Élu au suffrage universel direct aux élections de 2018, le Chef de l’État Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, candidat à sa réélection, a marqué son premier quinquennat de plus belles manières. En effet, loin d’être de simples slogans, voici les six raisons de lui renouveler la confiance :
1. La gratuité de l’enseignement au niveau primaire qui a permis à 5 millions d’élèves d’être scolarisés.
Elle a aussi permis d’assurer l’accès à l’éducation à tous sans frais. C’est une disposition de la constitution de la RDC matérialisée pour la première fois par le Chef de l’État Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO.
2. La maternité gratuite
C’est l’une des actions du candidat n°20 à la présidentielle pour lutter contre le taux élevé de la mortalité maternelle et infantile. 320 centres de santé et 50 hôpitaux généraux de référence sont concernés à Kinshasa. Ce programme va s’étendre dans les provinces dans les jours à venir.
3. Loi de programmation militaire
C’est une première en RDC dans l’histoire de l’armée. C’est un acte d’engagement de toute la nation afin de permettre à l’armée de développer ses capacités opérationnelles et d’avoir une armée solide et forte.
4. Mécanisation des fonctionnaires
Depuis sa prise de pouvoir, le Chef de l’État, à travers son gouvernement, a mécanisé, en 2ans, 135000 agents contre 10000 en 20 ans. Cela dans le cadre de la réforme de l’administration publique.
5. Les programmes de développement des 145 territoires en RDC.
Il s’agit ici de l’amélioration, par Fatshi, du cadre de vie des populations rurales. Ce programme permet de combattre la pauvreté et les inégalités sociales. Il est l’émanation d’un nouveau contrat social amorcé, dès sa prise de fonction, visant à réduire les inégalités.
6. Jardins scolaires pour 1 milliard d’arbres d’ici 2023.
Loin d’être un simple slogan, ce projet présidentiel est réalisé à hauteur de 89%. Il place la RDC sur orbite pour être vraiment et réellement un pays solution dans la lutte contre le réchauffement climatique. Les six raisons sont donc des jalons jetés qui nécessitent d’être consolidées dans les cinq prochaines années.
Carlos Lobota, expert en Sciences de l’Information et de la Communication.