A l’occasion de la Fête significative de Février

A l’occasion de la Fête de l’Etoile, fête nationale suprême, ont eu lieu le 17 février des compétitions sportives entre les membres du Cabinet et du ministère de la Défense nationale.
Kim Jong Un, Secrétaire général du Parti du travail de Corée et Président des affaires d’Etat de la République populaire démocratique de Corée, a bien voulu y assister.
Son apparition sur la tribune a été saluée par une tempête d’acclamations de « vivats ! » de tous les joueurs et spectateurs.
A ces épreuves sportives ont assisté Kim Tok Hun et Jo Yong Won, membres du Présidium du Bureau politique du Comité central du PTC, les cadres du CC du Parti, dont Ri Il Hwan et Kim Jae Ryong, secrétaires du CC du Parti, le personnel du Cabinet, les responsables des ministères et autres organismes du niveau central.
Y étaient également présents les commandants du MDN, entre autres Kang Sun Nam, Pak Su Il et Jong Kyong Thaek, des officiers et soldats, le personnel enseignant et administratif et les élèves des établissements d’enseignement militaire.
D’abord, a eu lieu un match de football entre les membres du Cabinet et du MDN. L’épreuve s’avérait tout le temps échauffée.
Vers la 32e minute de la première mi-temps, le joueur n° 12 de l’équipe du MDN a réussi à arriver jusqu’au-devant du but adverse et à marquer un but le premier.
Entre les deux mi-temps, les sportifs du club d’aviation de Pyongyang ont fait une démonstration de vol délicat de modèles réduits d’avion, réjouissant les spectateurs.
Vers la 55e minute dans la seconde mi-temps, le joueur n° 22 de l’équipe du Cabinet a réussi un penalty. Depuis, le match se déroulait de façon plus acharnée.
L’enthousiasme des supporteurs aussi allait croissant. A ce match de football, l’équipe du MDN a battu son adversaire par 3 : 1. Ensuite, a eu lieu une lutte à la corde entre ces deux équipes.
A cette compétition, l’équipe du MDN a triomphé par 2 : 0. Le match terminé, s’est déchaînée une nouvelle tempête d’acclamations.
Les cadres du Cabinet et du MDN ont adressé leurs remerciements sans bornes au Secrétaire général Kim Jong Un qui avait veillé à ce qu’on organise les festivités sportives et culturelles significatives à l’occasion de la Fête de l’Etoile, même en les honorant de sa présence malgré son emploi du temps surchargé et leur insufflant de la force et du courage inépuisables.
Tous les participants étaient fermes dans leur volonté de donner toute mesure de leurs intelligence et ardeur dans une lutte pour faire de cette année une année de grand tournant, année de transformation digne d’être inscrite dans l’histoire de développement de la RPDC.




États-Unis : homicide de Mgr O’Connell, évêque auxiliaire de Los Angeles

L’évêque auxiliaire de Los Angeles, Mgr David O’Connell, 69 ans, a été retrouvé tué par arme à feu dans une maison à Hacienda Heights, à 30 kilomètres du centre-ville de Los Angeles, en Californie, le 18 février dernier. Les circonstances de sa mort font l’objet d’une enquête, indique Vatican News.

Un homme soupçonné d’être lié à la mort de Mgr O’Connell a été interpellé lundi 20 février par les autorités de la ville. Il s’agit de Carlos Medina, le mari de la femme de ménage de l’évêque assassiné, indique le site officiel de l’archidiocèse Angelus News.
Né en Irlande, Mgr O’Connell a servi dans l’archidiocèse de Los Angeles pendant les 43 dernières années en tant que prêtre puis évêque auxiliaire, nommé à ce poste par le pape François en 2015.
Mgr José Horacio Gomez, l’archevêque de Los Angeles, a exprimé sa « tristesse » et « un choc » après avoir appris la nouvelle sur l’assassinat. Mgr O’Connell « était un homme de paix avec un cœur pour les pauvres et les migrants, a dit l’archevêque, et il était passionné par la construction d’une communauté où le caractère sacré et la dignité de chaque vie humaine étaient honorés et protégés ».
Plusieurs personnes se sont rassemblées sur le lieu du décès pour allumer des bougies et prier le chapelet.




