Même si principalement l’ambassadeur chinois en Rdc va s’employer à résoudre le différend entre ces deux pays, il promet d’assurer le bon déroulement des projets de développement déjà en cours ou prêts à être lancés. C’est comme le Centre culturel et artistique pour les pays de l’Afrique centrale, le centre de formation technique à Kolwezi, transformateur du poste d’électricité à Kinsuka, l’avenue Nzolana phase 2, modernisation du système de communication, etc. qui se font avec l’aide chinoise ou qui bénéficie d’un prêt du gouvernement chinois à un taux préférentiel ou des partenariats publics-publics soit la coopération entre l’Etat congolais et les investisseurs chinois.
Une autre priorité, c’est la formation. C’est l’une des priorités que Fatshi a donné aux relations entre la Chine et la Rdc. C’est par la formation que le Congo va renforcer ses capacités et nous lui accordons une importance particulière. Nous allons former pour cette année 200 opportunités de formation à la partie congolaise dans les différents domaines, sans oublier les formateurs qui se trouvent aujourd’hui à la base militaire de Kitona pour aider à former l’armée congolaise.
La dernière priorité, mieux comprendre la population locale. C’est avec cette meilleure compréhension que nous le peuple chinois pouvons savoir pour mieux vous soutenir dans le processus de redressement du pays. C’est pour cela que je pense que le Centre pourrait jouer un rôle. Au niveau de l’ambassade, nous introduisons les éléments cinématographiques pour mieux connaitre la chine et de même pour les éléments congolais. C’est pour cela qu’il y a des cours en lingala au personnel de l’ambassade pour mieux vous connaît
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