Près de 80 ans se sont écoulés depuis la défaite du Japon (Etat ennemi selon la Charte de l’ONU du fait de ses crimes les plus graves contre l’Humanité commis pendant son occupation 1905-1945 manu militari en Corée tels que le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes et l’enlèvement de plus de 8,4 millions Coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, etc., NDLR). Aujourd’hui le 5 avril, la Fête Chongmyong-nal ou la 5ème quinzaine du printemps en Corée, où le temps est le plus beau, le plus clair et le plus favorable de toute l’année pour aller rendre visite aux ancêtres de chaque foyer, toute la Nation coréenne;
– n’oublie jamais les crimes immoraux on ne pouvait plus monstrueux que le Japon avait perpétrés dans le passé
– se raffermit dans sa détermination de faire, sans faute, le règlement de compte avec son ennemi juré ou avoué.
Voici quelques 2 des centaines et des milliers des événements de l’époque des ténèbres.
Le pillage de gangster
Dès le début de son occupation de la Corée, le Japon portait son attention sur les terres fertiles de ce Pays-là. A l’époque, les rapports de propriété foncière féodaux régnaient dans les campagnes rurales de la Corée où les paysans occupaient 80% de la population active. Le Japon avait;
– considéré l’accaparement des terres comme la base économique de sa domination coloniale et fait flèche de tout bois à cette fin
– forgé, déjà, différentes lois vicieuses pour s’approprier les terres de la Corée et s’atteler, pour de bon depuis 1910, à son pillage sous prétexte du «recensement des terres»
– établi, en mars 1910, les «règlements du bureau de recensement des terres» pour justifier son pillage des terres en Corée et nommé un Japonais chef de service d’arpentage dudit bureau
– publié la «Loi sur le recensement des terres» et les «Règlements pour l’application de la Loi sur le recensement des terres»
– annulé les rapports de propriété foncière reconnus par la Dynastie féodale (1392-1905) Joson et déclaré que l’on ne pouvait posséder que les terres reconnues par lui-même
– rendu compliquées la méthode et la procédure relatives à la déclaration du droit de propriété foncière, de sorte que les terres d’un grand nombre de paysans coréens tombent en la possession des Japs et de leurs laquais (Le «recensement des terres» lui a permis d’arracher plus d’un million d’hectares de terres aux cultivateurs coréens)
– exploité, cruellement, les paysans coréens en pratiquant le prêt usuraire et appliqué, en vue de spolier ceux-ci même d’un grain de riz de plus, la politique agricole trompeuse et emporté, au Japon, même des semences sans parler des vivres des cultivateurs, sous prétexte de l’«offre au Gouvernement».
Ces crimes perpétrés sous prétexte du «recensement des terres» montrent que le Japon était vraiment non seulement l’occupant de la Corée mais aussi le pillard abominable.
La «Loi de mobilisation générale de l’Etat»
Le Japon qui se livrait, pour de bon, aux manœuvres de guerre d’agression (contre la Chine depuis 1937, NDLR) dans la seconde moitié des années 1930 avait;
– publié, le 1er avril 1938, la «Loi de mobilisation générale de l’Etat» pour pallier le manque de mains-d’œuvre et appliqué même dans ses Pays colonisés
– réquisitionné, de force, des millions de Coréens sans distinction d’âge et de sexe pour les travaux forcés et emmené, de force, partout où son Armée allait y compris l’Archipel du Pacifique-Sud et les Philippines, sans parler de l’Archipel du Japon, et imposé les travaux d’esclave moyenâgeux
– enfermé dans les camps de concentration et privé même des droits élémentaires de l’homme. (Les Coréens étaient surmenés comme des bêtes de somme dans de mauvaises conditions de travail.)
– astreint à travailler dans les secteurs les plus dangereux et les plus pénibles tels que chantiers de construction des ouvrages militaires, houillères, mines et chantiers de construction du barrage.
Un Coréen qui avait été emmené, de force, à une houillère japonais déclara: Chaque groupe était composé de 2 personnes. L’une s’occupait de l’extraction et l’autre du transport. Si l’on ne terminait pas sa tâche de travail fixée, on ne pouvait sortir dehors. Il arrivait que l’on travaille pendant 19h à partir de 07h pour sortir le lendemain à 03h. On se nourrissait, d’habitude, de tourteau de soja, voire de ce que même le porc ne veut pas manger, et on n’avait pas de force de travailler.
Quant à ceux qui tapaient tant soit peu sur leurs nerfs, les Japonais leur infligeaient toutes sortes de punitions inhumaines. En outre, ils massacraient, sans merci, les Coréens. Selon les données, plus de 60.000 Coréens trouvèrent la mort, de 1940 à 1944 dans les houillères du Japon. Les Japonais assassinèrent ceux qui y avaient survécu heureusement, cela en vue de cacher la vérité des travaux forcés.
Cependant, le Japon s’évertue à farder leur passé criminel en prétendant que «ladite réquisition s’était faite selon le libre consentement des Coréens». C’est le comble du cynisme et de l’effronterie.