Présidentielle américaine : Plusieurs dirigeants du monde félicitent Donald Trump pour sa victoire 

L’élection de Donald Trump à la tête des Etats-Unis d’Amérique a été saluée par plusieurs dirigeants et personnalités du monde. D’abord le président congolais Félix Tshisekedi qui, au delà des félicitations au 47 ème président américain, propose un partenariat gagnant-gagnant avec les USA dans plusieurs domaines.

 

Au nom du peuple Israélien, le premier ministre Benjamin Netanyahou a lui aussi salué le retour de Donald Trump aux affaires. Il a fait savoir que le retour historique du président Trump à la maison Blanche offre un nouveau commencement pour l’Amérique et un réengagement puissant dans la relation entre Israël et les États-Unis d’Amérique.

 

La France a elle aussi manifesté son souhait de collaborer avec l’actuel président américain. Emanuel Macron, président Français a dans sa réaction depuis Paris, adressé ses vives félicitations au nouveau président américain Donald Trump. Et écrit, je cite, “Prêt à travailler ensemble comme nous avons su le faire durant quatres années. Avec vos convictions et les miennes”, écrit le président français Emmanuel Macron.

 

Une autre réaction, est celle du président Ukrainien. Volodymyr Zelensky dit je cite: “J’apprécie l’engagement du président Trump en faveur de l’approche, la paix par la force dans les affaires mondiales. C’est exactement le principe qui peut concrètement rapprocher l’Ukraine d’une paix juste”, s’exprime le président Ukrainien.

 

Le secrétaire général de l’Otan Mark Rutte, a quant à lui, ému le vœu de travailler à nouveau avec Donald Trump. Il écrit, “Je me réjouis de travailler à nouveau avec lui, pour faire progresser la paix par la force grâce à l’Otan”, a t-il déclaré.

 

Au nombre de ceux qui ont aussi réagi à la victoire de l’américain Trump, figure aussi le président Turc. Recep Tayyip Erdogan croit à l’implication du nouveau homme fort de l’Amérique pour mettre fin aux guerre dans le monde.

“Nous espérons que les relations entre la Turquie et les États-Unis d’Amérique se renforceront, et que les crises et les guerres régionales et mondiales prendront fin”, a déclaré le premier citoyen de la Turquie.

 

De son côté, le premier ministre Britannique Keir Starmer promet de défendre ensemble avec Trump, les valeurs.

“Entant qu’alliés les plus proches, nous nous tenons côte à côte pour défense de nos valeurs partagées de liberté, de la démocratie et de libre entreprise” a t-il fait savoir.

 

Le premier ministre Indien, Narendra Modi, pense renforcer le partenariat global entre son pays et l’Amérique avec le retour de Donald Trump.

“Je me réjoui de renouveler notre collaboration pour pour renforcer encore le partenariat global et stratégique”, a déclaré le chef du gouvernement de l’Inde.

 

La commission de l’Union Européenne n’est pas restée indifférente face à l’élection de Donald Trump à la présidence de l’Amérique. Ursila Von Der Leyen, présidente de la commission européenne a fait savoir que l’Union européenne et les USA sont plus que des simples alliés. Nous nous sommes liés par un véritable partenariat entre nos peuples. Travaillons donc ensemble sur un programme transatlantique fort”, a-t-elle souligné.

 

L’Italie également a fait voir sa position. La première ministre Giorgia Meloni a déclaré, je cite : l’Italie et les USA sont des nations sœurs, liées par une alliance inébranlable, des valeurs communes et une amitié historique. C’est un lien stratégique que nous renforcerons davantage encore”, a fait savoir la première ministre Italienne.

 

L’Allemagne, à travers son chancelier, a lancé aussi son message. Olaf Scholz a écrit, l’Allemagne et les États-Unis collaborent depuis longtemps avec succès pour promouvoir la prospérité et la liberté de deux côtés de l’Atlantique. Nous continuerons à le faire”, fin de citation.

 

 

Mboshi




Re-visitation de la Constitution : pitié pour l’Udps post-CNS ! Tous les articles évoqués jusque-là tombent à l’eau…

Au fil des réactions qui émanent de ses communicateurs, le parti présidentiel semble avoir des difficultés à mobiliser les juristes-maison. On comprend en plus pourquoi ceux de l’Union sacrée de la nation n’ont visiblement pas envié de plonger dans des marigots inconnus…

Ça continue de voler bas. Tellement bas qu’un énième communicateur Udps a eu la « gentillesse » de conclure son argumentation par cette phrase de dépit : «Je comprends que j’ai affaire aux idiots inconscients qui ne savent pas que c’est cette fameuse Constitution qui est à la base de tout ce que nous endurons à l’Est de notre pays». C’est dans un document mis en circulation dans les réseaux sociaux le lundi 4 novembre 2024. L’auteur sélectionne trois articles de la Constitution à problème : 4, 51 et 217. Quasiment les mêmes à revenir dans le débat. A quelque chose malheur étant bon, le mérite de l’initiative de la re-visitation de Loi fondamentale en vigueur est que le parti chantre du respect des textes semble n’en a pas assez lu jusque-là….

