RPDC-Japon : Les actes indiscrets allant à contre-courant

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Il n’y a pas si longtemps (19/12/2022), le 1er Ministre (Mark RUTTE 1967- ) des Pays-Bas a attiré l’attention de la Communauté internationale en présentant les excuses officielles (lors de son discours à La Haye, NDLR) de son Gouvernement pour les actions de l’Etat néerlandais dans l’esclavage pendant 250 ans dans les colonies d’outre-mer telles que le Suriname et l’Indonésie. Le 1er Ministre néerlandais ;

– s’est repenti au fait que son Pays a infligé les malheurs et souffrances à d’innombrables personnes en imposant, en promouvant et en maintenant l’esclavage pendant des siècles

– a exprimé sa position selon laquelle les discussions et les débats sur la reconnaissance et les excuses des crimes passés ne font que commencer et qu’ils devraient être poursuivis.

Ces dernières années, de nombreux Pays se penchent, sérieusement, sur leur histoire non seulement du 20ème siècle mais aussi des siècles passés et, se repentissent et s’excusent pour leurs crimes; d’où le règlement du passé est la tendance internationale. Pourtant, il y a un Pays qui;

– s’évertue à ignorer la tendance générale

– fait semblant d’être sourd et aveugle

– est insolent sévèrement,

ce n’est autre que le Japon (Etat ennemi stigmatisé par la Charte de l’ONU, NDLR). C’est le Japon qui a commis les crimes supergrands contre l’Humanité au siècle dernier (1905-1945), même pas aux siècles lointains, pour stupéfaire le monde entier; mais même maintenant, il a une arrière-pensée constante lorsqu’il s’agit du règlement de son passé que la Communauté internationale réclame avec tant d’énergie. Aujourd’hui où la plupart des victimes se sont décédées vu leur âge, le Japon;

– est, peut-être, en train de calculer qu’il est temps que ses péchés passés soient pénétrés dans la mousse du temps

– fait du tapage autour de l’«insuffisance de preuves»

– s’efforce, même, d’embellir l’histoire de son agression (en Corée) tout en déniant, totalement, ses péchés sanglants (ayant massacré sauvagement plus d’un million des Coréens, et forcé les 200,000 Coréennes à servir d’esclaves sexuelles aux militaires japonais et plus de 8.4 millions pour les travaux forcés ou comme pare-balles etc., NDLR)

– fournit, aux élèves, des manuels dans lesquels les expressions symbolisant ses crimes passés tels que l’«enlèvement forcé» des Coréens et les «femmes (coréennes) de réconfort pour l’Armée japonaise» sont supprimées

– fait tout un plat de l’enregistrement des sites des travaux forcés tachés du sang des Coréens en tant que le patrimoine culturel mondial.

La mesure dans laquelle la vileté morale du Japon a atteint son extrême se traduit, également, par le fait que ce Pays veut démolir les statues des jeunes esclaves sexuelles érigées, un peu partout dans le monde, pour condamner les crimes d’esclavage sexuel commis par l’Armée japonaise, crimes supergrands contre l’Humanité, et harceler les Pays abritant lesdites statues. Le comportement sans scrupules du Japon est un défi odieux lancé à la Communauté internationale éprise de la justice et de la paix, et c’est, absolument, inacceptable.

Le règlement du passé par le Japon n’est pas une question de quelques centimes ou sous, mais plutôt celle politique sérieuse pour assurer la justice et l’équité internationales qui sont, brutalement, piétinées par le Japon. Par conséquent, régler le passé par le Japon est une tâche politique qui doit être accomplie, que le Japon le veuille ou non; c’est carrément la raison pour laquelle la Communauté internationale exige, dynamiquement, au Japon de se repentir et de s’excuser de l’histoire de son agression.

Si le Japon ne comprend pas la gravité du problème et continue de nier l’histoire de ses péchés comme il le fait actuellement, il sera confronté à l’isolement politico-diplomatique et à la ruine morale. Le comportement du Japon qui va à l’encontre de cela pour ses intérêts imminents ne fait que susciter le dégoût de ceux qui l’observent.

«Allons-nous continuer à courir dans l’abîme de la ruine avec une réputation honteuse ou devrions-nous rompre avec le passé malpropre et prendre un nouveau départ, une fois pour toute?»; c’est, pour le Japon, une tâche de destin optionnelle à accomplir d’une façon prioritaire et responsable. Comment résoudre ce problème et quel choix faire détermine le destin futur du Japon. Le Japon doit faire le bon choix même pour son avenir.

N’oublie pas que régler le passé est le seul et unique moyen de sauver le Japon de la ruine physique et morale!

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