Kasaï : L’Abbé Trudon Keshilemba demande à la CENI d’enrôler des Congolais expulsés de l’Angola

M. l’Abbé Trudon Keshilemba, Coordonnateur de la société civile de la cité de Kamako appelle la Commission électorale nationale indépendante (CENI) à prendre les dispositions idoines pour identifier et enrôler des Congolais expulsés de l’Angola, arrivés dans la cité frontalière en fin de la semaine, afin qu’ils soient partie intégrante dans le processus électoral en cours en tant que congolais.

« Ces sœurs et frères congolais qui vivaient en Angola, aujourd’hui chassés en désordre, risqueraient de rester sans identité, au cas où ils n’obtiennent pas leurs cartes d’électeurs, étant donné que l’opération d’enrôlement des électeurs tend à sa fin dans cette deuxième aire opérationnelle. Il est temps que nos autorités politico-administratives et la commission électorale nationale indépendante (CENI) se penchent sur la question pour crédibiliser les élections avenir au Kasaï, pour que ces 370 hommes et 42 femmes éligibles à l’enrôlement, sur le Total de 435 congolais expulsés d’Angola, retrouvent leur identité et participent aussi aux échéances électorales prochaines. C’est leur droit civique » a déclaré ce membre de la société civile de la cité frontalière de Kamako.

Il sied de noter que la cité frontalière congolaise de Kamako, dans la province du Kasaï, est située à plus de 120 km au Sud-Est de la ville de Tshikapa, qui a accueilli 435 congolais expulsés de l’Angola, dont 370 hommes, 42 femmes, 7 garçons et 16 filles, en fin de cette semaine. Ces informations ont été confirmées par les sources frontalières et la société civile locale de la contrée. Ces derniers passent nuit à la belle étoile, et n’ont aucune assistance pour le moment.




Face à l’agression rwandaise : Sama Lukonde sollicite la tenue d’un sommet extraordinaire de la SADC consacré à la situation sécuritaire en Rdc

Dans son propos, à la cérémonie d’ouverture de la session ordinaire du Conseil des Ministres de la SADC, qu’il a présidée, ce samedi 18 mars 2023 à l’immeuble du Gouvernement, le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge, évoque un drame humanitaire quand il décrit la situation sécuritaire dans l’est de la RDC.

Se fondant sur Franz Fanon, le chef du Gouvernement congolais ne pense pas que la SADC en tant qu’organisation sous-régionale, puisse rêver et croire réellement à un développement intégré dans son espace sans la paix et la sécurité en RDC. Ainsi, en vue d’un rétablissement rapide et durable de la paix et la sécurité dans son pays, il compte donc sur sa solidarité, comme cela a déjà été le cas par le passé, dans la lutte contre la menace que représente l’agression rwandaise.
Aussi appelle-t-il à la tenue d’un sommet extraordinaire de la SADC consacré à cette situation.
“Notre aspiration à l’intégration et au développement économique de la région ne serait qu’un rêve lointain sans la paix, la stabilité et la sécurité, conditions sine qua none à tout investissement et à toute croissance économique. A ce sujet, je m’en voudrais de ne pas souligner l’importance de ces ingrédients mentionnés, savoir la paix, la stabilité et la sécurité dans notre quête collective d’intégration et de développement de la région. Comme communauté, nous sommes confrontés à des problèmes de sécurité, qui menacent de réduire à néant les progrès déjà réalisés en matière de développement et d’intégration régionale depuis la création de la SADC, il y a près de 43 ans. En ce qui concerne la RDC, la situation sécuritaire dans sa partie est, notamment dans la province du Nord-Kivu, reste très préoccupante à cause de la présence des groupes armés et de l’agression rwandaise dont elle est victime. Ce conflit a déjà causé plusieurs millions de morts, et poussé plusieurs millions de femmes, vieillards et enfants en errance. Ce qui constitue un drame humanitaire”, a-t-il déclaré.

Un développement de la SADC sans la paix en Rdc ?