Article 4

L’article 4 est ainsi libellé : «Des nouvelles provinces et entités territoriales peuvent être créées par démembrement ou par regroupement dans les conditions fixées par la Constitution et par la loi».

Le communicateur de l’Udps en fait le commentaire suivant : «D’où la création de Minembwe pour placer les Banyamulenge considérés comme la communauté tutsi congolais minoritaire, et pourtant des tutsis rwandais».

Notre observation : Quand il fait de Minembwe une fixation, il perd de vue que l’article 4 commence par des nouvelles provinces.

Il doit l’apprendre à ses dépens que les ressortissants des nouvelles provinces, eux, ne se plaignent pas du nouveau découpage. Au contraire.

Quand bien même leurs provinces peuvent ne pas être économiquement viables, ils préfèrent vivre dans leur pauvreté relative que vivre dans une entité provinciale “riche” mais en étant considérés comme des citoyens de seconde zone. Ceci de un.

De deux, l’Udps veut pratiquer l’amnésie pendant que les Congolais ont tous entendu Félix Tshisekedi, en séjour à Londres, déclarer le 19 janvier 2020 : «Les Banyamulenge sont des Congolais ; ils sont restés de génération en génération en RDC».

La question, à partir de cet instant, est de savoir qui du communicateur de l’Udps (qui présente les Banyamulenge en Tutsi rwandais) et du Président de la République, président statutaire du même parti (qui présente les Banyamulenge en Tutsi congolais), devra-t-on finalement croire !

Article 51

L’article 51 de la Constitution du 16 février 2006 telle que modifiée en 2011 dispose : «L’État a le devoir d’assurer et de promouvoir la coexistence pacifique et harmonieuse de tous les groupes ethniques du pays. Il assure également la protection et la promotion des groupes vulnérables et de toutes les minorités. Il veuille à leur épanouissement».

Le communicateur de l’Udps en fait le commentaire suivant : «D’où vient le groupe vulnérable de minorité parmi les 450 ethnies que possèdent notre pays ? Voyez-vous le piège qui nous a été tendu par les Rwandais et les Occidentaux ? Comprenez-vous également pourquoi Kabila avait placé Azarias Ruberwa au ministère de la Décentralisation ? Et depuis qu’il a été écarté au sein du gouvernement par Félix Tshisekedi, cet homme a une rage contre ce dernier».

Notre observation : pourtant, dans l’article 51, il n’y a pas amalgame. Il est clairement question pour l’Etat, d’un côté, «du devoir d’assurer et de promouvoir la coexistence pacifique et harmonieuse de tous les groupes ethniques du pays» et, de l’autre, d’assurer «également la protection et la promotion des groupes vulnérables et de toutes les minorités».

Est-ce que l’Udps serait-il l’unique parti politique en RDC à ne pas savoir que par groupe vulnérable s’entend le groupe des personnes avec handicap, le groupe des albinos, le groupe des veuves et orphelins sans moyens de survie, le groupe des personnes âgées sans protection sociale, etc. ?

Quant aux minorités, elles existent. C’est le cas des Pygmées. Au demeurant, même dans les grandes communautés ethniques et tribales, il y a aussi des minoritaires avec le “phénomène Bena”.

On se souviendra de l’interprétation faite de l’article 51 par un autre communicateur Udps : à l’en croire, les groupes vulnérables sont les groupes armés comme le M23 !

Il s’étonnait que le Gouvernement prenne en charge les groupes armés !

Article 217

L’article 217 de la Constitution du 16 février 2006 telle que modifiée en 2011 dispose : «La RDC peut conclure des traités ou des accords d’association ou de communauté comportant un abandon partiel de souveraineté en vue de promouvoir l’unité africaine».

Le communicateur de l’Udps en fait le commentaire suivant : «L’accord de Lemera qui a été introduit dans la Constitution de 2006».

Notre observation : d’abord, où est cet Accord ? Comment expliquer que depuis qu’on en parle (1997), on soit vraisemblablement face au fameux Loch Ness (Monstre du Lac Ness en Ecosse) ! C’est tout de même étonnant que même les déçus du Mzee Laurent-Désiré Kabila ne le produisent pas. D’ailleurs, quelle valeur juridique peut-on donner, en Droit national congolais ou en Droit international, à un arrangement conclu entre des rebelles ou avec des rebelles avant même le lancement de l’action insurrectionnelle !

Notre observation s’appuie sur quatre références, en l’occurrence l’article 69 de la Constitution de 1967, l’article 77 de la Constitution de 1974, l’article 108 de la Constitution de 1992 et l’article 122 de la Constitution harmonisée de 1993.

La formulation est la même : «En vue de promouvoir l’unité africaine, la République peut conclure des traités et accords d’association comportant abandon partiel de sa souveraineté».

Certaines dispositions commencent par la formule : “En vue de consolider l’unité africaine…”.

Promouvoir ou consolider, c’est dans le même esprit.

