De la Marche Verte… à la marche du Développement   

Oui, depuis l’épopée historique de la Marche verte de la récupération des provinces du sud du Maroc à celle de leur développement, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts, ces provinces n’ayant plus rien à envier à celles du nord du Royaume.

Si, en effet, l’anniversaire de la glorieuse Marche verte est toujours célébré par le peuple marocain avec fierté, c’est que le train du développement inaugure à chaque année des stations importantes en matière de réalisations économiques et sociales. Et en ce 49-ème anniversaire de la Marche, elles sont particulièrement couplées à des progrès diplomatiques notables atteints par la cause nationale des Marocains.

A noter que cette fierté des acquis est partagée ces dernières années, puisqu’aux côtés des Marocains, les visiteurs -délégations et personnalités étrangères- de différents pays saluent, eux aussi, le saut qualitatif et quantitatif de ces réalisations ayant vu le jour notamment durant les 25 ans de règne de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et qui ont métamorphosé la région du Sahara, depuis sa récupération, en villes actives sur les plans économique et social : bien aménagées et respectueuses de l’environnement ; des villes, à l’image de Laâyoune et Dakhla où siègent, parallèlement aux entreprises, plusieurs Consulats généraux de pays amis, et qui connaissent particulièrement un grand essor socio-économique grâce aux investissements dans les différents secteurs à même de les transformer en métropoles à l’avenir encore plus prometteur. C’est pour cela d’ailleurs que la dynamique de développement qu’on observe au Sahara marocain est considérée comme l’une des plus élevées au niveau national.

A juste titre, les investissements enregistrés dans les différents secteurs d’activité dans la région du Sahara, dans le cadre de la régionalisation, ont été mis en exergue par le Président français Emmanuel Macron lors de sa visite d’Etat qu’il vient d’effectuer dans le Royaume à l’invitation de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Dans ce sens, M. Macron a rappelé, dans l’entretien qu’il a accordé à Medi1 TV et 2M, les investissements conséquents opérés par le Maroc sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI pour promouvoir le développement et la stabilité de cette région.

« Je crois que les voisins en sont conscients », a-t-il notamment fait observer, à ce propos.

Le présent et l’avenir du Sahara s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine

Depuis la Marche verte, en passant par l’œuvre de développement, les résolutions du Conseil de Sécurité de l’ONU et l’ouverture de représentations diplomatiques de nombre de pays à Laâyoune ou à Dakhla, force est de constater qu’après la reconnaissance de la marocanité du Sahara en 2020 par les Etats-Unis, l’anniversaire de la récupération des provinces du sud du Maroc est célébré cette année dans une dynamique particulière marquée par la position diplomatique de l’Espagne et de la France, notamment, deux pays liés à l’histoire du Royaume du Maroc, et directement à ce dossier.

La dernière position en date est d’importance capitale. C’est celle de la France, membre permanent du Conseil de Sécurité, qui, par la voix du Président Macron, a affirmé, dans une lettre adressée en juillet dernier à Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que le présent et l’avenir du Sahara s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine. M. Macron avait, dans cette lettre, assuré Sa Majesté le Roi de « l’intangibilité de la position française sur cet enjeu de sécurité nationale pour le Royaume » et que son pays « entend agir en cohérence avec cette position à titre national et au niveau international ».

La position de la France a été réaffirmée, avec force et dans les mêmes termes, dernièrement à Rabat, par le Président français dans le discours qu’il a prononcé au Parlement.

Pour accroître la présence consulaire et culturelle de la France au Sahara marocain

Sur cette voie, le ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, qui faisait partie de la délégation officielle accompagnant M. Macron lors de cette visite d’État au Maroc, a déclaré, à Rabat, à l’issue d’entretiens avec son homologue Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, que la France entend accroître sa présence consulaire et culturelle au Sahara marocain, en vue de la création d’une alliance française, réitérant la volonté de son pays de développer le partenariat maroco-français sur l’ensemble du territoire du Royaume, y compris au Sahara marocain.

« Nous avons joint les actes à la parole et j’ai le plaisir de vous annoncer que la carte du Maroc a été actualisée et mise en ligne sur le site du ministère (français) de l’Europe et des Affaires étrangères », s’était réjoui M. Barrot. Lui emboitant le pas dès le lendemain et dans le même élan, l’ambassadeur, représentant permanent de la France auprès des Nations Unies, Nicolas de Rivière, a réaffirmé, au Conseil de sécurité de l’ONU à New York, que « le présent et l’avenir » du Sahara s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine. « Notre position est connue. Pour la France, le présent et l’avenir du Sahara s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine », a-t-il déclaré, à l’issue du vote par le Conseil de la résolution 2756 prorogeant d’un an le mandat de la MINURSO, soulignant également qu’« il était important que le Conseil prenne note de cette dynamique comme il le fait désormais dans cette résolution ».

De la gestion au changement

C’est ainsi qu’il s’avère qu’un « consensus international de plus en plus large se dégage en ce sens », comme il l’a fait remarquer M. de Rivière, également, au Conseil de sécurité de l’ONU.