Faisant allusion aux propos de Franz Fanon qui disait “l’Afrique a la forme d’un revolver dont la gâchette se trouve en RDC”, le Premier Ministre a demandé si la SADC, peut-elle rêver et croire réellement à un développement intégré sans la paix et la sécurité en RDC ?
” Car il est évident que lorsqu’un membre de la fratrie SADC est attaqué, nous sommes tous attaqués. C’est pourquoi, nous comptons sur la SADC dans la lutte contre la menace que représente l’agression rwandaise. En effet, l’instauration de la paix et de la sécurité durables dans la partie est de la RDC est non seulement bénéfique à la RDC mais aussi à l’ensemble de la région de la SADC, du fait qu’elle permet à la communauté de réaliser ses objectifs. Nous sommes reconnaissants de ce que la SADC a toujours fait pour la paix et la sécurité en RDC. Aujourd’hui encore, face à l’agression rwandaise, dont elle est victime, la RDC fait, une fois de plus, appel à la solidarité de la SADC pour le rétablissement rapide de la paix. Je demande donc au conseil des ministres de la SADC d’examiner la possibilité de la tenue d’un sommet extraordinaire de la SADC consacré essentiellement à la situation sécuritaire en RDC. Il est aussi important que la SADC apporte son soutien à Son Excellence Monsieur Joao Lourenço, président de l’Angola, désigné médiateur par l’Union Africaine dans le conflit qui oppose la RDC au Rwanda ainsi que le processus de Nairobi piloté par le président honoraire du Kenya, Monsieur Uhuru Kenyatta. C’est dans la paix et la sécurité que nous pouvons exploiter des opportunités que nous offre la région en matière de commerce et d’investissement grâce à ses abondantes ressources naturelles et humaines”, a lancé Jean-Michel Sama Lukonde.

Quid de la vision 2050 de la SADC


Le chef du Gouvernement congolais a rendu par ailleurs des hommages mérités au Président de la République et Président en exercice de la SADC, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo pour son engagement réel en faveur de la paix et la sécurité ainsi que pour sa volonté d’industrialisation de l’espace SADC.
“Je saisis cette occasion pour vous transmettre ses salutations fraternelles. Lors de sa prise de fonctions à la SADC en août 2022, la RDC avait réitéré inébranlablement son engagement à poursuivre la mise en œuvre des programmes et projets découlant du plan indicatif régional de développement stratégique (RISPD) 2020-2030 de la SADC ainsi que de la vision 2050 de la SADC. Pour vous en donner la preuve, il suffit de vous rappeler que M. Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, président en exercice de la SADC, avait piloté la mise en œuvre des programmes visant à réaliser la vision 2050 de la SADC. Il a de même fait preuve d’un engagement et d’un leadership sans faille en faveur du programme d’intégration régionale de la SADC”, a-t-il souligné.
Le Premier Ministre Sama Lukonde a aussi compati au malheur ayant frappé le Malawi et la Mozambique à la suite du cyclone Freddy, qui a causé plusieurs pertes en vies humaines, (environ 200 personnes) et d’importants dégâts matériels et présente ses condoléances à leurs gouvernements.
Il est important de signaler que ces assises sont organisées du 18 au 20 mars 2023, à Kinshasa, par le ministère de l’Intégration régionale et Francophonie sous le haut patronage du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président en exercice de la SADC. Les travaux vont graviter autour du thème : ” Promouvoir l’industrialisation au moyen de l’agro-transformation, la valorisation des minéraux et du développement des chaînes de valeur régionales en vue d’atteindre une croissance économique inclusive et durable “.
Au nombre des participants, il y a des représentants de tous les pays membres de cette organisation sous-régionale, savoir, Zimbabwe, Zambie, Tanzanie, Afrique du Sud, Seychelles, Namibie, Mozambique, Mauritanie, Malawi, Madagascar, Lesotho, Comores, Botswana, Angola, Swaziland ainsi que du
Secrétaire exécutif de la SADC. Les ambassadeurs et chefs de mission diplomatique accrédités en RDC, les ministres de l’Industrie, de la Défense, de la Recherche scientifique, du Plan, la Vice-ministre des Finances et plusieurs autres hautes personnalités congolaises ont pris part à la cérémonie d’ouverture des travaux lancés solennellement ce jour, quoiqu’ils aient commencé depuis le 13 mars et qu’ils vont se poursuivre jusqu’au 20 mars prochain.