Du matériel électoral trouvé dans un véhicule accidenté: La CENI exige des enquêtes objectives

De plus en plus, l’on s’achemine vers l’organisation des élections libres, transparentes et démocratiques en République démocratique du Congo. Pour ce faire, la Centrale électorale que dirige Denis Kadima est en train d’identifier, avant d’enrôler les Congolais en âge de voter. C’est dans ce sens que du matériel électoral est transporté en toute sécurité pour être disséminé dans tous les coins de la République, en vue de faciliter cette opération.
Mais tel n’a pas été notre étonnement en lisant le communiqué, où la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) porte à la connaissance de l’opinion publique qu’elle a été saisie, en date du lundi 20 février 2023, de l’accident des véhicules survenu à 15 kilomètres de la ville de Tshikapa, dans la province du Kasaï. Dans l’un des véhicules entré en collision, il se trouverait du matériel électoral dont l’origine et la destination sont encore inconnues et font l’objet des enquêtes judiciaires.
Ceci appelle à notre niveau plusieurs interrogations et questionnements. Comment expliquer que le matériel électoral s’est retrouvé entre les mains d’un privé ? Comment assure-t-on la sécurité du matériel électoral ? Que fait la CENI du matériel des aires où l’enrôlement s’est terminé ? Sinon, il y a à craindre qu’un quidam puisse s’approprier du matériel de la CENI et fabriquer frauduleusement des cartes d’électeurs qui lui serviront lors des échéances électorales prochaines.
C’est ainsi que la CENI invite les instances judiciaires et policières compétentes à faire diligence dans la recherche des coupables et que des sanctions sévères et exemplaires leur soient infligées. Mais en interne, la CENI devait initier des enquêtes, pour savoir si la brèche ne vient pas d’elle-même. Sinon, depuis son arrivée à la tête de la CENI, Denis Kadima travaille en vue de la crédibilisation de la Centrale électorale. Il doit de ce fait veiller pour que des gens mal intentionnés ne viennent casser cette confiance qui renait entre la CENI et le peuple appelé à renouveler les mandats de ses dirigeants.
En attendant que les instances compétentes qui instruisent le dossier fassent toute la lumière sur cet incident malheureux, indique le même communiqué signé par le président Denis Kadima, la CENI rappelle à l’opinion que dans son communiqué de presse n° 007/CENI/2023 du 14 février 2023, elle avait attiré l’attention de la population sur le fait que le matériel électoral, allant des Kits d’enrôlement des électeurs, aux panneaux solaires et batteries au lithium faisait l’objet de diverses convoitises. À cette occasion, les numéros ci- après avaient été communiqués à la population afin de dénoncer toutes pratiques inciviques et antivaleurs. Il s’agit des numéros : +243 81 95 61 641 ; +243 84 76 80 466 ; +243 97 73 16 978.
La CENI se dit disposée d’apporter son concours pour l’établissement de la vérité et promet de tirer toutes les conséquences qui s’imposeraient si jamais son personnel, à quelque niveau que ce soit, serait impliqué.
Le lundi dernier en effet, un bus et une Toyota Land cruiser sont entrés en collision au Kasaï sur la route nationale numéro 1, faisant quatre morts, dont une femme. Certaines personnes affirmaient que les témoins avaient retrouvé entre autres un kit d’enregistrement d’électeurs et des fiches d’identification d’électeurs dispersées au sol après l’accident.
Jean-Marie Nkambua




Chambres froides et vivres frais à Kinshasa La ‘’douane’’ exigée à la clientèle suscite des interrogations