Et dans ce sens, et déjà en octobre dernier, Sa Majesté le Roi Mohammed VI avait bien rappelé dans Son discours au Parlement, à l’occasion de l’ouverture de la session d’automne, que « S’agissant de la question de notre intégrité territoriale, J’avais affirmé, dès Mon Accession au Trône, notre ferme intention de passer de la phase de gestion proprement dite à une dynamique de changement se déployant à l’intérieur comme à l’extérieur et couvrant tous les volets du dossier ».

(…) « Aujourd’hui, Dieu soit loué, la Vérité, qui finit toujours par supplanter toute autre considération, s’est révélée avec éclat car les Causes justes triomphent inévitablement ».

Par El Mostafa Nazih




SM le Roi adresse un message de félicitations à M. Donald Trump à l’occasion de son élection, à nouveau, à la Présidence des Etats-Unis d’Amérique

Sa Majesté le Roi Mohammed VI a adressé un message de félicitations à M. Donald J. Trump à l’occasion de son élection, à nouveau, Président des Etats-Unis d’Amérique.

Dans ce message, le Souverain exprime à M. Trump Ses plus sincères félicitations suite à son élection pour un nouveau mandat en tant que président des États-Unis d’Amérique, ainsi que Ses meilleurs vœux de plein succès dans ses hautes fonctions et dans ses efforts au service du peuple américain.

SM le Roi souligne que la victoire retentissante de M. Trump lors de ces élections est une reconnaissance de son patriotisme et une confirmation de son engagement continu à défendre les intérêts suprêmes des États-Unis, “notre ami et allié de longue date”.

Le Souverain affirme, dans ce sens, que le Royaume du Maroc et les États-Unis d’Amérique sont unis par une alliance historique et un partenariat stratégique qui ont résisté à l’épreuve du temps, ajoutant que “les valeurs que nous avons en partage et nos intérêts communs dans un large éventail de secteurs nous ont permis d’œuvrer constamment ensemble pour l’édification d’un avenir meilleur pour nos peuples, faisant de nos relations une force motrice au service de la paix, de la sécurité et de la prospérité au Moyen-Orient, en Afrique et au-delà”.

Dans ce message, SM le Roi rappelle que durant le précédent mandat de M. Trump, les relations bilatérales ont atteint un niveau sans précédent lorsque les États-Unis d’Amérique ont reconnu la pleine et entière souveraineté du Royaume du Maroc sur l’ensemble de son Sahara, soutenant que cet acte mémorable, pour lequel le peuple marocain sera à jamais reconnaissant, a constitué un jalon et un moment charnière, qui reflète la véritable profondeur de “notre relation spéciale et séculaire, porteuse des perspectives d’une coopération encore plus grande et d’un partenariat stratégique plus large”.

“Alors que nous sommes confrontés à des défis régionaux et mondiaux de plus en plus complexes, le Royaume du Maroc sera, plus que jamais, un véritable ami et un allié fidèle des États-Unis”, écrit le Souverain, réaffirmant Sa ferme détermination à œuvrer de concert avec M. Trump pour “faire promouvoir davantage nos intérêts communs et consolider notre alliance unique à tous les niveaux de coopération”.




SM le Roi adresse un discours à la Nation à l’occasion du 49ème anniversaire de la Marche Verte (Texte intégral)

Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, a adressé mercredi soir un Discours à Son peuple fidèle à l’occasion du 49ème anniversaire de la glorieuse Marche Verte.

Voici le texte intégral du Discours Royal: “Louange à Dieu, Prière et Salut sur le Prophète, Sa famille et Ses compagnons.

Cher peuple,

Nous sommes particulièrement fiers de commémorer aujourd’hui le quarante-neuvième anniversaire de la Marche Verte.

Pacifique et populaire, elle permit de récupérer le Sahara marocain et d’affermir l’attachement de sa population à la mère-patrie.

Depuis lors, le Maroc s’emploie avec succès à consacrer l’évidence d’une réalité tangible et d’une vérité irrévocable, fondées sur le socle du bon droit, de la légitimité et de l’engagement responsable.

Il s’agit notamment :

– Premièrement : de l’attachement de Nos fils du Sahara à leur marocanité et aux symboles sacrés de la Nation, en vertu des liens séculaires de la Beia qui unissent la population du Sahara et les Rois du Maroc ;

– Deuxièmement : de la dynamique de renouveau et de développement, de la sécurité et de la stabilité dont jouit le Sahara marocain ;

– Troisièmement : de la reconnaissance internationale accrue de la Marocanité du Sahara et du large soutien à la Proposition d’Autonomie. En contraste avec cet état de choses légitime et naturel, se dresse malheureusement une autre configuration, déconnectée du monde réel en ce sens qu’elle se nourrit des mythes du passé et s’accroche désespérément à des thèses périmées. Parmi ses tenants,

– Les uns réclament toujours la tenue d’un référendum, en dépit de l’abandon de cette option par les Nations Unies du fait de son inapplicabilité. Dans le même temps, ce sont les mêmes qui refusent le recensement des populations séquestrées dans les camps de Tindouf où, tenues en otages dans des conditions lamentables, elles sont humiliées, malmenées, privées des droits les plus élémentaires.