Culture : Catherine Kathungu scandalisée par le comportement téméraire du comité récusé et remplacé par les coopérateurs de la SOCODA COOP-CA

Dans un communiqué de presse parvenu à notre rédaction, le Ministère de la Culture, Arts et Patrimoines dit avoir pris connaissance, dans les réseaux sociaux, de la décision judiciaire RC 124.306 du Tribunal de Grande Instance de Kinshasa/Gombe rendue en date du 13/03/2023 et ordonnant l’annulation du Procès-verbal de l’Assemblée Générale Ordinaire de la SOCODA COOP-CA tenue en date du 09 février 2023 sur convocation du Ministère.
Sans vouloir faire de commentaires sur cette décision de justice au nom de la séparation des pouvoirs, indique le même document, le Ministère de la Culture, Arts et Patrimoines se dit scandalisé par le comportement téméraire du comité récusé et remplacé par les coopérateurs de la SOCODA COOP-CA, qui tente vainement de couvrir sa déchéance par des procédures judiciaires astucieuses.
Le Ministère de la Culture, Arts et Patrimoines rejette la version selon laquelle il y aurait eu quelconque irrégularité dans l’acte de convocation de l’Assemblée Générale Ordinaire du 09/02/2023, dans la mesure où l’acte de convocation de ladite Assemblée Générale a été homologué par un arrêté du Conseil d’État.
Le Ministère de la Culture, Arts et Patrimoines rappelle au même moment que, contrairement aux déclarations des 9 Coopérateurs demandeurs dans la cause à la base de cette décision, l’Assemblée Générale Ordinaire du 09/02/2023 fut un grand succès dans la mesure où il a connu la participation de 52 Coopérateurs (présents et régulièrement représentés) comme cela ressort clairement du procès-verbal de ladite Assemblée.
L’ancien comité a été régulièrement invité pour coprésider la séance mais a *délibérément choisi de ne pas se présenter.
A cet effet, le Ministère de la Culture, Arts et Patrimoines appelle les auteurs des œuvres de l’esprit, scandalisés par cette décision, au calme et les invite à exercer toutes les voies de recours légalement prévues afin d’inverser la position du Juge Civil visiblement surpris dans sa bonne foi.
Le Ministère de la Culture, Arts et Patrimoines reste par ailleurs déterminé à poursuivre la réforme dans ce secteur pour éviter que des individus ne s’approprient une société de gestion collective des droits d’auteurs et ne le confondent à leur patrimoine privé.




Selon le Sondage Le Peuple d’Abord: Dix partis politiques se mobilisent fortement sur le terrain pour la réélection de Félix Tshisekedi en décembre 2023

Au lendemain de sa rupture d’avec le camp du président sortant Joseph Kabila, l’actuel chef de l’Etat avait jugé nécessaire de lancer sa nouvelle plateforme, l’Union sacrée de la nation. Ce, pour mobiliser les énergies nécessaires susceptibles de permettre au gouvernement de la République de bien appliquer sa vision politique coulée sous forme d’un programme d’action. Sans plus tarder, plusieurs leaders de partis politiques convaincus de la pertinence de la décision prise par le chef de l’Etat,  avaient rejoint la nouvelle plateforme, dans la mesure où la finalité de sa mise en place était le bien-être de la population, la reconstruction du pays, et son émergence sur la scène internationale. L’on ainsi assisté à la naissance d’un bloc solide autour du président de la République.

Cependant, l’on sait que les partis politiques ou les personnalités ayant pris leurs cartes au sein de l’Union sacrée de la nation, n’ont pas tous la même envergure, ou encore, la même base sociologique sur l’ensemble du territoire national. Les uns apparaissent nettement faibles, tandis que d’autres ont une renommée qui va au-delà des frontières nationales.
Quoi qu’il en soit, tous se disent déterminés à assurer un second mandat à Félix Tshisekedi lors de la présidentielle devant être organisée en décembre 2023. Pour cette raison, ils mobilisent fortement leurs fédérations ainsi que leurs élus dans les deux chambres du Parlement afin d’atteindre cet objectif.
Le sondage effectué du 12 février au 15 mars 2023 par l’Institut « Le peuple d’abord », est parvenu à détecter dix formations politiques qui se battent effectivement pour que le chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, puisse rempiler à la tête de la République démocratique du Congo. Nous vous présentons, ci-dessous, ces partis politiques très actifs sur le terrain.

