relever les immenses défis de gestion qui se dressent devant elle, ses points d’arrivée se transformant, inlassablement, en points de départ; un rouleau compresseur, véritable machine dans la sphère des établissements publics congolais.
Jeanneau Kikangala Ngoy, Office des routes (52%)
Une visite d’inspection des travaux de réhabilitation au rond-point Ngaba à Kinshasa a été effectuée par le Directeur général de l’Office des routes (OR), en vue d’évaluer des travaux en construction.
Le Directeur général a indiqué que des éventuels ajustements au planning sont en vue, ceux-ci font suite à la présence des déchets jetés en grande quantité par les riverains dans les caniveaux, ralentissant ainsi la progression des travaux.
Jeanneau Kikangala a, en outre, lancé un appel à la population riveraine pour faire preuve de civisme, afin de protéger ces acquis, en indiquant que l’ampleur des travaux et des ajustements, le délai de réouverture initialement prévu de 45 jours sera prolongé à cause de la présence des déchets dans les caniveaux.
Les équipes de l’Office des routes procèdent au rechargement de la couche de fondation en concassé 0/8 et au rechargement de la couche de base avec les 0/31, avant qu’intervienne la couche d’enrobée et la pose de béton pour la chaussée rigide, sans oublier le curage des caniveaux.
Services de l’Etat
Jules Alingete, Inspection générale des Finances, 80%
C’est depuis 2020 que Jules Alingete a été nommé inspecteur général, chef-de service de l’inspection générale des finances par le président de la République Félix Tshisekedi.
4 ans après, voici ce qu’a accompli l’inspection générale des finances, sous le leadership de Jules Alingete.
-L’augmentation des recettes budgétaires notamment suite aux missions d’encadrement et de contrôle de l’IGF ayant conduit à la suppression des exonérations et exemptions illégales;
-L’accroissement du budget de L’État passé de 4 à plus de 14 milliards de dollars à ce jour;
-La mise en place du suivi du compte général du trésor, avec le système de gestion dénommé ” base caisse”;
-La mise en place d’une gestion prévisionnelle avec à la clé, le plan de trésorerie, plan de décaissement et le budget annuel, synonyme d’une gestion transparente et efficace des finances publiques.
-L’amélioration de la trésorerie des entreprises et établissements publics suite à la non validation par l’IGF, de certaines dépenses de plus 1.600.000.000,00 USD de juin à décembre 2023.
-L’apurement des arriérés de salaire des agents dans la quasi-totalité des entités grâce à l’implémentation de la bonne gouvernance par l’IGF.
-L’amélioration dans la gestion et l’apurement des salaires des agents au niveau des entreprises et établissements publics, ainsi que celles des provinces et entités territoriales décentralisées grâce aux missions d’encadrement effectuées par l’IGF
-La mise en accusation des mandataires auteurs des malversations financières qui a dissuadé et contribué efficacement à la gestion des finances publiques;
-La revisitation du contrat chinois qui a conduit à la récupération par la RDC de plus de 7 milliards de dollars destinés à la construction des infrastructures routières et autres;
-Des économies de dépenses réalisées notamment concernant les crédits de TVA à rembourser aux entreprises minières et l’annulation des contrats de production des cartes d’identité nationale
-Suite à la rigueur et la lutte contre la corruption instaurée par l’IGF, la RDC a gagné au niveau international la crédibilité et la relance de croissance économique ayant conduit au lancement de grands travaux d’infrastructures financées par les ressources propres de l’État.