– Les autres, dans leur convoitise d’un accès à l’Atlantique, instrumentalisent l’affaire du Sahara.

A ceux-là, Nous disons tout simplement que nous n’y sommes pas opposés. De fait, ainsi que chacun le sait, le Maroc a été l’artisan d’une initiative internationale tendant à faciliter l’accès des Etats du Sahel à l’Océan Atlantique. Conçue dans un esprit de collaboration, de partenariat et de progrès partagé, cette entreprise se propose d’être bénéfique à l’ensemble des pays de la région.

– Il y a ensuite ceux qui se servent de l’affaire du Sahara comme paravent pour couvrir leurs nombreux problèmes domestiques.

– Il y a aussi une autre catégorie qui détourne les aspects juridiques de cette question à des fins politiques étriquées.

A ceux-là, Nous disons que les partenariats et les engagements juridiques du Maroc ne se feront jamais au détriment de son unité nationale et de son intégrité territoriale.

Le temps est donc venu pour les Nations Unies de prendre leurs responsabilités en mettant en évidence la grande différence entre deux paradigmes : celui qu’incarne le Maroc dans son Sahara, réaliste et légitime et celui qui repose sur une vision sclérosée, coupée du monde réel et de ses évolutions. Cher peuple,

L’affaire de notre intégrité territoriale se trouve à une phase qui requiert la mobilisation permanente de tous.

A cet égard, Nous tenons plus particulièrement à saluer le patriotisme des Marocains résidant à l’étranger et leur engagement à défendre les symboles sacrés de la Nation et à contribuer au développement de leur pays.

Afin de renforcer le lien entre cette frange de la population et la mère-patrie, Nous avons décidé d’opérer une nouvelle transformation dans le mode de gestion des affaires de la communauté marocaine à l’étranger. Les institutions concernées seront ainsi restructurées, de manière à prévenir le chevauchement de leurs attributions respectives et l’éparpillement des intervenants et afin d’assurer leur adaptation aux nouveaux besoins de cette communauté.

A cette fin, Nous avons orienté le gouvernement pour qu’il procède à la restructuration de ce cadre institutionnel autour de deux entités clés :

– La première est le Conseil de la Communauté marocaine à l’Étranger qui, en tant qu’institution constitutionnelle autonome, doit assumer pleinement son rôle de cadre de réflexion et de force de proposition et refléter la représentativité des différentes composantes de cette communauté.

A cet égard, Nous appelons à diligenter l’adoption de la nouvelle loi relative au Conseil, dans la perspective de son installation dans les meilleurs délais.

– La seconde est “la Fondation Mohammedia des Marocains résidant à l’étranger” : cette instance dédiée, une fois créée, deviendra le bras opérationnel de la politique publique en la matière.

Ainsi, la nouvelle Fondation sera chargée d’agréger les attributions actuellement dispersées entre une multitude d’acteurs, de coordonner l’élaboration et la mise en œuvre de la Stratégie nationale dédiée aux Marocains résidant à l’étranger.

En outre, cette nouvelle structure assurera la gestion du “Mécanisme national de mobilisation des compétences des Marocains résidant à l’étranger”, dont Nous avons appelé de nos vœux la création et que Nous avons inscrit en tête des missions dévolues à la Fondation.

Le but est d’ouvrir la voie aux compétences et aux expertises marocaines installées à l’étranger et d’accompagner les porteurs d’initiatives et de projets.

Par ailleurs, Nous attendons de cette institution qu’à la faveur de l’implication des départements ministériels concernés et des différents acteurs, elle donne une forte impulsion à l’encadrement linguistique, culturel et religieux des membres de la communauté, toutes générations confondues.

A ce propos, la simplification et la numérisation des procédures administratives et judiciaires à l’intention de Nos fils établis à l’étranger figurent parmi les défis majeurs que cette instance devra relever.

Nous avons également à cœur d’ouvrir de nouvelles perspectives aux membres de la Communauté qui sont désireux d’investir dans leur pays. En effet, il est inconcevable que leur contribution au volume des investissements nationaux privés se limite à 10%.

Cher peuple,

Les sacrifices de la génération de la Marche Verte nous incitent à plus de mobilisation et de vigilance pour renforcer nos acquis en ce qui concerne la consolidation de la marocanité du Sahara et pour poursuivre la dynamique de développement à l’œuvre dans nos Provinces du Sud.

Dans le même esprit, il faut veiller à ce que les fruits du progrès et du développement profitent aux citoyens de toutes les régions du pays, du Rif au Sahara, de l’Oriental à l’Océan, en passant par les zones montagneuses, les plaines et les oasis.

