Après avoir évaluer l’année scolaire 2022, ces enseignants assis réunis au sein du syndicat des inspecteurs de l’enseignement primaire, secondaire et technique de l’EPST (Synedrie), dresse un bilan largement négatif de leur traitement social.
Privés de tous les avantages liés à leur tâche confiée par l’Etat congolais, ces inspecteurs se disent être au bout de leur patience et interpellent en même temps les autorités congolaises pour des solutions idoines dans un bref délai.
A travers une déclaration faite ce vendredi 3 février 2023, ces inspecteurs dénoncent plusieurs injustices qui règnent dans leur secteur. Selon eux, aucun inspecteur au niveau provincial ne bénéficie de prime de budget annuel et celle l’itinérance. Ils continuent de toucher les salaires d’un enseignant et même celui du primaire qui bénéficie de la prime de la gratuite. L’injustice de la répartition des frais de fonctionnement, des IPP dans les provinces éducationnelles, insignifiant par rapport à celui alloué ou au Diprosec et Proved”
Un autre dossier est celui lié aux primes des évaluations. A les en croire, les inspecteurs jusqu’à la date d’aujourd’hui, les sections du Tenafep 2020- 2021-2022 et les intervenants du centre national de correction (Cnc et Cno) ne sont pas toujours payés.
Il faut dire que le secteur de l’éducation en République démocratique du Congo connait un problème s’agissant de la paie des enseignants ainsi que des inspecteurs.