Les braves Léopards/filles ont brillé de mille feux à la 1ère et 2è édition du Tour cycliste international féminin du Burundi en 2021 et 2022. Par équipe, elles avaient terminé respectivement 4è et 2è. En individuel, Okito Hélène termina 3è et 2è. Ce qui est dommage, ces braves filles n’ont rien perçu à ce jour du trésor public. Même pas un franc congolais.
Pourquoi la gente féminine est négligée, marginalisée et l’on lui accorde peu d’attention ?
Dans la majeure partie de cas, dans les délégations sportives, on y amène souvent que très peu de filles. Mais là où nous perdons notre latin, c’est dans le football dames. Si on donne tout pour le football masculin, les filles sont négligées. Et parfois chassées de leur hôtel et ratent le voyage comme ce fut le cas en 2022.
Que dire de plus ?
D’ailleurs, au terme de la loi sportive depuis sa promulgation, toutes les disciplines sont mises sur le même pied d’égalité. Il ne peut plus avoir d’un côté les privilégiés et de l’autre côté, des laisser pour compte. Le ministère des Finances à dire vrai devra bannir la discrimination, le favoritisme et l’injustice. Si aujourd’hui, 24 disciplines ont la délégation de pouvoir, il faudra que toutes signent des contrats d’objectif. Le financement pourra dépendre des performances. C’est une option que l’on peut prendre. Le sport congolais n’a pas besoin de la discrimination. Cette journée nationale du sport devra être une journée de méditation pour repenser à tous ces problèmes. Le sport congolais ira mieux.
Antoine Bolia
La politique de deux poids et deux mesures.
Le football a tout à dire et les autres , rien à dire.
Les ambassadrices du cyclisme féminin attendent leur prime jusqu’à ce jour et pourquoi ?
Et avant la fin chaotique de nos léopards au chan 2023 , la Fecofa , son compte bancaire était déjà crédité au su et au vu des communs des mortels.
Et les enfants pauvres sont abandonnés à leur triste sort.
Pourquoi cette injustice ?