A Kinshasa, une pratique est courante dans les chambres froides, c’est le paiement des frais appelés ‘’douane’’. L’agent qui perçoit ces frais est posté à la porte de sortie de la chambre froide, où il exige les 10% des frais dépensés à l’intérieur pour les achats, la facture faisant foi. Dans le contexte actuel proclamé Etat de droit, des voix s’élèvent pour demander aux autorités de faire la différence, en élucidant le sens de telles pratiques. ‘’Il n’est pas mal que les gens des chambres froides ponctionnent des frais qu’ils qualifient de douane. Mais je pense que, par respect à la multitude qui fréquente ces lieux des vivres frais au quotidien, le bon sens veut que les mains qui paient sachent pourquoi elles paient’’, a relevé un père de famille.

Comme on le comprend, le marché des biens et service bouillonne à Kinshasa, entre-temps, l’action des ‘’warriors’’ (termes utilisés en avril 2021 pour désigner les membres du gouvernement Sama Lukonde) se fait encore attendre.
A Kinshasa, les ménages doivent majoritairement leur survie aux vivres frais. C’est notamment ce secteur qui fait la force des nationaux et des expatriés ayant investi leurs capitaux dans le secteur. Cette situation de dépendance est devenue caractéristique de la vie des ménages dans la capitale congolaise. Pourtant, le sol congolais a vocation agricole.

Quid du syndicat des consommateurs
En effet, la pratique de douane telle que cela est perçue depuis plus d’une décennie dans les chambres froides de Kinshasa, traduit du mépris pour les consommateurs. De fil en aiguille, les opérateurs privés du transport en commun, profitant du laxisme des autorités locales, soumettent les usagers à des pratiques comme liberté des prix et demi-terrain. Le premier consiste pour l’équipage, à embarquer les passagers sur base d’une tarification subjective. L’autre pratique est la subdivision en deux voire trois d’une même trajectoire. Les consommateurs des vivres frais qui se trouvent au bout du circuit économique, donc dans les ménages, subissent le contrecoup des frais de douanes indûment perçus par le personnel des chambres froides. Pendant ce temps, l’avènement d’un Etat de droit n’a pas à ce jour, outillé le syndicat des consommateurs. ‘’La relation marché-ménage est si sensible dans un contexte d’Etat de droit que cela requiert de la vérité et du dynamisme dans la gouvernance‘’, a indiqué un observateur. Dans le même ordre d’idée, la brouille journalière dans le secteur du transport en commun est aussi un heurt à l’esprit de l’Etat de droit.

Quid de la revanche du sol sur le sous-sol
Loin d’un slogan creux, la revanche du sol sur le sous-sol est une vision exprimée, trois ans plus tôt, par le président de la République Félix-Antoine Tshisekedi. C’est que la RDC se trouve face à l’impératif de diversifier ses activités, en vue notamment de sortir du cap d’économie vulnérable. Le sol faisant penser à l’agriculture à relancer à tout prix, le sous-sol renvoie au secteur minier. Et c’est notamment à cause de l’idée trop appuyée sur ce secteur par les nationaux et étrangers (parmi lesquels le tandem multinationales et puissances militaro-affairistes) que le Congo a été plongée dans un cycle de déstabilisation, voilà trois décennies. Bien des élites ont dénoncé, les uns et les autres dans leur langage particulier :

‘’Les Occidentaux créent des guerres partout’’, dixit le professeur Emile Bongeli
Dans son livre de parution récente intitulé : ‘’La Mondialisation, l’Occident, la RDC’’, le professeur sociologue Emile Bongeli fustige l’attitude va-t-en guerre des milieux militaro-affairistes occidentaux. ‘’Le Nigeria première puissance économique d’Afrique, on lui crée le ‘’Boko Haram’’ (groupe terroriste défiant le Nigeria et des pays de la région).L’on a créé des zones de tension dans toute la bande Est de la RDC, pour l’empêcher d’amorcer son développement’’, dixit l’auteur mercredi 25 janvier 2023, reçu à l’émission télé ‘’Ecriteau’’ pour la présentation de son livre.