La célébration de la glorieuse Marche Verte est l’occasion pour nous de nous remémorer l’éternel serment de cette épopée, en gage de fidélité à la mémoire immaculée de Son Artisan, Notre Vénéré Père, Sa Majesté le Roi Hassan II, que Dieu l’ait en Sa sainte miséricorde, ainsi que des valeureux martyrs de la Nation. Wassalamou alaikoum warahmatoullahi wabarakatouh”.

MAP




A Goma : La Rdc et le Rwanda lancent le mécanisme de vérification ad hoc renforcé  

La Ministre d’Etat, Ministre des Affaires étrangères, Coopération internationale et Francophonie a assisté, ce mardi 05 novembre 2024 à Goma, au lancement du Mécanisme de Vérification Ad hoc renforcé (M-VAR) en présence du Ministre rwandais des Affaires étrangères ainsi que celui d’Angola, modérateur du processus de Luanda.

Cet évènement, qui s’est déroulé à la grande barrière de Goma, frontière entre Kinshasa et Kigali, est une concrétisation d’une décision prise au cours des dernières réunions ministérielles de Luanda.

Il avait été décidé l’élargissement du mécanisme en le renforçant en vue de vérifier, de manière efficace et efficiente, les allégations réciproques d’agression et de veiller à l’application stricte du cessez-le-feu tout en supervisant la mise en œuvre du plan harmonisé de neutralisation des FDLR et de désengagement des forces rwandaises.

18 officiers angolais, 3 officiers congolais et 3 officiers rwandais composant ce mécanisme tripartite ont été présentés officiellement aux personnalités présentes à la cérémonie, notamment le Haut Représentant du Chef de l’Etat, Sumbu Sita et quelques membres du Haut Conseil de sécurité venus de Kinshasa, les autorités militaires provinciales, ainsi que les observateurs et membres de la Communauté internationale.

Le ministre angolais Tete Antonio, qui s’est réjoui de l’atteinte des objectifs fixés, a souligné que ce mécanisme pourrait consolider un climat de confiance entre les deux pays pour des relations plus harmonieuses, particulièrement dans les régions frontalières afin de mettre fin aux souffrances des populations et aboutir au développement tant attendu.

« J’aimerais ici, solliciter vos efforts, travaillez en équipe avec une solidarité mutuelle pour matérialiser les aspirations d’une Région des Grands Lacs libre de tout conflit », a-t-il souligné.

La Cheffe de la Diplomatie congolaise a rappelé que la RDC, déterminée à pacifier sa région orientale de manière pérenne, est et reste respectueuse du cessez-le-feu entré en vigueur le 04 août dernier.

Thérèse Kayikwamba Wagner a précisé que cette initiative est un pas important dans ce processus de paix et de protection des populations civiles et une manière efficace de mettre chaque acteur face à ses responsabilités.

Recueillement au Cimetière Genocost de Kibati

Avant de se rendre au lancement du M-VAR, la Ministre d’Etat a tenu à rendre hommage aux victimes des crimes de l’agression rwandaise, tombées lors du dernier bombardement de Mugunga parmi lesquelles l’on a dénombré de jeunes enfants.

Elle s’est donc rendue au Cimetière Genocost de Kibati, situé à 15 kms des positions du M23 où elle a reçu un briefing du Coordonnateur Grand Est du FONAREV, Hugo Budaho.

Thérèse Kayikwamba Wagner s’est également informée, par le biais des autorités militaires, de la situation sécuritaire des environs du volcan Nyiragongo dont Kibumba, devenu un axe semi fermé suite aux attaques quotidiennes et traversées rwandaises coupables de recrutements et travaux forcés avec occupation illégale des maisons d’hommes, femmes et enfants.

Plusieurs familles de déplacés ont encore récemment été récupérés à Ishasha en provenance de Nyiragongo, Masisi, Bunagana et Rutshuru.

A ce jour, l’on dénombre de nombreux camps de réfugiés parmi lesquels Kanyarushunia et Bushagara qui comptent plus de 40.000 ménages vivant dans des conditions indescriptibles.

La Ministre d’Etat, Ministre aux Affaires étrangères, Coopération internationale et Francophonie qui a rappelé l’engagement du gouvernement à mettre fin à ses atrocités a témoigné de sa solidarité envers les victimes et de son soutien aux forces de sécurité déployées sur le terrain.




Thérèse Kayikwamba se recueille au Cimetière Genocost de Kibati 

Avant de se rendre au lancement du M-VAR, la Ministre d’Etat a tenu à rendre hommage aux victimes des crimes de l’agression rwandaise, tombées lors du dernier bombardement de Mugunga parmi lesquelles l’on a dénombré de jeunes enfants.

Elle s’est donc rendue au Cimetière Genocost de Kibati, situé à 15 kms des positions du M23 où elle a reçu un briefing du Coordonnateur Grand Est du FONAREV, Hugo Budaho.

Thérèse Kayikwamba Wagner s’est également informée, par le biais des autorités militaires, de la situation sécuritaire des environs du volcan Nyiragongo dont Kibumba, devenu un axe semi fermé suite aux attaques quotidiennes et traversées rwandaises coupables de recrutements et travaux forcés avec occupation illégale des maisons d’hommes, femmes et enfants.