UDPS, Augustin Kabuya, Secrétaire général

 

Le Secrétaire national en charge des Relations avec les forces politiques et sociales, Martin Konga, a affirmé que l’Union pour la démocratie et le progrès social UDPS/Tshisekedi se mobilise pour offrir au président de la République un deuxième mandat lors de la prochaine présidentielle. Nous lançons un pressant message à tous nos militants de se mobiliser pour que lors des prochaines élections, nous puissions offrir un deuxième mandat au président de la République, et surtout une majorité confortable afin de lui permettre de réaliser son ambitieux projet de société pour le bien-être des Congolais. Pour y parvenir, nous appelons tous les militants à continuer à s’enrôler massivement et à faire enrôler cinq personnes par parcelle, a-t-il déclaré.
Il a saisi l’opportunité pour faire la restitution des assises de Kisantu, en expliquant aux militants quelques résolutions importantes parmi lesquelles la désignation du chef de l’État comme candidat du parti à la présidentielle de 2023. Ceci pour couper court aux manœuvres politiciennes observées de la part de certains alliés qui voudraient prendre Félix Tshisekedi en otage. Il a insisté sur l’engagement de chacun afin de réaliser l’objectif qui est celui de donner un deuxième mandat au président de la République et une majorité écrasante au Parlement.

Abdon Etina Bekele Ipan, Autorité morale d’APOCM 

L’Autorité morale de l’Alliance des paysans, ouvriers et de la classe moyenne –APOCM- se mobilise pour la réélection de Félix Tshisekedi en 2023. Ce choix est justifié par sa conviction et sa détermination à voir l’actuel président de la République être reconduit à ce poste. C’est cela qui explique ses appels incessants à l’endroit de la jeunesse et, ensuite à toute la population congolaise à se mobiliser et à s’enrôler pour soutenir la candidature de Félix Tshisekedi de manière à le reconduire pour un second mandat. Le discours de ce parti qui se défini comme étant celui de proximité et du peuple par le peuple ou pour le peuple, séduit les Congolais de l’Est à l’0uest.
Gentiny Ngobila, Alliance des Congolais Progressistes

 

Le gouverneur de la ville de Kinshasa, Gentiny Ngobila, a jeté son dévolu sur le président de la République, Félix Tshisekedi pour la présidentielle de 2023.
L’autorité urbaine de la capitale apporte clairement son soutien à la candidature de Félix Tshisekedi pour lui permettre de gagner un second mandat à la tête du pays en décembre prochain.
“Je soutiendrai le président de la République, Félix Tshisekedi, en 2023”, a-t-il dit. Gentiny Ngobila a fait cette annonce pour notamment mettre fin aux rumeurs selon lesquelles, il aurait des ambitions pour briguer la magistrature suprême en 2023 en République démocratique du Congo.
Jean-Pierre Bemba, MLC

 

Jean-Pierre Bemba mobilise dans la partie Ouest du pays où il prêche la réélection du chef de l’État à la présidentielle de 2023. Le vice-président honoraire de la République draine de nombreuses foules à chacune de ses descentes. Des villes à l’instar de Gbadolite, Gemena, Lisala, Bumba, Boende, Mbandaka, etc. sont conquises par cette tournée du chairman dans l’ex-province historique de l’Equateur où il va souvent en pré-campagne.
Fidèle à Tshisekedi depuis qu’il a officiellement accepté d’adhérer à l’Union sacrée de la nation, le leader du MLC est donc bel et bien rangé derrière le chef de l’État pour un second mandat.
Fifi Masuka Saini, FIDEC

 

Au cours d’un point de presse, Marie-Louise Epoli, haut cadre du Front des indépendants pour la démocratie chrétienne –FIDEC-, a affirmé que le parti de Fifi Masuka soutient la candidature de Félix Tshisekedi aux élections présidentielles de 2023. De même, Madame Epoli précise que le parti de la femme forte du Lualaba alignera des candidats aux élections législatives nationales et provinciales, ainsi qu’aux élections locales pour y rafler la majorité.
« Notre candidat chez nous c’est Félix Tshisekedi. Nous le soutenons, nous voulons avoir la majorité dans les assemblées provinciales, à l’assemblée nationale, même au Sénat. », a dit Marie-Louise Epoli. Issue du démembrement du grand Katanga, la riche province de Lualaba demeure favorable au président Félix Tshisekedi.
Avenir du Congo, Dany Banza