‘’Nous avons à lutter contre les terroristes et leurs sponsors étrangers. Car les terroristes sont souvent fabriqués pour déstabiliser nos Etats’’

(Le ministre malien Abdoulaye Diop, mardi 7 février courant. C’était à l’occasion d’un point de presse co-animé avec le ministre des Affaires étrangères russe Sergueï Lavrov à Bamako, balancé en différé sur France 24)
Ancienne sénatrice américaine, Cynthia Mckinney constate le mutisme du Conseil de sécurité
Elle a également été l’envoyée spéciale de l’ancien président Bill Clinton dans la Région des Grands Lacs. Cynthia McKinney a notamment écrit ce qui suit dans sa préface du livre de Charles Onana ‘’Ces tueurs tutsi au cœur de la tragédie congolaise’’, en page 9 : ‘’A vrai dire, nous disposons des preuves suffisantes sur ce que fait le Rwanda dans cette partie de la région. Mais à ce jour, aucune sanction n’a été prise pour arrêter la guerre et le pillage des ressources naturelles en RDC. Lorsque j’étais au Congrès, j’avais aidé le groupe d’experts des Nations-Unies à rassembler des preuves sur le pillage en RDC. Au final, le Conseil de sécurité n’a adopté aucune sanction à l’encontre des pilleurs.

Les animateurs d’institutions doivent aider la République en s’appropriant la vision du chef de l’Etat
Il est souhaitable voire nécessaire que les décideurs et autres animateurs d’institutions fassent preuve de volonté politique, pour véritablement accompagner le chef de l’Etat dans sa vision exprimée à travers ce concept : ‘’ Revanche du sol sur le sous-sol’’. Car une chose est d’être avec le chef, une autre d’être pour le chef. Celui-ci n’étant pas un magicien, comme l’avait explicité dans un discours mémorable, feu le président Mobutu Sese Seko. C’était en 1980 : (Citation) ‘’Le président de la République n’est pas un magicien. Seul, il ne peut rien ; avec l’appui de tout son peuple, il peut tout. Mais, nous devons éviter que les efforts du peuple soient anéantis par l’inconscience et la cupidité de certains cadres’’. (Fin de citation)
Quarante-trois ans après ce discours inspiré de ce qui était appelé alors ‘’le plan Mobutu’’, l’élite dirigeante ne devrait pas faire du sur place. Le plan Mobutu comportait, en effet, trois volets :: la remise en ordre de la gestion ; la stabilisation économique et financière par le contrôle et la régulation de la demande ; l’action sur l’offre. Quarante-trois ans plus tard, Sa Sainteté le pape François est venu en RDC, fin janvier dernier, rappelant aux cadres de l’Etat l’impératif de quitter l’avidité. A jeunes, il a fait répéter pédagogiquement, le ‘’Non à la corruption’’.

Bien encadrer le secteur maraîcher, pour atténuer les importations alimentaires
Toutefois, il n’y a aucune raison pour que la Rd Congo puisse gaspiller des sommes énormes pour importer les vivres à partir d’autres pays, parfois moins riches. D’autant plus qu’à partir d’énormes potentialités naturelles qu’elle regorge, la Rdc est à même de produire suffisamment de nourritures pour sa population et ainsi, assurer sa sécurité alimentaire. Mais ce qui manque, c’est seulement une politique adéquate de développement agricole dans le pays, afin de pouvoir mettre en valeur toutes les potentialités nécessaires.
Quant à la solution à ce paradoxe, comme l’a si bien écrit un confrère, celui d’un pays extraverti mais potentiellement riche, ce n’est pas trop tard, seulement une question d’organisation et de volonté politique. Le gouvernement congolais devrait aligner dans l’ordre des priorités le secteur agricole. Parce que c’est un secteur vital et le premier des besoins sociaux de base à côté de la santé et de l’éducation.

