La gestion publique et le combat contre le banditisme financier : Cheval de bataille de Jules Alingete ( Tribune de Didier Mbongo Mingi)

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Nommé à la tête de l’Inspection générale des finances, le 01 juillet 2020 par le Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi, Jules Alingete appuie le Chef de l’État dans la lutte contre la corruption et les détournements des deniers publics.
Durant le premier mandat de Félix Tshisekedi, l’IGF a réalisé plusieurs exploits notamment l’audit des fichiers de paies des fonctionnaires de l’État, la renégociation du contrat Sicomines, les dossiers des forages d’eau et des lampadaires qui lui attirent des attaques de tout genre par les prédateurs financiers.
La gestion publique est un pilier essentiel de tout pays. Elle implique la prise en charge des ressources publiques, leur utilisation efficace et transparente, ainsi que la reddition de comptes envers les citoyens. Cependant, lorsque le banditisme financier s’infiltre dans la gestion publique, cela menace la confiance du public et l’intégrité du système.
Le banditisme financier est un acte antipatriotique
Le banditisme financier dans la gestion publique est un acte antipatriotique. Voici pourquoi :
Lorsque des responsables publics détournent des fonds destinés à des projets d’intérêt général, ils privent la population de services essentiels tels que l’éducation, les soins de santé et les infrastructures.
La corruption au sein de l’appareil gouvernemental nuit à la confiance des citoyens. Elle crée un climat d’injustice et d’inégalité, sapant ainsi les fondements mêmes de la démocratie.
Le banditisme financier entrave le développement économique et social. Les ressources qui pourraient être investies dans des projets productifs sont détournées vers des comptes personnels.
Pour lutter contre le banditisme financier, il est crucial d’établir des mécanismes de transparence et de responsabilité. Des audits réguliers doivent être effectués pour surveiller l’utilisation des fonds publics. Les responsables doivent rendre compte de leurs actions.
Des lois strictes contre la corruption et le détournement de fonds doivent être appliquées sans exception. Et surtout la peine de mort… Les citoyens doivent être informés et encouragés à participer activement à la surveillance de la gestion publique.
La gestion publique est un devoir sacré envers la nation. Le banditisme financier est une trahison envers ce devoir. En tant que citoyens, nous devons exiger la transparence, la responsabilité et la justice pour garantir un avenir meilleur pour tous.

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