“Initiative improvisée”

Au regard de l’argumentation évoquée jusque-là par les communicateurs de l’Udps livrés plutôt à la débrouille faute d’orientation de la part de la «présidence», on en est droit de douter d’une action planifiée en prévision de la re-visitation de la Constitution.

On y entrevoit une initiative improvisée.

Et même la repartie du énième communicateur trahit l’amateurisme lorsque tout ce qu’il trouve comme “prise de finition” est cette phrase maladroite : «Je vous épargne d’autres articles. Voilà pourquoi lorsque j’entends certaines personnes dire : ” Modifier la Constitution pourquoi ? Est-ce que c’est la Constitution qui vous empêche de bien gérer le pays…Je comprends que j’ai affaire aux idiots inconscients qui ne savent pas que c’est cette fameuse Constitution qui est à la base de tout ce que nous endurons à l’Est de notre pays».

C’est une repartie maladroite parce qu’on ne peut pas être idiot inconscient. C’est comme si à l’Udps, il y aurait des “idiots conscients”

Mis au défi d’un débat public, article par article

Interrogation gênante : comment, si l’Udps peine à convaincre l’opinion avec les articles 4, 51 et 217 revenant dans ses prises de position, comment pense-t-il faire mieux une fois mis au défi d’un débat public, article par article, dans une Constitution qui en compte 229 !

Déjà, tout parti présidentiel soit-il, i s’épuise à ne même pas savoir interpréter ses propres statuts.

Moralité : il y a de quoi avoir pitié de l’Udps post-CNS !

Omer Nsongo die Lema




La Ligue des Champions Féminine de la CAF se relooke avant le coup d’envoi de la nouvelle édition

À deux jours du coup d’envoi de la quatrième édition de la Ligue des Champions Féminine de la CAF (« WCL ») au Maroc ce week-end, la Confédération Africaine de Football (« CAF ») a donné à la compétition un nouveau look.

Le nouveau logo fera partie de l’identité de la Ligue des Champions Féminine de la CAF Maroc 2024 – dont le match d’ouverture aura lieu le samedi 9 novembre 2024.

Ce logo vibrant, inspiré du trophée, symbolise la ténacité et l’excellence des clubs féminins africains, en utilisant des couleurs audacieuses de l’identité visuelle du football féminin, comme le violet, l’orange et le rose pour représenter la royauté, l’innovation et l’énergie de la jeunesse à travers le continent.

Le tournoi offre un prix substantiel, les vainqueurs recevant 400 000 USD et les finalistes 250 000 USD, ce qui souligne le soutien de la CAF aux clubs féminins et l’investissement dans le sport.

Le match d’ouverture aura lieu le samedi 9 novembre.

Huit équipes participeront à ce prestigieux tournoi :

Tenantes du titre : Mamelodi Sundowns (Afrique du Sud)

Hôte : ASFAR (Maroc)

UFOA A : Aigles de la Médina (Sénégal)

UFOA B : EDO Queens (Nigeria)

COSAFA : University of the Western Cape (Afrique du Sud)

UNAF : FC Masar (Egypte)

CECAFA : CBE FC (Ethiopie)

UNIFFAC : TP Mazembe (RD Congo)

Le nouveau logo entre dans le cadre de la campagne de renouvellement des tournois et évènements de la CAF




Voici la liste des 66 produits concernés par le régime commercial simplifié

Découvrez la liste des 66 produits concernés par le Régime Commercial Simplifié-RECOS lancé officiellement par la RDC et le Burundi.

Un régime qui vise à simplifier les procédures de dédouanement et la réduction du coût des transactions commerciales permettant aux petits commerçants transfrontaliers de bénéficier des droits de douane, mais également du passage rapide et clair au niveau des frontières entre ces deux pays voisins et membre du Marché Commun pour Afrique Orientale et Australe-COMESA.

Notons que ces produits doivent être d’origine congolaise et burundaise.

Animaux vivants de l’espèce bovine, Animaux vivants de l’espèce porcine, Animaux vivants des espèces ovine ou caprine, Coqs, poules, canards, oies, dindons, dindes et pintades, vivants, des espèces domestiques ; Autres animaux vivants : Lapins et lièvres, Viandes des animaux de l’espèce bovine, fraiches réfrigérées ; Viandes des animaux de l’espèce porcine, fraiches, réfrigérées ; Viandes des animales des espèces ovine ou caprine, fraiches, réfrigérées ; Viandes, fraiches ou réfrigérées, des volailles du n’01 ; Autres viandes, fraiches, réfrigérées : Lapins et lièvres ; Jambons, épaules et leurs morceaux, non désossés Poitrines (entrelardées) et leurs morceaux Viandes de l’espèce bovine ; Œufs de volailles frais de l’espèce Gallus domesticus, Miel naturel, Autres poissons frais, Poissons fumés (autres filets de poissons, séchés, salés, ou en saumure mais non fumés) ; « Autres poissons fumés, y compris les filets, autres que les abats de poissons comestibles » ;