Payne




À Tshikapa : Le député Théo Kazadi invite la population à s’enrôler massivement pour offrir au chef de l’État un second mandat

Allons-y tous prendre nos cartes d’électeurs pour donner un second mandat au chef de l’État Félix Tshisekedi béton et lui accorder une majorité parlementaire écrasante. Nous qui sommes ici sommes vos élus, il n’y a pas de discussion pour le prochain mandat”, a-t-il déclaré devant la foule venue l’accueillir à l’aéroport national de Tshikapa.

S’agissant de la mort de 4 membres de son parti politique lors d’un accident de circulation près de Tshikapa, le président national de la DTC a rappelé à la foule que la mort est certaine.
“La mort, c’est le problème de Dieu. Je vous remercie beaucoup parce que malgré ce qui nous est arrivé, vous n’avez pas reculé, nous allons pleurer nos frères et sœurs qui sont morts. Il y aura une messe qui sera organisée pour honorer la mémoire de nos héros”, dit-il, avant de demander aux militants du parti DTC d’être prêts pour donner un second mandat à Fatshi.
Le député Théo Kazadi Muayila a été accompagné par plusieurs centaines de ses sympathisants jusqu’à la morgue de l’hôpital général de référence de Tshikapa où il a fait couler les larmes en présence des membres des familles éprouvées.
Dans sa suite se trouvaient des cadres du parti DTC, notamment l’ancien vice-gouverneur du Kasaï, Hubert Mbingho, le députés provinciaux Castro Ntumba Kambulu et Florimond Tshioko, le député national Didier Kodoro du Nord-Ubangi, le député national Jean Pierre Kayembe du Kasaï Central, le DG de l’OCC Étienne Tshimanga et plusieurs autres personnes dont deux anciens députés provinciaux

Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa ville




Le Sénat annonce la mort du sénateur Flory Tumba à la suite de l’incendie d’un immeuble à Limete

Plusieurs personnes sont mortes dans la matinée ce mercredi 22 février, dans l’incendie d’un immeuble de trois niveaux sur la 8ème rue Limete industriel, en face du lycée technique de Limete. Deux autres personnes sont mortes en se jetant dans le vide à partir du 3ème niveau.
« Bonjour Estimés Collègues, suite à un incendie à son appartement sise 8ème rue Limete industriel, le Sénateur Flory Ntumba est décédé en sautant du 3ème étage après avoir sauvé ses enfants. Son épouse n’a malheureusement pas été retrouvée. Le feu continue de décimer l’immeuble », écrivait un sénateur au courant de la journée.
Dans un communiqué officiel, le président du Sénat, le professeur Modeste Bahati informe les sénateurs des circonstances de cet incendie. « Le bureau du sénat a la profonde douleur de vous annoncer le décès, ce jour, du sénateur Ntumba Mbuyi Flory, de suite d’un incendie survenu à son appartement, à la 8ème rue Limete industriel », indique le communiqué qui précise qu’il a tenté de se sauver en sautant de son appartement situé au 3ème «étage de l’immeuble.
L’incendie s’est produit vers 7 heures 45, à en croire plusieurs témoins. Son origine n’est pas encore connue. Selon les témoins sur place, jusque 9 heures, beaucoup de gens étaient encore piégés par les feux.
« Le feu a commencé par la toiture. Apparemment, quelqu’un aurait laisser son réchaud allumé. Je suis sur place. Deux personnes se sont jetées à partir du 3ème niveau et sont mortes sur place, les autres complètement brulées, mais sont encore à l’intérieur. Nous attendons l’arrivée des responsables pour identifier le nombre de corps à l’intérieur. Le 3ème troisième niveau est complètement calciné, il n’y a plus rien si ce n’est la toiture », rapporte un témoin de cet évènement malheureux.
Il poursuit que les sapeurs-pompiers, pourtant alertés, ne sont pas arrivés : « On a tenté d’appeler les sapeurs-pompiers, hélas, ils ne sont pas venus. Nous tentons d’évacuer les gens à l’intérieur, mais c’est difficile. Il y a eu beaucoup de véhicules dans le parking, on a cassé les vitres pour les éloigner de l’immeuble, car il n’y avait pas le temps d’aller chercher les clefs de contact ».
JMNK




