C’est depuis qu’il a annoncé sa candidature aux législatives nationales pour la ville de Beni dans la province du Nord-Kivu que l’Autorité morale de l’Alliance congolaise pour la défense des intérêts du peuple (ACDIP), Mumbere Kisalu wa Kasimba Jonas reçoit une salve d’élucubrations de toutes sortes montées par des personnes dont l’arrivée de Jonas Kasimba en Politique apparaît comme une pilule difficile à avaler.
Détenteur du numéro 30 sur la liste publiée par la commission électorale nationale indépendante pour la circonscription électorale de Béni ville, l’homme apparaît comme un dur à cuire ne se laissant pas faire facilement.
Les actions et idées valent plus que les discours vides.
Ce self made man de Kasimba est un homme visiblement droit dans ses bottes dont l’ascension dans le monde des affaires est traçable telle une route urbaine, a su imposer son management pour créer plusieurs entreprises qui engagent beaucoup de ses compatriotes et ce dans divers domaines allant de la douane, passant par l’agroalimentaire, la santé jusqu’à déboucher sur le gardiennage.
Côté œuvres sociales, la liste ne fait que se rallonger écoles construites, distribution des fournitures scolaires et autres actions de développement communautaire au profit de la population. De quoi à consolider son acceptation et sa popularité dans le milieu des jeunes, femmes et vieux.
Sa devise est claire: Avec Dieu le changement, la sécurité, l’emploi et la bonne gouvernance. Une vision qui a du répondant et n’enchante pas du tout ses détracteurs.
La formule Kabiliser pour Diaboliser ne réussit plus à Beni.
Ne trouvant aucun pan pour réduire l’aura du politologue Jonas Kasimba dans la ville de Beni, le seul argument présenté est celui de le qualifier de Kabiliste. Le tout partant du fait qu’il a été membre de cabinet du ministre Antipas Mbusa Nyamwisi sous le régime de Joseph Kabila Kabange.
Des pétards mouillés qui ne sauront défaire cette réputation que porte désormais Jonas Kasimba, déterminé à servir sa population pour le bien de celle-ci.
Bravo Zulu
Nguzo la beni