Tous les coups sont permis désormais contre l’homme anti-corruption du Président Félix Tshisekedi.
Oui, depuis qu’il a été nommé Inspecteur Général des Finances par le Président Félix Tshisekedi, Jules Alingete a fait de la lutte contre la corruption et le détournement des deniers publics sa priorité. Avec son équipe de l’IGF, il a mené plusieurs enquêtes et audits qui ont révélé des scandales financiers impliquant des personnalités politiques et économiques du pays. Il a ainsi contribué à la récupération de plusieurs millions de dollars au profit du Trésor public et à la sanction de plusieurs agents véreux.
Mais cette croisade contre les prédateurs des finances publiques n’est pas du goût de tout le monde. Certains de ces prédateurs, qui se sentent menacés par le travail d’Alingete, ont décidé de recourir à la désinformation et à la diffamation pour tenter de le discréditer et de le déstabiliser. Ils ont ainsi créé des usines à fake news, qui produisent et diffusent des documents falsifiés, des rumeurs infondées et des accusations mensongères contre l’Inspecteur Général des Finances.
Un exemple récent de cette campagne de dénigrement est une série de tweets et posts réseaux sociaux de ces dernières 24 heures tantôt disant que Jules Alingete a touché des pots de vin, tantôt l’accusant de tous les péchés d’Israël… avec des documents bandits comme preuves ‘’ ‘’ irréfutables. L’on notera au passage, la multiplication des attaques mal ficelées impliquant des montages grossiers.
Mais une analyse rapide de ces documents révèle qu’il s’agit de faux grossiers, truffés d’incohérences et d’erreurs. Par exemple, les dates, les signatures, les logos et les montants ne correspondent pas à la réalité. Les documents sont également mal rédigés, avec des fautes d’orthographe et de syntaxe. Il est évident que ces documents ont été fabriqués de toutes pièces par des amateurs, qui n’ont aucune connaissance du fonctionnement du système financier.
Face à cette tentative de manipulation, Jules Alingete n’a pas tardé à réagir. Sur son compte Twitter, il a dénoncé l’industrie des fake news, qui cherche à le salir et à entraver sa mission. ‘’ #RDC Rien alors rien ne pourra briser notre détermination à lutter contre les antivaleurs dans la gestion publique ‘’, a-t-il affirmé. D’un autre côté, il y a des journalistes comme Doux Jésus Beledu qui a également rappelé que le crime parfait n’existe pas et que les auteurs de ces faux documents seront bientôt rattrapés par la justice.
Le Chef de l’Etat, d’ailleurs, n’est pas dupe de ces manœuvres. Il connaît la valeur et la moralité de Jules Alingete, qu’il a choisi pour mener à bien la réforme du secteur financier. Le Ciel est donc toujours bleu.
Ainsi, les tirs contre Alingete ne sont qu’un coup d’épée dans l’eau. Ils ne font que renforcer sa crédibilité et sa popularité auprès de l’opinion publique, qui apprécie son action courageuse et transparente. Ils ne font que confirmer la nécessité et l’urgence de lutter contre la corruption et le pillage des ressources du pays, qui sont les principaux freins au développement et à la stabilité de la RDC. Ils ne font que démontrer la faiblesse et la lâcheté des usines à fake news, qui sont incapables de produire des arguments solides et crédibles pour défendre leurs intérêts.