La Lijukin annonce un changement radical dans l’organisation de son championnat saison 2022-2023

La saison sportive 2022-2023 en ce qui concerne le championnat de judo court encore. Sur les six entités que compte la Ligue de Judo de Kinshasa ‘’Lijukin’’ à savoir :

1. Entente Urbaine de Judo de Kinshasa Est ‘’Eujk-Est’’
2. Entente Urbaine de Judo de Kinshasa Ouest ‘’Eujukino’’
3. Entente Urbaine de Judo de Kinshasa Centre ‘’Eujk-Centre’’
4. Entente Urbaine de Judo de Kinshasa Lukunga ‘’Eujk-Lukunga’’
5. Entente Urbaine de Judo de Kinshasa Tshangu ‘’Eujk-Tshangu’’
6. Ligue de Judo de Kinshasa ‘’Lijukin’’
Il reste plus que l’Eujk-Est, l’Eujk-Lukunga et l’Eujk-Tshangu qui continuent leur championnat respectif pour voir la Lijukin entamer le sien. Ces entités ont 20 jours pour clôturer leur championnat respectif.
La Lijukin que préside Me Eugène Aliwu Tshiam, CN 6è Dan compte, suivant le calendrier de la fédération, organiser son championnat au mois de mars ou avril pendant 10 jours seulement. Les clubs ayant déjà terminé leur championnat et qui sont éligibles à ce championnat, peuvent passer au bureau de la Lijukin pour se mettre déjà en ordre.
Réforme au niveau du championnat
Les clubs de la ville province de Kinshasa doivent savoir que le mode de championnat pour 2023 a changé. Il y aura plus de compétitions en individuel que par équipe au niveau des ententes et ligue. Elle aura l’occasion d’expliquer aux clubs comment ça va se passer. Cependant, la ligue a besoin des sponsors pour réussir son pari. Quant au lieu où se dérouleront toutes les finales, la ligue opte pour le studio Mama Angebi de la RTNC.
Conditions à remplir pour les anciens clubs
1. Identification des athlètes et recensement des clubs se feront début mois de février. Les clubs doivent présenter les documents ci-après :
1. Autorisation d’ouverture du club délivrée par le chef de service des sports et loisirs de sa commune
2. Attestation d’affiliation du club délivrée par la Lijukin moyennant 20 $
3. Diplôme du responsable du club 3è Dan minimum
4. Les P.V de l’Assemblée Générale de deux dernières saison (2020 et 2021).
Conditions à remplir pour les nouveaux clubs
1. P.V de l’Assemblée Constituante datant de 2 ans
2. Seuls les clubs viables seront conviés à participer à l’assemblée générale de la Lijukin.
Le souhait de la Lijukin est que les présidents des clubs fassent un effort pour que leurs clubs respectifs se mettent en ordre. Il ne voudrait pas entendre des gens crier après que leurs clubs ont été écartés surtout pendant les élections.
Antoine Bolia




Actions menées par la Mutuelle des Dirigeants de Judo de Kinshasa

A l’actif de la Mutuelle des Dirigeants de Judo de Kinshasa ‘’M.D.J.K’’, l’on dénombre plusieurs actions à impact visible.

