Lequotidien
Le mardi 03 septembre 2024, un officier de l’armée congolaise a été assassiné par balles à Tishunguti, dans le Groupement de Ziralo.
Selon les premières informations livrées par la société civile locale, le meurtre aurait été provoqué par des disputes liées à une femme libre.
Les autorités militaires et civiles enquêtent sur cette affaire pour identifier les responsables et mettre fin aux tensions dans la région.
Le lendemain matin, deux femmes, ont été victimes de tirs de balles à Mutale, village de Batayo, toujours dans le Groupement de Ziralo.
Les assaillants, membres de la faction de miliciens LOVE, ont ouvert le feu sans motif apparent, laissant les deux femmes blessées et choquées.
Appel à l’action de la Société Civile
Face à ces actes de violence inacceptables, le Cadre de Concertation Territorial de la Société Civile de Kalehe (CCTSC/Kalehe) demande une action immédiate de la part des autorités pour mettre fin à la circulation incontrôlée d’armes dans la région.
Le président de cette structure citoyenne, Delphin Birimbi, appelle à des mesures strictes et à la punition des coupables, afin de garantir la sécurité et la paix dans la région de Kalehe.
Alors que les habitants de Kalehe restent sous le choc de ces événements tragiques, la question de la sécurité et de la justice reste primordiale à Kalehe pour assurer un avenir serein pour la population.
Les autorités locales et nationales sont appelées à agir rapidement pour mettre fin à la violence armée qui menace la vie de nombreux civils et militaires dans la région.
Eugide Abalawi