Plusieurs familles de déplacés ont encore récemment été récupérés à Ishasha en provenance de Nyiragongo, Masisi, Bunagana et Rutshuru.

A ce jour, l’on dénombre de nombreux camps de réfugiés parmi lesquels Kanyarushunia et Bushagara qui comptent plus de 40.000 ménages vivant dans des conditions indescriptibles.

La Ministre d’Etat, Ministre aux Affaires étrangères, Coopération internationale et Francophonie qui a rappelé l’engagement du gouvernement à mettre fin à ses atrocités a témoigné de sa solidarité envers les victimes et de son soutien aux forces de sécurité déployées sur le terrain.




Présidentielle américaine : Plusieurs dirigeants du monde félicitent Donald Trump pour sa victoire 

L’élection de Donald Trump à la tête des Etats-Unis d’Amérique a été saluée par plusieurs dirigeants et personnalités du monde. D’abord le président congolais Félix Tshisekedi qui, au delà des félicitations au 47 ème président américain, propose un partenariat gagnant-gagnant avec les USA dans plusieurs domaines.

 

Au nom du peuple Israélien, le premier ministre Benjamin Netanyahou a lui aussi salué le retour de Donald Trump aux affaires. Il a fait savoir que le retour historique du président Trump à la maison Blanche offre un nouveau commencement pour l’Amérique et un réengagement puissant dans la relation entre Israël et les États-Unis d’Amérique.

 

La France a elle aussi manifesté son souhait de collaborer avec l’actuel président américain. Emanuel Macron, président Français a dans sa réaction depuis Paris, adressé ses vives félicitations au nouveau président américain Donald Trump. Et écrit, je cite, “Prêt à travailler ensemble comme nous avons su le faire durant quatres années. Avec vos convictions et les miennes”, écrit le président français Emmanuel Macron.

 

Une autre réaction, est celle du président Ukrainien. Volodymyr Zelensky dit je cite: “J’apprécie l’engagement du président Trump en faveur de l’approche, la paix par la force dans les affaires mondiales. C’est exactement le principe qui peut concrètement rapprocher l’Ukraine d’une paix juste”, s’exprime le président Ukrainien.

 

Le secrétaire général de l’Otan Mark Rutte, a quant à lui, ému le vœu de travailler à nouveau avec Donald Trump. Il écrit, “Je me réjouis de travailler à nouveau avec lui, pour faire progresser la paix par la force grâce à l’Otan”, a t-il déclaré.

 

Au nombre de ceux qui ont aussi réagi à la victoire de l’américain Trump, figure aussi le président Turc. Recep Tayyip Erdogan croit à l’implication du nouveau homme fort de l’Amérique pour mettre fin aux guerre dans le monde.

“Nous espérons que les relations entre la Turquie et les États-Unis d’Amérique se renforceront, et que les crises et les guerres régionales et mondiales prendront fin”, a déclaré le premier citoyen de la Turquie.

 

De son côté, le premier ministre Britannique Keir Starmer promet de défendre ensemble avec Trump, les valeurs.

“Entant qu’alliés les plus proches, nous nous tenons côte à côte pour défense de nos valeurs partagées de liberté, de la démocratie et de libre entreprise” a t-il fait savoir.

 

Le premier ministre Indien, Narendra Modi, pense renforcer le partenariat global entre son pays et l’Amérique avec le retour de Donald Trump.

“Je me réjoui de renouveler notre collaboration pour pour renforcer encore le partenariat global et stratégique”, a déclaré le chef du gouvernement de l’Inde.

 

La commission de l’Union Européenne n’est pas restée indifférente face à l’élection de Donald Trump à la présidence de l’Amérique. Ursila Von Der Leyen, présidente de la commission européenne a fait savoir que l’Union européenne et les USA sont plus que des simples alliés. Nous nous sommes liés par un véritable partenariat entre nos peuples. Travaillons donc ensemble sur un programme transatlantique fort”, a-t-elle souligné.

 

L’Italie également a fait voir sa position. La première ministre Giorgia Meloni a déclaré, je cite : l’Italie et les USA sont des nations sœurs, liées par une alliance inébranlable, des valeurs communes et une amitié historique. C’est un lien stratégique que nous renforcerons davantage encore”, a fait savoir la première ministre Italienne.

 

L’Allemagne, à travers son chancelier, a lancé aussi son message. Olaf Scholz a écrit, l’Allemagne et les États-Unis collaborent depuis longtemps avec succès pour promouvoir la prospérité et la liberté de deux côtés de l’Atlantique. Nous continuerons à le faire”, fin de citation.