La MDJK a apporté secours à 100 % aux soins de santé du secrétaire exécutif de l’Entente Urbaine de Judo de Kinshasa Est ‘’Eujk-Est’’, ‘’Des AS’’. Malheureusement, c’était contre la volonté divine. Le seigneur a rappelé à lui son serviteur. A la mort de ce dernier, la MDJK avait pris totalement en charge ses obsèques (achat du cercueil, corbillard, cimetière etc).
Il faudra retenir que la MDJK a apporté concours aux obsèques des judokas ci-après :
-Gd Me Mvambanu ‘’Chiku’’
-Me Elim Tozo
-Me Bongwanzi ‘’Fusco’’.
En outre, la MDJK était présente et a apporté assistance aux obsèques de Me Samuzu ‘’Tchetche’’ en remettant une enveloppe à la veuve. L’on a revu la MDJK aux obsèques de Me Bob Ngoy. Là également elle a remis quelque chose à la veuve.
Signalons que les activités de la MDJK s’étaient par la suite refroidies suite aux désintéressements de certains dirigeants. En tant qu’initiateur de la mutuelle, Me Aliwu s’est évertué à faire revivre celle-ci. Bon nombre des dirigeants ont accepté de lui prêter main forte. Des Haut gradés se sont manifestés. Il s’agit de :
-Me Day Lukembeso
-Me Matondo Ndombolosi Matis
-Me Lihonge Mo Lihele
-Me Lungikama Sobin
Ces hauts gradés ont déjà commencé à contribuer pour aider la mutuelle à renflouer ses caisses. Aujourd’hui, point de doute possible. La MDJK est belle et bien de retour dans l’arène. A titre illustratif, elle s’est illustrée positivement aux obsèques du Grand Me Nzuzi Nguidi ‘’Chaolin’’. Sans la présence des sportifs, on ne sait pas ce qui devrait advenir des obsèques du précité puisque sa famille était dépourvue des moyens. D’où, il a fallu plus d’un mois pour que ce grand Me de Tai Jitsu soit enterré.
Par ailleurs, ayant reçu la demande de la veuve de Me Samuzu Tchetche et Me Bob Ngoy, la MDJK envisage de faire quelque chose pour la scolarité des enfants de ces deux maitres.
Pour Me Aliwu, le bienfondé de l’existence de la MDJK pour mieux le démontrer, il se réfère au passé en faisant allusion à feu Me Diomi Ndongala. Ce dernier avait créé l’Union Sport de combat du Congo pour être comme un syndicat des sportifs. Dommage, note-t-il, ce dernier n’avait pas été soutenu. La MDJK fait appel aux gens de bonne volonté et surtout ceux qui font partie de la fédération. Ils sont des produits de la ville de Kinshasa. Avec le concours de tous, cette structure ira loin. L’appel est donc lancé à tous ceux qui aiment le judo d’apporter leur pierre à l’édifice de cette structure. L’objectif est clair, bannir la pauvreté grâce à l’entraide et l’assistance d’un dirigeant de judo qui est dans le besoin. La MDJK fait appel aux dirigeants des clubs qui veulent adhérer, de venir la rejoindre. Le faisant, ça va aussi aider leurs clubs.
Antoine Bolia




En vue de redonner espoir aux judokas: Me Aliwu, président de la Lijukin ressuscite la Mutuelle des Dirigeants de Judo de Kinshasa

Nul ne peut prévoir ce que l’avenir nous réserve. Le livre de vie qu’est la bible donne encore plus d’éclairage. Et l’on y découvre une vérité : ‘’Mon peuple meurt faute des connaissances’’. Face au dénouement dont étaient victimes bon nombre des sportifs en général et judokas en particulier, Me Eugène Aliwu Tshiam, président de la Ligue de Judo de Kinshasa ‘’Lijukin’’ eut l’idée depuis les années 2008 de créer une mutuelle d’entraide et assistance entre dirigeants de judo de Kinshasa.