« Autres poissons salés mais non séchés ni fumés et poissons en saumure, autres que les abats des poissons comestibles » ; Pommes de terre, à l’état frais ou réfrigéré ; Tomates à l’état frais ou réfrigéré, Oignons (Ails) ; Carottes et navets, Autres légumes, à l’état frais ou réfrigéré, Oignons, « Légumes à cosse secs, écossés, même décortiqués ou cassés », Racines de manioc, Patates douces, Ignames, Bananes, y compris les plantains, fraîches ou sèches, Ananas, Goyaves, mangues et mangoustans, Oranges, Thé vert (non fermenté) présenté en emballages immédiats d’un contenu n’excédant pas 3kg, Thé noir (fermenté) et thé partiellement fermenté, présentés en emballages immédiats d’un contenu n’excédant pas 3kg, Poivre (du genre Piper) ; piments du genre Capsicum ou du genre Pimenta, sèches ou broyés ou pulvérisés ; Gingembre, safran, curcuma, thym, feuilles de laurier, curry et autres épices ; Maïs en grains, Sorgho en grains, Sarrasin, millet et alpiste ; Gruaux, semoules et agglomérés sous forme de pellets, de céréales, Farine de manioc, Arachides non grillées ni autrement cuites, même décortiquées ou concassées ; Huile d’arachide et ses fractions, même raffinées, mais non chimiquement modifiées ; Huile de palme brute ; Huiles de tournesol brutes.

Autres haricots communs, Margarine, Saucisses, saucissons et produits similaires, de viande, d’abats ou de sang ; préparations alimentaires à base de ces produits ; Gommes à mâcher (chewing-gum), même enrobées de sucre ; Produits à base de céréales obtenus par soufflage ou grillage ; Produits de la boulangerie (biscuits, pain) … Fruits et autres parties comestibles de plantes, autrement préparés ou conservés, avec ou sans addition de sucre ou d’autres édulcorants ou d’alcool, non dénommés ni compris ailleurs ; Jus d’orange, Jus d’ananas, banane, Autres jus de fruit ou de légume 56 2302.10.00 Sons, remoulages et autres résidus de maïs ; Tonneaux et autres résidus solides, même broyés ou agglomérés sous forme de pellets, de l’extraction de l’huile de soja. Sel iodé, Savons, Vaisselle et autres articles pour le service de la table ou de la cuisine ; Statuettes et autres objets d’ornement, en bois, Ouvrage de vannerie en matières végétales, Papiers Mouchoirs, serviettes à démaquiller et essuie-mains, Couvertures de laine ou de poils fins, Couvertures de coton, Couvertures de fibres synthétiques.

 




Julien Paluku en réunion d’affaires avec un groupe d’investisseurs tunisiens 

En marge du Forum Africa Trad and Invest Meets Managing Risk qui s’est ouvert ce mercredi à Francfort en Allemagne, le Ministre du Commerce Extérieur, Julien Paluku Kahongya représentant la République Démocratique du Congo consolide la diplomatie commerciale et économique avec des réunions stratégiques avec les investisseurs.

Julien Paluku Kahongya a échangé une dizaine d’investisseurs tunisiens coiffés par Anis Jaziri , Président du Group TABC.

C’était l’occasion pour lui de détailler les 6 composantes du Plan Directeur d’Industrialisation de la République Démocratique du Congo avec des chiffres à l’appui et d’appeler ces opérateurs économiques œuvrant dans différents domaines dont l’énergie de rejoindre le grand projet de l’industrie des batteries et des véhicules lancé par la République Démocratique du Congo ensemble avec la Zambie, car ce dernier va contribuer à changer les économies des pays africains, -a-t-il ajouté.

Très intéressés par les opportunités qu’offre la République Démocratique du Congo dans différents secteurs, car bien vendues par son Ministre du Commerce Extérieur, ces investisseurs tunisiens se sont dit prêts de venir faire les affaires en RDC, en février 2025 ils prendront part active au Forum sur investir en RDC dans la capitale congolaise et vont en profiter pour ouvrir le bureau du TABC à Kinshasa a fait entendre Anis Jaziri au cours d’une interview accordée à presse à l’issue de cette rencontre.




Élections américaines: les républicains s’assurent le contrôle du Sénat

Les républicains ont pris le contrôle du Sénat américain, jusqu’ici aux mains des démocrates, lors de l’élection de mardi où l’ancien président Donald Trump est en tête dans la course à la Maison Blanche.

À la Chambres des représentants, les démocrates ont remporté 161 siège, contre 188 pour les républicains. La majorité est de 218 sièges.

Les républicains ont pris le contrôle du Sénat, en remportant au moins deux sièges démocrates et protégeant leurs propres législateurs en difficulté pour mettre fin à quatre années de contrôle démocrate.

Dans l’Ohio, la marée républicaine a été consacrée par la victoire de Bernie Moreno sur son rival démocrate Sherrod Brown qui tentait de briguer un quatrième mandat.

Par ailleurs, Jim Justice de Virginie-Occidentale a facilement remporté le poste laissé vacant par le départ à la retraite du sénateur Joe Manchin, qui a passé la majeure partie de sa carrière au Sénat en tant que démocrate avant de devenir indépendant cette année.

