L’Église meurt parce que les bergers ont peur de parler avec une vérité et une clarté complètes.
Nous, évêques, devrions trembler à la pensée de nos silences coupables, de nos silences de complicité, de nos silences de complaisance avec le monde.
Nous devons au peuple chrétien un enseignement clair, constant et stable.
Comment accepter si les conférences épiscopales se contredisent?
– Là où règne la confusion, Dieu ne peut pas habiter!
Je regrette que de nombreux évêques et prêtres négligent leur mission essentielle,
– à savoir leur propre sanctification et l’annonce de l’Évangile de Jésus, pour s’attaquer à des problèmes sociopolitiques tels que l’environnement, la migration ou les sans-abri.
Il est légitime de rechercher de nouvelles formes d’évangélisation que le monde moderne puisse comprendre et recevoir,
– mais il est naïf et superficiel de vouloir le réconcilier à tout prix avec l’Église.
La perte du sens de Dieu est la matrice (noyau-centre) de toutes les crises.
– Aucun prêtre ne peut tirer avantage de son autorité sur le peuple de Dieu pour exposer ses idées personnelles.
– Sa parole ne lui appartient pas!
– C’est juste l’écho du Verbe éternel.
L’humanité globalisée, mondialisée, sans frontières, c’est l’enfer.
Une paroisse sans Adoration du Saint-Sacrement est une paroisse morte ou malade. (Cardinal Sarah)
Pitié Seigneur, pour les évêques désobéissants.
Seigneur pitié, pour les prêtres rebelles.
Pitié Seigneur, pour les consacrés qui vivent comme de vrais païens.