 

 

Mboshi




Re-visitation de la Constitution : pitié pour l’Udps post-CNS ! Tous les articles évoqués jusque-là tombent à l’eau…

Au fil des réactions qui émanent de ses communicateurs, le parti présidentiel semble avoir des difficultés à mobiliser les juristes-maison. On comprend en plus pourquoi ceux de l’Union sacrée de la nation n’ont visiblement pas envié de plonger dans des marigots inconnus…

Ça continue de voler bas. Tellement bas qu’un énième communicateur Udps a eu la « gentillesse » de conclure son argumentation par cette phrase de dépit : «Je comprends que j’ai affaire aux idiots inconscients qui ne savent pas que c’est cette fameuse Constitution qui est à la base de tout ce que nous endurons à l’Est de notre pays». C’est dans un document mis en circulation dans les réseaux sociaux le lundi 4 novembre 2024. L’auteur sélectionne trois articles de la Constitution à problème : 4, 51 et 217. Quasiment les mêmes à revenir dans le débat. A quelque chose malheur étant bon, le mérite de l’initiative de la re-visitation de Loi fondamentale en vigueur est que le parti chantre du respect des textes semble n’en a pas assez lu jusque-là….

Article 4

L’article 4 est ainsi libellé : «Des nouvelles provinces et entités territoriales peuvent être créées par démembrement ou par regroupement dans les conditions fixées par la Constitution et par la loi».

Le communicateur de l’Udps en fait le commentaire suivant : «D’où la création de Minembwe pour placer les Banyamulenge considérés comme la communauté tutsi congolais minoritaire, et pourtant des tutsis rwandais».

Notre observation : Quand il fait de Minembwe une fixation, il perd de vue que l’article 4 commence par des nouvelles provinces.

Il doit l’apprendre à ses dépens que les ressortissants des nouvelles provinces, eux, ne se plaignent pas du nouveau découpage. Au contraire.

Quand bien même leurs provinces peuvent ne pas être économiquement viables, ils préfèrent vivre dans leur pauvreté relative que vivre dans une entité provinciale “riche” mais en étant considérés comme des citoyens de seconde zone. Ceci de un.

De deux, l’Udps veut pratiquer l’amnésie pendant que les Congolais ont tous entendu Félix Tshisekedi, en séjour à Londres, déclarer le 19 janvier 2020 : «Les Banyamulenge sont des Congolais ; ils sont restés de génération en génération en RDC».

La question, à partir de cet instant, est de savoir qui du communicateur de l’Udps (qui présente les Banyamulenge en Tutsi rwandais) et du Président de la République, président statutaire du même parti (qui présente les Banyamulenge en Tutsi congolais), devra-t-on finalement croire !

Article 51

L’article 51 de la Constitution du 16 février 2006 telle que modifiée en 2011 dispose : «L’État a le devoir d’assurer et de promouvoir la coexistence pacifique et harmonieuse de tous les groupes ethniques du pays. Il assure également la protection et la promotion des groupes vulnérables et de toutes les minorités. Il veuille à leur épanouissement».

Le communicateur de l’Udps en fait le commentaire suivant : «D’où vient le groupe vulnérable de minorité parmi les 450 ethnies que possèdent notre pays ? Voyez-vous le piège qui nous a été tendu par les Rwandais et les Occidentaux ? Comprenez-vous également pourquoi Kabila avait placé Azarias Ruberwa au ministère de la Décentralisation ? Et depuis qu’il a été écarté au sein du gouvernement par Félix Tshisekedi, cet homme a une rage contre ce dernier».

Notre observation : pourtant, dans l’article 51, il n’y a pas amalgame. Il est clairement question pour l’Etat, d’un côté, «du devoir d’assurer et de promouvoir la coexistence pacifique et harmonieuse de tous les groupes ethniques du pays» et, de l’autre, d’assurer «également la protection et la promotion des groupes vulnérables et de toutes les minorités».

Est-ce que l’Udps serait-il l’unique parti politique en RDC à ne pas savoir que par groupe vulnérable s’entend le groupe des personnes avec handicap, le groupe des albinos, le groupe des veuves et orphelins sans moyens de survie, le groupe des personnes âgées sans protection sociale, etc. ?

Quant aux minorités, elles existent. C’est le cas des Pygmées. Au demeurant, même dans les grandes communautés ethniques et tribales, il y a aussi des minoritaires avec le “phénomène Bena”.

On se souviendra de l’interprétation faite de l’article 51 par un autre communicateur Udps : à l’en croire, les groupes vulnérables sont les groupes armés comme le M23 !

Il s’étonnait que le Gouvernement prenne en charge les groupes armés !

Article 217

L’article 217 de la Constitution du 16 février 2006 telle que modifiée en 2011 dispose : «La RDC peut conclure des traités ou des accords d’association ou de communauté comportant un abandon partiel de souveraineté en vue de promouvoir l’unité africaine».

Le communicateur de l’Udps en fait le commentaire suivant : «L’accord de Lemera qui a été introduit dans la Constitution de 2006».