Les deux défaites ont permis de renverser la majorité de 51 à 49 détenue par les démocrates.

Dans son analyse de ces résultats, le New York Times s’attend à ce que les républicains, dont les campagnes semblent bénéficier de la force de l’ancien président Donald Trump dans les États clés, pourraient renforcer leur nouvelle majorité grâce à des élections très serrées dans le Wisconsin, la Pennsylvanie et le Michigan et à un avantage républicain dans le Montana.

Grâce à cette victoire, les républicains auront un rôle de premier plan dans l’élaboration de la politique fédérale, notamment en cas du retour de Trump à la Maison Blanche. Selon les dernières projections de l’Associated Press, Trump dispose désormais de 248 grands électeurs contre 214 pour sa rivale démocrate, Kamala Harris.

“Les électeurs font confiance aux républicains du Sénat en leur offrant une opportunité extraordinaire”, a déclaré le sénateur John Barrasso, le numéro 3 républicain qui a été réélu dans sa propre course dans le Wyoming.

Il a expliqué que la nouvelle majorité républicaine au Sénat aura pour objectif de mettre en oeuvre un programme qui “reflète les priorités de l’Amérique: des prix plus bas, moins de dépenses, des frontières sécurisées et la domination américaine dans le domaine de l’énergie”.

Pour les démocrates, la perte de la majorité constitue un revers majeur dans leur quête de se maintenir au pouvoir.

La lutte pour le contrôle du Sénat s’est largement concentrée sur l’Ohio et le Montana, deux États contrôlés par les démocrates et remportés par Trump en 2016 et 2020 – et qu’il a aussi remportés à nouveau haut la main lors de l’actuel scrutin.




Forum de l’AFRACA à Kinshasa: Nécessité d’augmenter le financement alloué à l’agriculture 

Muhindo Nzangi Butondo, Ministre d’Etat, Ministre du Développement rural, a lancé, lundi à Kinshasa, le forum de l’Association africaine pour le crédit rural et agricole (AFRACA). C’était en présence d’un représentant du ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture et de la sécurité alimentaire, de M. Thomas T. Essel, Secrétaire général de l’AFRACA et de Dieudonné Fikiri Alimasi, 1er vice-gouverneur de la Banque centrale du Congo (BCC) et président de l’AFRACA.

« La revisitation de l’économie rurale et du secteur agricole de la Rdc », c’est le thème de ce forum de trois jours, soit du 04 au 06 novembre 2024, qui se veut un cadre dynamique d’échanges des informations, de partage d’expérience et de renforcement des capacités sur les enjeux liés au financement agricole et au développement du monde rural.

« Nous espérons tracer ensemble un avenir agricole plus prometteur en phase avec la vision de M. Félix Tshisekedi Tshilombo, président de la République, à savoir, que désormais dans notre plan de développement, il faudrait que le sol prenne la revanche sur le sous-sol. C’est dans ce cadre que la Banque centrale du Congo s’active à trouver les voies et moyens pour améliorer le financement de l’agriculture, contrainte majeure à la revisitation de ce secteur dont le financement ne représente que moins de 1% des prêts accordés par le secteur financier », indique Dieudonné Fikiri Alimasi.

 

Promouvoir l’agriculture

Le Ministre a expliqué que l’activité qui commence aujourd’hui, n’est pas un fait isolé. Elle s’inscrit dans une démarche beaucoup plus larde de réforme en RDC visant à promouvoir l’agriculture et le développement rural comme véritable axe, en soutien à une croissance inclusive pour le bien-être de la population.

Aussi à ce jour, les conditions de stabilité macroéconomique durable semblent s’installer en Rdc et ce, au regard de l’évolution des indicateurs économiques au point de créer des conditions nécessaires pour la relance et la diversification de l’économie.

Pour le 1er vice-gouverneur de la BCC et président de l’AFRACA, les résolutions de ces assises devraient constituer une niche importante d’enrichissement de notre stratégie du secteur agricole.

En effet, le contexte économique de la Rdc demeure très résiliant avec un taux de croissance de 5,3% en 2024 largement supérieur à la moyenne de plusieurs pays d’Afrique subsaharienne.

Le taux d’inflation en glissement annuel et en annualisé s’établit à 15.20% et à 13.37% au 30 septembre 2024 contre 21.86% et 24.84% à la période correspondante de 2023. La dépréciation de la monnaie nationale quant à elle, n’est que de 5.89% au 30 septembre 2024 contre 19.9% à la même période de 2023. Et les réserves internationales ce jour permettent de couvrir 14 semaines d’importations des biens et services contre 10 semaines à fin septembre 2023.

 

Un environnement propice

M. Fikiri a affirmé que l’environnement décrit ci-haut est propice pour l’organisation de ce forum pour la Rdc dont 70% de la population vit en milieu urbain, donc de l’agriculture. Aussi, l’économie reste fortement dépendante des exportations des matières premières, principalement le cuivre et des importations des produits alimentaires de base en contradiction avec les potentialités du pays dans le secteur agricole.

