Voici un communiqué (01/08/2023) de presse du porte-parole de l’Association d’Etudes sur les Droits de l’Homme de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’État de la RPDC, NDLR), qui se lit comme suit;
On dit que le Sénat US a, récemment (27/07/2023 qui coïncide avec le 70ème anniversaire de la Victoire de la RPDC sur les USA dans la Guerre 1950-1953 où ces derniers sont exposés à leur déclin pour la 1ère fois dans leur histoire, NDLR), approuvé Julie TURNER désignée (23/01/2023) par Joseph Robinette BIDEN comme «envoyée spéciale sur les questions des droits de l’homme en Corée du Nord» du Département d’État des USA (ou United States of America ou Etats-Unis d’Amérique; occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 30.000 GI’s après leur fiasco dans la 1ère agression de la Corée en 1866 bientôt recouvré par leur réussite dans la domination 1905-1945 de procuration par le Japon grâce à la collusion USA-Japon 29/07/1905, cela dans le cadre de la poursuite de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR).
Julie TURNER d’origine et de nationalité ambiguës (Etats-unienne de Joe BIDEN 1942- ou Sud-coréenne de YOON Suk-Yeol 1960- , NDLR) a acquis une notoriété pour avoir comploté les stratagèmes sur les «droits de l’homme» anti-RPDC en crachant toute invective grossière contre notre RPDC. Ses remarques absurdes ne sont rien d’autres que les grognements;
• d’une personne ignorant même le concept ou la notion des droits de l’homme
• d’une violatrice des droits de l’homme incarnant la mauvaise habitude invétérée des USA qui se complaisent à se mêler des affaires intérieures de l’État souverain et à calomnier ce dernier à tort et à travers.
On peut deviner, facilement, combien de Pays et de Nations ont été l’objet de sa diffamation et accusation fallacieuse pendant 16 ans où une telle personne s’est occupée des «questions des droits de l’homme» (dans le Bureau Démocratie, Droits de l’homme, Travail, NDLR) au sein du Département d’État US. Le seul fait qu’une femme aussi malfaiteur ou méchante ait été nommée «envoyée spéciale sur les questions des droits de l’homme» (au rang de l’Ambassadrice, NDLR) du Département d’État US montre, clairement, à quel point l’Administration US est hostile à notre RPDC. Julie TURNER, fonctionnaire subalterne au Département d’État US pendant plus de 10 ans;
• aurait hâte de travailler le plus tôt possible comme «envoyée spéciale sur les questions des droits de l’homme en Corée du Nord», selon elle-même (Il ne reste que quelques documents à être signés par Joe BIDEN, NDLR)
• considère, peut-être, son nouvel poste éventuel (vacant depuis fin janvier 2017, NDLR) comme un poste de membre du Gouvernement
• devrait savoir qu’elle a été choisie comme femme de chambre politique et bouc émissaire pour les complots des «droits de l’homme» visant à faire pression sur la RPDC, mauvaise politique mise en place par l’Administration BIDEN acculée à l’impasse ou tombée au bout du tunnel dans la confrontation nucléaire RPDC-USA.
Les Administrations US précédentes ont eu recours aux rackets de confrontation anti-RPDC, touchant la «carte des droits de l’homme», mais, finalement, elles ne pouvaient que subir la plus grande défaite et disgrâce; et, c’était la fin misérable des «envoyés spéciaux sur les questions des droits de l’homme en Corée du Nord» du Département d’État US qui prendraient leur retraite dans le déshonneur sans aucune «réalisation» pendant leur mandat (le dernier; Ambassadeur Robert R. KING fin 2009 – début 2017).
Julie TURNER réalisera horriblement que son travail consistant à jouer un rôle principal dans les rackets téméraires des «droits de l’homme» de l’Administration US est 10 ou 100 fois pire que son service d’une simple fonctionnaire subalterne à vie au Département d’État US. La lamentation et le regret de la destruction arrivent toujours trop tard.
Les USA deviennent, maintenant, frénétiques dans leur campagne de diffamation des «droits de l’homme» tout en maximisant leurs actes d’hostilités militaires contre notre RPDC; et, cette réalité apprend, à notre RPDC une fois de plus, à forcer, avec une riposte plus puissante et impitoyable que jamais, les USA à payer un prix suffisamment élevé pour être inoubliable. Une action de représailles de la justice est tenue de suivre un acte sinistre.
Les USA devraient réfléchir à toutes leurs paroles et à tous leurs actes, conscients que les «questions des droits de l’homme en Corée du Nord» peuvent, plutôt, se retourner contre eux-mêmes et engendrer de graves problèmes de sécurité chez eux.