Notre observation : d’abord, où est cet Accord ? Comment expliquer que depuis qu’on en parle (1997), on soit vraisemblablement face au fameux Loch Ness (Monstre du Lac Ness en Ecosse) ! C’est tout de même étonnant que même les déçus du Mzee Laurent-Désiré Kabila ne le produisent pas. D’ailleurs, quelle valeur juridique peut-on donner, en Droit national congolais ou en Droit international, à un arrangement conclu entre des rebelles ou avec des rebelles avant même le lancement de l’action insurrectionnelle !

Notre observation s’appuie sur quatre références, en l’occurrence l’article 69 de la Constitution de 1967, l’article 77 de la Constitution de 1974, l’article 108 de la Constitution de 1992 et l’article 122 de la Constitution harmonisée de 1993.

La formulation est la même : «En vue de promouvoir l’unité africaine, la République peut conclure des traités et accords d’association comportant abandon partiel de sa souveraineté».

Certaines dispositions commencent par la formule : “En vue de consolider l’unité africaine…”.

Promouvoir ou consolider, c’est dans le même esprit.

“Initiative improvisée”

Au regard de l’argumentation évoquée jusque-là par les communicateurs de l’Udps livrés plutôt à la débrouille faute d’orientation de la part de la «présidence», on en est droit de douter d’une action planifiée en prévision de la re-visitation de la Constitution.

On y entrevoit une initiative improvisée.

Et même la repartie du énième communicateur trahit l’amateurisme lorsque tout ce qu’il trouve comme “prise de finition” est cette phrase maladroite : «Je vous épargne d’autres articles. Voilà pourquoi lorsque j’entends certaines personnes dire : ” Modifier la Constitution pourquoi ? Est-ce que c’est la Constitution qui vous empêche de bien gérer le pays…Je comprends que j’ai affaire aux idiots inconscients qui ne savent pas que c’est cette fameuse Constitution qui est à la base de tout ce que nous endurons à l’Est de notre pays».

C’est une repartie maladroite parce qu’on ne peut pas être idiot inconscient. C’est comme si à l’Udps, il y aurait des “idiots conscients”

Mis au défi d’un débat public, article par article

Interrogation gênante : comment, si l’Udps peine à convaincre l’opinion avec les articles 4, 51 et 217 revenant dans ses prises de position, comment pense-t-il faire mieux une fois mis au défi d’un débat public, article par article, dans une Constitution qui en compte 229 !

Déjà, tout parti présidentiel soit-il, i s’épuise à ne même pas savoir interpréter ses propres statuts.

Moralité : il y a de quoi avoir pitié de l’Udps post-CNS !

Omer Nsongo die Lema




La Ligue des Champions Féminine de la CAF se relooke avant le coup d’envoi de la nouvelle édition

À deux jours du coup d’envoi de la quatrième édition de la Ligue des Champions Féminine de la CAF (« WCL ») au Maroc ce week-end, la Confédération Africaine de Football (« CAF ») a donné à la compétition un nouveau look.

Le nouveau logo fera partie de l’identité de la Ligue des Champions Féminine de la CAF Maroc 2024 – dont le match d’ouverture aura lieu le samedi 9 novembre 2024.

Ce logo vibrant, inspiré du trophée, symbolise la ténacité et l’excellence des clubs féminins africains, en utilisant des couleurs audacieuses de l’identité visuelle du football féminin, comme le violet, l’orange et le rose pour représenter la royauté, l’innovation et l’énergie de la jeunesse à travers le continent.

Le tournoi offre un prix substantiel, les vainqueurs recevant 400 000 USD et les finalistes 250 000 USD, ce qui souligne le soutien de la CAF aux clubs féminins et l’investissement dans le sport.

Le match d’ouverture aura lieu le samedi 9 novembre.

Huit équipes participeront à ce prestigieux tournoi :

Tenantes du titre : Mamelodi Sundowns (Afrique du Sud)

Hôte : ASFAR (Maroc)

UFOA A : Aigles de la Médina (Sénégal)

UFOA B : EDO Queens (Nigeria)

COSAFA : University of the Western Cape (Afrique du Sud)

UNAF : FC Masar (Egypte)

CECAFA : CBE FC (Ethiopie)

UNIFFAC : TP Mazembe (RD Congo)

Le nouveau logo entre dans le cadre de la campagne de renouvellement des tournois et évènements de la CAF




Voici la liste des 66 produits concernés par le régime commercial simplifié

Découvrez la liste des 66 produits concernés par le Régime Commercial Simplifié-RECOS lancé officiellement par la RDC et le Burundi.

Un régime qui vise à simplifier les procédures de dédouanement et la réduction du coût des transactions commerciales permettant aux petits commerçants transfrontaliers de bénéficier des droits de douane, mais également du passage rapide et clair au niveau des frontières entre ces deux pays voisins et membre du Marché Commun pour Afrique Orientale et Australe-COMESA.

Notons que ces produits doivent être d’origine congolaise et burundaise.