En plus, la Rdc dispose de 80.000.000 des terres arables, dont seulement 10% sont actuellement exploités. Des conditions climatiques et économiques favorables, caractérisés par l’abondance et la régularité des précipitations en sus des vastes zones disponibles des pâturages pour des millions des cheptels.

Au regard de ce potentiel, il est crucial que la promotion de l’agriculture et du développement rural soit considérée comme un enjeu stratégique pour l’avenir de la Rdc. Redynamiser ce secteur contribuera à coup sûr à la sécurité alimentaire, à la lutte contre la pauvreté, à la diversification économique et à la résolution de certains problèmes sociaux liés à l’exode rural et à l’urbanisation croissante.

Pour atteindre ces objectifs, il devient impératif d’augmenter le financement alloué à l’agriculture par l’exploration de nouvelles approches innovantes intégrant la digitalisation et les assurances de l’ensemble des activités agricoles.

« L’AFRACA nous offre un cadre propice pour aborder de manière concrète et sereine cette question de financement de l’économie rurale et du secteur agricole. La Rdc tirera surement produit des expériences d’autres pays qui ont mené avec succès des réformes dans ce secteur pour bâtir une stratégie cohérente de financement agricole beaucoup plus ambitieuse et réaliste », rassure-t-il.

 

Secteur ambitieux

Le président de l’AFRACA reste conscient que l’objectif ultime de ce forum, qui est celui de formuler des recommandations objectives et réalistes afin d’élaborer une feuille de route sur les meilleures stratégies à mettre en place en Rdc afin de revitaliser le secteur agricole, est plus ambitieuse. « Je reste convaincu que nous pouvons relever ce défi grâce à l’implication de toutes les parties prenantes. Ce forum est une opportunité unique de poser les bases d’une réforme agricole durable et ambitieuse », mentionne-t-il.

Après les interventions du représentant du ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture et de la Sécurité alimentaire, du Secrétaire général de l’AFRACA, le ministre Muhindo Nzangi Butondo, ministre d’Etat, ministre du Développement rural a précisé que dans les projets que nous faisons, nous insistons sur le financement de la production locale.

A l’en croire, ces échanges vont nous aider à dégager des recommandations qui vont aider l’expérience pour financer notre économie agricole. Vous direz aussi que la Rdc a sa propre architecture sur l’enca

drement du monde rural.




Processus de Luanda: La Ministre des A.E en face des ambassadeurs du Conseil de paix 

Thérèse Kayikwamba Wagner a réuni les Ambassadeurs des pays membres du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine, du Conseil de sécurité des Nations Unies, de l’Union africaine, de l’Union européenne et la Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies.

Il était question d’évaluer le cessez-le-feu entré en vigueur le 4 août dans le cadre du processus de Luanda qui avait suscité de nombreux espoirs. La Ministre d’Etat, Ministre aux Affaires étrangères, Coopération internationale et francophonie, a relevé que, même si ce cessez-le-feu était largement suivi, une certaine contradiction est perceptible entre le discours public du Rwanda et les actions sur le terrain à savoir la prise de certaines localités et la supervision de cette prise avec les zones minières.

La Cheffe de la Diplomatie congolaise a donc interpellé, une fois de plus, la Communauté internationale sur le fait que le Rwanda ne soit pas toujours indexé publiquement pour l’exportation des minerais provenant des zones de conflit.

Elle a également dénoncé la confusion entretenue par une certaine presse internationale sur le retrait des forces négatives coupables de brouillage GPS présenté comme une levée des mesures de défense du Rwanda. Thérèse Kayikwamba Wagner a attiré l’attention du risque d’expansion du conflit au niveau régional d’où la nécessité d’un mécanisme de justice régionale et de la mise en exergue de la responsabilité du Conseil de Sécurité de faire respecter la Charte des Nations Unies.

Concernant l’évolution du processus de Luanda, il était prévu, mardi 05 novembre 2024 à Goma, le lancement du Mécanisme de vérification Ad hoc renforcé.

JMNK




Au Conseil des droits de l’homme à Genève : La Rdc réaffirme sa volonté de promouvoir et de respecter les droits de l’homme 

La République démocratique du Congo était à l’honneur hier mardi 5 novembre 2024 au conseil des droits de l’homme des Nations unies à Genève lors de sa 47ème session de l’examen périodique universel. En effet, à la tête d’une forte délégation, la RDC à travers la ministre des droits humains, Chantal Shambu a présenté, pour la 4ème fois les grandes lignes de son rapport annuel sur la situation des droits de l’homme. Il s’agit de l’exécution des recommandations lui faites lors de 3ème cycle de l’examen périodique universel tenu en 2019 au cours duquel 267 recommandations étaient adressées à la Rdc au nombre desquelles 239 ont été acceptées par le Gouvernement congolais.

Dans son exposé, la ministre des Droits humains, Chantal Shambu a présenté plusieurs les nombreuses réalisations effectuées par la RDC dans le sens de l’amélioration des droits de l’homme aussi bien dans les droits socio-économiques politique- économiques et culturels que les droits collectifs tant sur le plan normatif qu’institutionnel. Ce sont des lois votées et promulguées en mettant un accent particulier sur la mise en place d’un fonds destiné à la prise en charge des victimes des violences sexuelles, Fonarev et d’un fonds pour la prise en charge des victimes des atrocités commises par les armées étrangers en terre congolaise, notamment l’armée ougandaise, le Frivao.