Le conseiller en intégration régionale du chef de l’Etat, l’ambassadeur Dany Banza Maloba appelle la population du Tanganyika à l’enrôlement massif pour la réélection du président Félix Tshisekedi à la magistrature suprême. «Allons à l’enrôlement pour réélire le président Félix Tshisekedi afin qu’il continue sa vision de libérer le Congo de cette insécurité nous imposée par le Rwanda pour voler nos minerais», s’est exprimé l’autorité morale et président national de l’Avenir du Congo –ACO- devant la population nombreuse à la place Kisebwe à Kalemie, chef-lieu de la province du Tanganyika au cours d’un meeting populaire.
Agir pour la République, Guy Loando
Le ministre d’Etat, ministre de l’Aménagement du territoire a créé son parti avec un objectif: faire élire des députés sous ses couleurs, lors de prochaines législatives. Avec en ligne de mire le soutien aux actions du chef de l’Etat, Félix Tshisekedi pour un second mandat.
Lors du discours d’inauguration de sa formation politique, prononcé à l’issue du Congrès tenu dernièrement au siège du parti à la 4ème rue le long du Boulevard Lumumba, l’initiateur de la Fondation Widal a invité la population à travailler pour la réélection du président de la République, et par-delà, la réalisation de sa vision.
A la clôture du congrès, le parti AREP a fait une déclaration de soutien au président de la République Félix Tshisekedi, lui témoignant «son attachement indéfectible à sa vision et aux valeurs de la démocratie, de la promotion des droits humains pour lesquelles feu Etienne Tshisekedi Wa Mulumba a mené une lutte politique inlassable ».
BUREC, Julien Paluku

Le parti politique Bloc Uni pour la Renaissance et l’Émergence –BUREC- a choisi Félix Tshisekedi comme son candidat à la prochaine présidentielle. C’est à l’issue de son deuxième congrès tenu à Bukavu sous le thème : « Relèvement, sentiment patriotique derrière les institutions démocratiques du pays », que le parti de Julien Paluku a jeté son dévolu sur le président actuel pour briguer un second mandat.
Pour le parti BUREC, le choix porté sur Félix Tshisekedi se justifie par le souci de l’actuel président de la République pour l’émergence de la République démocratique du Congo. «Considérant le souci permanent de Félix Tshisekedi, pour l’émergence du Congo, le bien-être de la population et le développement du pays en général, le BUREC s’engage à soutenir le candidat président de la République de l’Union sacrée de la nation à la 4ème législature, Félix Tshisekedi », a-t-on indiqué dans la déclaration finale du congrès.
François Ruboya, CNARC

Le parti politique dénommé Congrès national africain pour le réveil du Congo –CNARC- mobilise la population aussi bien dans la capitale que dans les provinces pour accorder un second mandat au président Félix Tshisekedi. « Nous lançons un appel à la mobilisation générale à la population kinoise, en particulier et au  peuple  congolais en général, pour accorder au chef de l’État, Félix Tshisekedi, un second mandat aux élections de 2023 », a déclaré le président du parti du Congrès national africain pour le réveil du Congo –CNARC-, Aimé Pascal Mongo, dans son meeting, au nom de l’Autorité morale, François Rubota, ministre du Développement rural. Il a aussi demandé à  la population de se faire enrôler massivement pour soutenir le président de la République et les candidats de son parti. Par ailleurs, le président du CNARC a dénoncé les antivaleurs au sein de la société congolaise, notamment les vols et détournements de deniers publics qui, d’après lui, ne contribuent pas à l’honneur et à la dignité de la RDC.
Christophe Lutundula, ADP

 

Le gouvernement congolais est appelé à maintenir sa position de ne pas négocier avec le mouvement terroriste M23 sous n’importe quel prétexte. Telle est l’une des recommandations faites par le comité exécutif élargi de l’Alliance des démocrates pour le progrès –ADP-, parti politique fondé par Christophe Lutundula Apala, au gouvernement de Sama Lukonde, dans sa déclaration faite dans le cadre de la réponse à l’appel à la mobilisation générale lancé par le président de la République, Félix Tshisekedi.
Cette formation politique demande en outre au gouvernement de la RDC de garder un œil regardant sur l’Ouganda, cité comme le berceau de la recomposition du mouvement terroriste M23, et de rejeter toute idée de déploiement des UPDF dans le cadre des forces régionales.
A la communauté internationale, l’ADP demande de sortir de son mutisme et de prendre des sanctions contre le Rwanda et le mouvement terroriste du M23. Aux Nations-Unis, ce parti politique recommande d’analyser le dernier rapport de ses experts confirmant la présence des troupes rwandaises en RDC, ainsi que le rapport Mapping, et d’en tirer toutes les conséquences.
Aux leaders politiques congolais, le parti de Christophe Lutundula demande de favoriser la cohésion nationale dans un élan de sursaut patriotique, en mettant de côté la primauté du positionnement personnel pour vaincre l’ennemi. Au peuple congolais, de rester vigilant et de ne pas céder à des discours séparatistes.
«Félix Tshisekedi m’a fait confiance, je lui renvoie l’ascenseur, non seulement je reste au Gouvernement, mais en plus, je reste sur le front, avec Felix Tshisekedi et ensemble nous allons nous battre et gagner les prochaines élections», a laissé entendre Christophe Lutundula.