Genèse de l’idée
Pour la petite histoire, tout est parti de la situation de maladie que traversait le nommé ‘’Des AS’’, secrétaire exécutif de l’Entente Urbaine de Judo de Kinshasa Est’’Eujk-Est’’. La famille de ce dernier n’était pas en mesure de lui apporter les soins nécessaires. Révolté et soucieux, Me Aliwu eut l’idée de la création d’une caisse, mieux une mutuelle pour apporter assistance aux dirigeants dans le besoin. Il fit part aux autres dirigeants des ententes qui ont adhéré à cette idée. Ainsi naquit la Mutuelle des Dirigeants de Judo de Kinshasa ‘’M.D.J.K’’.
Au départ de la MDJK il y avait les dirigeants ci-après :
-Félix Iyoto
-Minimbu Bibola ‘’MB’’, président de l’Eujk-Est’’
-Biasala Nzab ‘’Brek’’, secrétaire provincial Lijukin
-Tshilongo Malaba, président de l’Eujukino
-Esanga Bofeyi Roger, secrétaire exécutif de l’Eujukino
-Guy Mbuyi, président de l’entente Kin-Lukunga
-Kabeya Jean Pierre, secrétaire exécutif entente Kin-Lukunga
-Mwata Mubiayi ‘’NIS’’, président entente Kin-Centre
-Feu Bob Ngoy, secrétaire exécutif entente Kin-Centre
-Colonel Mukoko ‘’Packis’’.
Objectifs poursuivi : entraide et assistance suivant la maxime du fondateur de judo, le japonais Jigoro Kano.
La MDJK a mené des actions à impact visible qui démontrent le bienfondé d’une telle structure qui ne demande que la bonne volonté des adhérents.
Antoine Bolia




Para badminton, la RDC avait fait sensation au championnat d’Afrique à Kampala

Les athlètes congolais avaient réalisé des exploits au championnat d’Afrique des Nations de Para badminton du 18 au 24 septembre 2022 dernier à Kampala, en Ouganda.

A cette compétition, la RDC devait aligner 7 athlètes. Fautes des moyens, elle n’a pu amener que 4 athlètes (2 garçons et 2 filles). Il s’agit de :
1. Prince Mamvumvu
2. Bob Kanga
3. Wivine Moyo
4. Frida Ditu
La RDC était alignée en simple messieurs, simple dame, Double messieurs, double dames et double mixte. 14 pays avaient pris part à la compétition. La RDC avait glané 6 médailles (3 or et 3 argent).
Prince avait glané 2 or + 1 argent, Bob Kanga 1 argent, Wivine Moyo 1 argent et Frida une or. Eu égard à la meilleure prestation de Prince, la confédération Africaine lui a octroyé une bourse du 15 décembre au 12 janvier 2023 à KualaLoumpur, en Malaisie au centre New Vision. C’est dans ce centre que Prince devait préparer les prochaines échéances et paralympiques Paris 2024. A ce jour, l’on ne sait si ce brillant jeune a effectué le déplacement.
D’autre part, les badistes de la RDC qui étaient attendus au Tournoi international de Badminton du 17 au 20 novembre 2022 ont brillé par leur absence. Ils ont brillé également par leur absence au championnat d’Afrique U19 du 11 au 18 décembre 2022 à Port Louis (Ile Maurice).
En termes clairs, résoudre les problèmes des sportifs de manière sélective n’est pas une bonne chose pour le ministère des finances censé être le parent de toutes les disciplines sportives. D’ailleurs, au terme de la loi sportive depuis sa promulgation, toutes les disciplines sont mises sur le même pied d’égalité. Il ne peut plus avoir d’un côté les privilégiés et de l’autre côté, des laisser pour compte. Le Ministère des finances à dire vrai devra bannir la discrimination, le favoritisme et l’injustice. Si aujourd’hui, 24 disciplines ont la délégation de pouvoir, il faudra que toutes signent des contrats d’objectif. Le financement pourra dépendre des performances. C’est une option que l’on peut prendre. Le sport congolais n’a pas besoin de la discrimination. Cette journée nationale du sport devra être une journée de méditation pour repenser à tous ces problèmes. Le sport congolais ira mieux.
Antoine Bolia