S’agissant des recommandations faites à la RDC en 2019, en ce qui concerne les droits économiques, sociaux et culturels, la ministre congolaise des Droits humains a insisté sur l’éducation et la santé avec la mise en œuvre de la gratuité de l’enseignement primaire et de la gratuité de la maternité à travers la couverture de la santé universitaire.

En ce qui concerne les droits politiques, Chantal Shambu a informé l’assistance de la nomination à la tête du Gouvernement d’une femme, une première dans l’histoire de la RDC. Ce qui constitue une étape significative et importante de l’engagement du Président de la République, Félix Tshisekedi, champion de la masculinité positive, de lutter contre la discrimination basée sur le genre et la promotion de l’égalité de chance entre les hommes et les femmes.

Cependant, la délégation congolaise a fait part à l’assistance des obstacles qui freinent cet élan de promouvoir les droits de l’homme au pays, lesquels obstacles qu’il faut décourager. Il s’agit par exemple de la recrudescence des conflits armés par les groupes terroristes appuyés par certains pays dont le Rwanda, le pillage des ressources naturelles de la RDC en complicité avec certaines multinationales. Qu’à cela ne tienne, la République démocratique du Congo réaffirme sa ferme détermination à promouvoir et à améliorer les droits de l’homme.

Des recommandations à la République démocratique du Congo

Lors du dialogue interactif qui a suivi l’exposé de la ministre congolaise des Droits humains, les différents membres de conseil des Nations unies aux droits de l’homme ont formulé plusieurs recommandations à la République démocratique du Congo tout en saluant certaines avancées réalisées. Il s’agit de l’abolition de la peine de mort, la promotion de la liberté d’opinion , d’expression et de la presse, le respect des droits des enfants et des femmes dans les zones de conflits, la lutte contre le recrutement des enfants au sein des groupes armés, la protection des défenseurs des droits de l’homme, la protection et la lutte contre les personnes LGBT , l’extension de fonds national de réparation des victimes des violences sexuelles, l’autorisation de l’avortement dans des cas spécifiques.

La réplique de la Rdc aux recommandations

A toutes ces recommandations, la République démocratique du Congo qui les a accueillies favorablement, s’est fait le devoir d’apporter des éclaircissements à ce sujet. Pour le porte-parole du Gouvernement, Patrick Muyaya qui réagissait en ce qui concerne la liberté d’opinion et de la presse, sous le leadership de Félix Tshisekedi, le pays s’est doté d’une nouvelle loi qui a remplacé une loi vielle de 27 ans, une loi qui est plus protectrice des journalistes et qui constitue un pas vers la dépénalisation de délit de presse. Il en est de même pour la liberté d’opinion, des manifestations, des réunions qui sont des droits consacrés par la constitution congolaise.

Concernant l’orientation sexuelle, la protection des communautés LGBT en Rdc, la vice-ministre des Affaires étrangères, Gracia Yamba a indiqué que cette pratique ne fait pas partie des valeurs congolaises. Toutefois, le noyau intangible des droits de l’homme est toujours observable à l’égard des personnes LGBT au nom des principes de non-discrimination et des droits à la vie.

Pour sa part, le premier vice-président de l’Assemblée nationale, Jean-Claude Tshilumbayi, a rappelé que la RDC est un pays abolitionniste de la peine de mort et que depuis plus de 50 ans, elle n’a pas exécuté la peine de mort bien que consacrée par sa législation pénales à l’exception de quelques de quelques cas perpétrés sous la coupe des troupes rwandaises.

Selon lui, la levée de la peine de mort est une mesure administrative qui n’a pas changé cette vocation. Cette décision a était prise dans un contexte de criminalité impliquée plus précisément d’une impunité caractérisée dans les zones de conflits et de violences. Il a ajouté que depuis la levée de moratoire sur la peine de mort, aucune exécution n’a été faite et le parlement travaille sur les mesures permettant d’éviter toute sorte d’abus en cette matière.

RSK




KIM JONG UN envoie ses cadeaux aux bâtisseurs engagés dans la réparation des dégâts

En RPDC (République Populaire Démocratique de Corée de 123.214km2, sise au nord de la Péninsule coréenne, créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et émergée Superpuissance:

  • militaire consacrée à sauvegarder non seulement son idéologie, son système, sa dignité, sa vie ainsi que sa souveraineté, sa sécurité, ses intérêts mais aussi la paix et la sécurité de la Région et du monde entier vu son potentiel nucléaire
  • politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR),

les membres de la Troupe de Choc des Jeunes Héros du Mt. Paektu-san (mont ancestral de la Nation et sacré de la Révolution d’où l’objet du pèlerinage de toute la Nation, le plus haut de la Péninsule coréenne avec 2.750m et classé 1er parmi les 6 monts célèbres de la Péninsule pour son paysage magnifique; le nom provient de ce qu’il est enneigé pendant toutes les 4 saisons, d’où le mont-blanc dont l’environnement naturel est formé à la suite des 31 éruptions volcaniques 939-1925, NDLR), les militaires de l’Armée Populaire de Corée et d’autres bâtisseurs engagés ou mobilisés dans la réparation des dégâts (à cause de l’inondation de la fin juillet 2024, NDLR), qui créent une nouvelle histoire et une nouvelle civilisation pour un changement complet dans la partie Nord-Ouest du Pays, viennent de bénéficier d’une ardente affection du Père affectueux.