LdC (Afrique) : Victoire retentissant pour Al Ahly , Bélouizdad et Esperence en quarts!

Les trois premiers matchs comptant pour la 5e et avant-dernière journée de la phase de groupes de la Ligue des champions africaine étaient au programme vendredi.

Dans le groupe B, Al Ahly a relevé la tête et cartonné en s’imposant 4-0 au Cameroun contre Coton Sport, déjà éliminé. L’international égyptien Mahmoud Kahraba a claqué un triplé (23e, 29e et 51e) et l’international sud-africain Percy Tau a enfoncé le clou (54e). Désormais, les Diables Rouges croisent les doigts car leur survie dépend du résultat d’Al Hilal ce samedi à domicile contre Mamelodi Sundowns, déjà qualifié. Si les Soudanais gagnent, le géant cairote ne pourra plus les rattraper et se retrouvera déjà éliminé… Dans le cas contraire, on aura droit à une alléchante «finale» Al Ahly-Al Hilal lors de la dernière journée.

Le Zamalek s’arrête encore en poules…
Dans le même temps, la poule D a rendu son verdict avec les qualifications de l’Espérance Tunis et du CR Belouizdad en quarts de finale. Dans un match à l’extérieur délocalisé en Libye à Benghazi, les Tunisiens ont pourtant été accrochés sur le fil par Al Merreikh (1-1). Mohamed Ali Ben Hammouda avait ouvert le score (23e), mais le Brésilien Paulo Sergio Luiz de Souza a arraché l’égalisation à la 90e sur un penalty concédé par Raed Bouchniba, exclu.

Dans la soirée, l’EST a été rejointe par le CR Bélouizdad, vainqueur 2-0 du Zamalek à Alger sur des buts inscrits durant le dernier quart d’heure par Zakaria Draoui (75e) et le Camerounais Leonel Wamba (79e). Ce résultat élimine le Zamalek en phase de groupes pour la 3e saison consécutive… On aura droit en revanche lors de la dernière journée à une « finale » pour la 1ère place entre l’EST et son dauphin, le CRB, qui la suit à un point.G




Une mission du FMI à Kinshasa pour assister le Gouvernement dans l’accélération de la mise en œuvre de l’Agenda 2030 en faveur des objectifs du Développement

A  la demande du Ministre des Finances Nicolas Kazadi, une équipe de la mission du siège du Département des Finances Publiques du Fonds monétaire international (FMI) séjourne à Kinshasa depuis le 14 mars 2023.

Cette mission connait la participation des experts de services techniques du Gouvernement impliqués dans les questions du développement. Elle a pour but d’assister le Gouvernement de la Rdc dans l’accélération de la mise en œuvre de l’Agenda 2030 en faveur des objectifs du Développement.

Les travaux de cette mission portent sur l’estimation des besoins en dépenses requises pour éradiquer notamment l’extrême pauvreté au travers d’une éducation de qualité, une eau potable, un environnement assaini, une énergie propre et ce, à coût abordable.

Supervisée par le Comité de Pilotage et d’Orientation de la Réforme des Finances Publiques (COREF), ces travaux seront sanctionnés par la remise, aux instances gouvernementales, d’un rapport technique évoquant des points d’attention et présentant un éventail des recommandations aux fins d’un développement conséquent des secteurs névralgiques, à savoir l’éducation, la santé, l’eau, l’énergie et les routes.

L’aboutissement de la feuille de route qui s’ensuivra devrait donc améliorer la qualité des instruments de planification et de suivi stratégiques, dont la finalité est d’apporter, suivant le Plan National Stratégique de Développement (PNSD), des réponses plus structurées et adéquates aux défis de l’émergence du pays.