Animaux vivants de l’espèce bovine, Animaux vivants de l’espèce porcine, Animaux vivants des espèces ovine ou caprine, Coqs, poules, canards, oies, dindons, dindes et pintades, vivants, des espèces domestiques ; Autres animaux vivants : Lapins et lièvres, Viandes des animaux de l’espèce bovine, fraiches réfrigérées ; Viandes des animaux de l’espèce porcine, fraiches, réfrigérées ; Viandes des animales des espèces ovine ou caprine, fraiches, réfrigérées ; Viandes, fraiches ou réfrigérées, des volailles du n’01 ; Autres viandes, fraiches, réfrigérées : Lapins et lièvres ; Jambons, épaules et leurs morceaux, non désossés Poitrines (entrelardées) et leurs morceaux Viandes de l’espèce bovine ; Œufs de volailles frais de l’espèce Gallus domesticus, Miel naturel, Autres poissons frais, Poissons fumés (autres filets de poissons, séchés, salés, ou en saumure mais non fumés) ; « Autres poissons fumés, y compris les filets, autres que les abats de poissons comestibles » ;

« Autres poissons salés mais non séchés ni fumés et poissons en saumure, autres que les abats des poissons comestibles » ; Pommes de terre, à l’état frais ou réfrigéré ; Tomates à l’état frais ou réfrigéré, Oignons (Ails) ; Carottes et navets, Autres légumes, à l’état frais ou réfrigéré, Oignons, « Légumes à cosse secs, écossés, même décortiqués ou cassés », Racines de manioc, Patates douces, Ignames, Bananes, y compris les plantains, fraîches ou sèches, Ananas, Goyaves, mangues et mangoustans, Oranges, Thé vert (non fermenté) présenté en emballages immédiats d’un contenu n’excédant pas 3kg, Thé noir (fermenté) et thé partiellement fermenté, présentés en emballages immédiats d’un contenu n’excédant pas 3kg, Poivre (du genre Piper) ; piments du genre Capsicum ou du genre Pimenta, sèches ou broyés ou pulvérisés ; Gingembre, safran, curcuma, thym, feuilles de laurier, curry et autres épices ; Maïs en grains, Sorgho en grains, Sarrasin, millet et alpiste ; Gruaux, semoules et agglomérés sous forme de pellets, de céréales, Farine de manioc, Arachides non grillées ni autrement cuites, même décortiquées ou concassées ; Huile d’arachide et ses fractions, même raffinées, mais non chimiquement modifiées ; Huile de palme brute ; Huiles de tournesol brutes.

Autres haricots communs, Margarine, Saucisses, saucissons et produits similaires, de viande, d’abats ou de sang ; préparations alimentaires à base de ces produits ; Gommes à mâcher (chewing-gum), même enrobées de sucre ; Produits à base de céréales obtenus par soufflage ou grillage ; Produits de la boulangerie (biscuits, pain) … Fruits et autres parties comestibles de plantes, autrement préparés ou conservés, avec ou sans addition de sucre ou d’autres édulcorants ou d’alcool, non dénommés ni compris ailleurs ; Jus d’orange, Jus d’ananas, banane, Autres jus de fruit ou de légume 56 2302.10.00 Sons, remoulages et autres résidus de maïs ; Tonneaux et autres résidus solides, même broyés ou agglomérés sous forme de pellets, de l’extraction de l’huile de soja. Sel iodé, Savons, Vaisselle et autres articles pour le service de la table ou de la cuisine ; Statuettes et autres objets d’ornement, en bois, Ouvrage de vannerie en matières végétales, Papiers Mouchoirs, serviettes à démaquiller et essuie-mains, Couvertures de laine ou de poils fins, Couvertures de coton, Couvertures de fibres synthétiques.

 




Julien Paluku en réunion d’affaires avec un groupe d’investisseurs tunisiens 

En marge du Forum Africa Trad and Invest Meets Managing Risk qui s’est ouvert ce mercredi à Francfort en Allemagne, le Ministre du Commerce Extérieur, Julien Paluku Kahongya représentant la République Démocratique du Congo consolide la diplomatie commerciale et économique avec des réunions stratégiques avec les investisseurs.

Julien Paluku Kahongya a échangé une dizaine d’investisseurs tunisiens coiffés par Anis Jaziri , Président du Group TABC.

C’était l’occasion pour lui de détailler les 6 composantes du Plan Directeur d’Industrialisation de la République Démocratique du Congo avec des chiffres à l’appui et d’appeler ces opérateurs économiques œuvrant dans différents domaines dont l’énergie de rejoindre le grand projet de l’industrie des batteries et des véhicules lancé par la République Démocratique du Congo ensemble avec la Zambie, car ce dernier va contribuer à changer les économies des pays africains, -a-t-il ajouté.

Très intéressés par les opportunités qu’offre la République Démocratique du Congo dans différents secteurs, car bien vendues par son Ministre du Commerce Extérieur, ces investisseurs tunisiens se sont dit prêts de venir faire les affaires en RDC, en février 2025 ils prendront part active au Forum sur investir en RDC dans la capitale congolaise et vont en profiter pour ouvrir le bureau du TABC à Kinshasa a fait entendre Anis Jaziri au cours d’une interview accordée à presse à l’issue de cette rencontre.