 

Affirmant que les bâtisseurs qui se dévouaient, entièrement, sur le chantier de réparation des dégâts étaient les combattants d’avant-garde qui se tiennent à la tête de la glorieuse lutte pour le bien du grand Peuple divinisé par le Parti du Travail de Corée (PTC, parti présidentiel le plus âgé du monde depuis 1945, NDLR), KIM JONG UN a accordé, toujours, sa profonde attention à leur santé et à leur vie. Lors de sa dernière visite (04/11/2024) sur le chantier, il a pris les mesures importantes pour leur assurer de bonnes conditions de vie. Par la suite, il a entouré les bâtisseurs de sa sollicitude sans bornes en leur envoyant même les articles de 1ère nécessité saisonniers.

 

Ces lundi et mardi 04-05/11/2024, ont eu lieu les cérémonies de remise des cadeaux offerts par KIM JONG UN aux bâtisseurs engagés dans la réparation des dégâts dans la Province Nord-Phyongan (frontalière d’avec la Chine, NDLR). Y ont pris part:

  • JO Yong Won, RI Il Hwan et PAK Thae Song, Secrétaires du Comité Central (CC) du PTC
  • les cadres des organismes du PTC et des organes du Pouvoir populaire de la Province
  • les commandants du quartier général de réparation des dégâts
  • les bâtisseurs.

Dans les réunions, ont été données les allocutions de remise des cadeaux. Les orateurs ont:

  • noté en particulier: Le respecté Camarade KIM JONG UN a envoyé les cadeaux empreints de son affection aux bâtisseurs qui, animés de bravoure et de combativité indomptables, accomplissaient de brillants hauts faits en répondant à l’appel du PTC par leur ardent patriotisme. Malgré son emploi du temps surchargé pour s’occuper des affaires du PTC et de l’Etat, il pensait toujours aux bâtisseurs qui s’employaient à assurer, aux habitants des régions sinistrées, leur terrain de bonheur. Les chantiers de relèvement de la Ville Sin-uiju et de l’Arrondissement Uiju sont les fronts principaux ayant une signification capitale dans l’achèvement fructueux de la lutte de réparation des dégâts de la récente inondation: les efforts des bâtisseurs dépend l’issue de la lutte de l’année en cours, où l’on a inauguré vaillamment une nouvelle ère, celle de la prospérité de l’Etat.
  • appelé tous à ériger de nouveaux logements et villages magnifiques et une digue impeccable sur le terrain qui avait été victime d’un désastre naturel, et à montrer, de nouveau au monde entier, la vitalité et la supériorité du socialisme qui va devenant plus solide même dans toute l’adversité.

Les cadeaux ont été transmis sous les applaudissements enthousiastes des participants. Puis, il y a eu les interventions. Les intervenants:

  • ont exprimé leur émotion d’avoir reçu les cadeaux imbus de l’affection paternelle du Secrétaire Général KIM JONG UN qui témoigne une immense sollicitude au Peuple du Pays entier et en prend soin avec une affection sans bornes (L’image sublime de KIM JONG UN qui avait bien voulu organiser de grandes opérations de construction visant à dissiper, au plus tôt possible, les inconvénients des habitants des régions sinistrées et honoré de sa présence la cérémonie -06/08/2024- de départ de la Troupe de Choc des Jeunes Héros du Mt. Paektu-san les touche encore vivement.).
  • se sont jurés de garder, dans leur for intérieur, l’affection et la sollicitude paternelles prodiguées par KIM JONG UN et d’ériger, à merveille, toutes les constructions en celles modèles incarnant la politique du PTC en matière de développement provincial et la civilisation digne du socialisme de la nouvelle Epoque.

Les réunions débordaient de la ferme volonté des bâtisseurs de:

  • défendre, absolument, la dignité du CC du PTC
  • manifester, sans réserve, la valeur du socialisme à la coréenne, axé sur les masses populaires, en créant de nouveaux miracles de la construction grâce à leur ardeur patriotique et à leur lutte intrépide.

Rappelons que, grâce aux mesures importantes destinées à mettre en vigueur le système d’urgence prises le 09/08/2024 par KIM JONG UN sur le terrain, les 15.467 sinistrés des 3 Provinces dont celle Nord-Phyongan sont bénéficiaires des bienfaits étatiques de valeur protectrice à Pyongyang, Capitale de la RPDC et berceau de la Civilisation Taedong-gang de 4.357 ans, jusqu’à la fin des travaux de construction de leurs nouveaux logements.