Tshisekedi et Albert Zeufack discutent sur un appui budgétaire de 500 millions de dollars Us que la BM veut allouer à la Rdc

Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République, a accordé, ce vendredi 17 mars 2023, à la Cité de l’Union africaine, une audience à M. Albert Zeufack, Directeur des Opérations à la Banque mondiale pour la RDC, l’Angola, le Burundi et le Sao Tomé et Principe.

Au cœur de leur entrevue, l’état d’avancement des projets financés par la BM en République Démocratique du Congo et leur mise en œuvre dans le cadre de partenariat stratégique avec cette institution financière internationale.

Le Chef de l’État et son hôte ont également passé en revue les différentes pistes de réflexion de la Banque mondiale pour accompagner la RDC dans sa transformation économique et la construction des infrastructures fondamentales pour la création d’emplois et l’amélioration des conditions de vie des populations.

Le Chef de l’État et le directeur pays de la Banque Mondiale ont également parlé du programme de l’appui budgétaire de 500 millions de dollars américains que l’institution de Breton Woods prépare et qui va bientôt passer à la phase de validation par son conseil d’administration.

Ils ont, par ailleurs, évoqué le projet « éducation secondaire des filles”, un projet de 400 millions de dollars américains pour soutenir la mise en œuvre de la gratuité à l’école primaire et accompagner les filles dans l’enseignement secondaire, tout en les protégeant de toutes sortes de violences.

Enfin, l’appui que la Banque mondiale veut apporter au projet de construction de la route Kananga-Bukavu a également été évoqué par le Chef de l’État et M. Zeufack.




Le Président Motsepe félicite le Président Infantino pour sa réélection à la tête de la FIFA

Le Président de la Confédération Africaine de Football (“CAF”) félicite le Président Gianni Infantino pour sa réélection en tant que Président de la FIFA.
La CAF et la grande famille du football en Afrique saluent le partenariat avec le Président Gianni Infantino et la FIFA dans le développement et la croissance du football africain et mondial.
Le Président de la CAF, Dr Patrice Motsepe, a déclaré : “La CAF s’est engagée à développer et à promouvoir le football pour les garçons et les filles ainsi que le football amateur et professionnel sur le continent africain. La construction et la modernisation des infrastructures et des installations de football ainsi que l’amélioration du niveau et de la qualité du football en Afrique sont essentielles pour que le football africain devienne compétitif au niveau mondial et autonome. Le Président Gianni Infantino et la FIFA ont été des partenaires engagés et fiables dans le développement, l’amélioration et la promotion du football africain. La CAF se réjouit de la réélection du Président Infantino à la tête de la FIFA et est convaincue que le football en Afrique et dans le monde continuera à se développer, à progresser et à être une force positive, sous sa direction.’’
La réélection du Président Gianni Infantino a eu lieu au Rwanda au cours du premier Congrès électif de l’histoire de la FIFA à se dérouler en Afrique.
Pour plus d’informations, contactez le département de la Communication via communications@cafonline.com




Les ministres des AE de l’OCI saluent le rôle pionnier de SM le Roi, en tant que Leader de l’UA sur la question de la Migration

Les ministres des AE de l’OCI saluent le rôle pionnier de SM le Roi, en tant que Leader de l’UA sur la question de la Migratio

Le 49ème Conseil des ministres des Affaires étrangères de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI), tenu les 16 et 17 mars à Nouakchott, a salué le rôle pionnier de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, en tant que Leader de l’Union africaine sur la question de la Migration, ainsi que la politique du Maroc en la matière.
Au terme des travaux de cette session, à laquelle le Maroc était représenté par une délégation conduite par le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, M. Nasser Bourita, les ministres ont mis l’accent sur les efforts consentis par le Royaume dans le domaine de la migration ainsi que la pertinence de sa politique d’intégration des migrants, en régularisant leur situation juridique et en leur offrant les conditions d’une vie décente.
Le Conseil s’est, également, félicité de la mise en place au Maroc de l’Observatoire africain des migrations.
Cette session, organisée sous le thème “le juste milieu et la modération : gage de sécurité et de stabilité”, a été l’occasion, aussi, de mettre en avant les actions menées par le Royaume, sous le leadership de Sa Majesté le Roi, pour rétablir la sécurité et la stabilité dans plusieurs Etats membres de l’OCI, notamment en Afrique.
A cet égard, les ministres ont salué le rôle actif du Maroc, qui assure depuis 2021 la présidence de la Configuration République Centrafricaine de la Commission de consolidation de la paix des Nations unies (CCP) et de ses efforts dans la consolidation de la paix dans ce pays.
Le Conseil s’est, également, félicité de l’ouverture à Rabat du Bureau Programme des Nations unies pour la lutte contre le terrorisme et la formation en Afrique.
Dans ce sens, il a appelé les Etats membres de l’OCI à tirer profit de ce partenariat et des projets conjoints mis en œuvre par ce bureau dans le domaine de la lutte contre le terrorisme.
En outre, le Conseil a mis en exergue l’organisation par le Maroc de la réunion de haut niveau des chefs des agences de lutte contre le terrorisme et de sécurité des pays de l’Afrique du Nord et du Sahel, tenue les 23 et 24 juin 2022 à Marrakech.
Dans le même contexte, le Conseil a mis en exergue les efforts déployés par le Royaume en matière de lutte contre le terrorisme et l’extrémisme à travers ses initiatives entreprises aux niveaux régional et international, couronnées par l’inauguration du Bureau du programme de l’ONU pour la lutte contre le terrorisme et la formation en Afrique, ainsi que la coprésidence avec le Canada du Forum mondial de lutte contre le terrorisme et la tenue à Marrakech, le 11 mai 2022, de la Réunion ministérielle de la Coalition mondiale contre “Daech”.
Il a affirmé que “les menaces que représentent les groupes séparatistes pour la stabilité politique et sécuritaire dans de nombreuses régions sont aussi dangereuses que celles émanant des groupes terroristes et extrémistes, eu égard à leurs alliances et leur accès à des moyens financiers et tactiques, ce qui exige l’adoption par les Etats membres d’une approche globale pour renforcer les efforts de lutte contre les principaux facteurs de la propagation de l’extrémisme, du terrorisme et du séparatisme.
Le Conseil a, également, salué le don d’un million de dollars, accordé par le Maroc, sur Hautes Instructions Royales, au profit du peuple yéménite, à l’occasion de la tenue, le 1er mars 2021, de la réunion de haut niveau sur le Plan d’intervention humanitaire dans ce pays, ainsi que l’assistance fournie par le Royaume à l’Union des Comores, portant sur des équipements médicaux pour faire face à la pandémie de Covid-19.
La délégation marocaine à cette réunion comprend également MM. Hamid Chabar, ambassadeur du Maroc en Mauritanie, Fouad Akhrif, Directeur du Machrek, du Golfe et des Organisations Arabes et Islamiques au ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des MRE, Abdelali Al-Jahed et El Hassan Badri, respectivement chef de Division des Organisations arabes et islamiques et chef du service de l’OCI au ministère, ainsi que Othman Rehhou, adjoint du délégué permanent du Royaume auprès de l’OCI.
Cette session de deux jours, à laquelle a assisté le directeur chargé de la gestion de l’Agence Bayt Mal Al-Qods Acharif, Mohamed Salem Echarkaoui, a porté sur d’autres questions notamment la question palestinienne, l’évolution de la situation en Afghanistan et dans la région du Sahel.




Demande d’enrôlement et de réintégration dans l’Armée populaire

Les manœuvres de provocation d’une guerre nucléaire que font les impérialistes américains et les fantoches sud-coréens en violant brutalement la souveraineté et la sécurité de notre Etat ainsi que ses intérêts sont sans précédent pour leur agressivité et leur envergure. Elles approchent de plus en plus leur extrémité, à tel point qu’elles ne sont plus tolérables.

Selon les données, rien que pendant une seule journée du 17 mars, plus de 800 000 jeunes, élèves et étudiants ont demandé instamment à entrer dans l’Armée populaire ou à la réintégrer, farouchement déterminés à anéantir l’ennemi.
Parmi eux comptent aussi des cadres de l’Union de la jeunesse, des jeunes et élèves de la ville de Pyongyang et d’autres régions du pays, des commandants et membres de la troupe de choc des Jeunes Héros de Paektusan, les étudiants de l’université Kim Il Sung, de l’université polytechnique Kim Chaek, de l’école supérieure d’industrie chimique de Hamhung, de l’école supérieure de formation des professeurs de Nampho, etc. Ils ont pris la ferme résolution d’écraser sans merci tous les fanatiques de la guerre et de défendre avec sûreté notre idéologie, notre régime et notre patrie.
Le nombre des pétitionnaires ne cesse d’augmenter.